1502 en philosophie


L’année 1502 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :

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  • à Laval : Guillaume Bigot[1], ou Le Bigot, Bigotius, mort vers 1550 est un écrivain, médecin et humaniste français, poète français et latin, et l'un des plus savants hommes du XVIe siècle[2]. L'abbé Angot signale qu'il n'est pas parfaitement encore connu, « car comment peut-on débrouiller une biographie romanesque en soi, racontée par le héros lui-même avec le souci de rendre son histoire indéchiffrable et lui-même méconnaissable ? »

Décès


Notes et références

  1. Le nom Bigot était fort commun à Laval. Pierre Le Bigot, ami de Pierre Le Baud, était souvent invité à sa table à l'aumônerie Saint-Julien de Laval ; il rédigea en 1488, un accord entre le prieuré d'Avénières et les habitants. Jean Le Bigot, prieur du Pertre et de Saint-Melaine, qui fonda les chapelles de Sainte-Marguerite et de Saint-Roch, à Montigné-le-Brillant et Ahuillé, mourut à Rome en 1502. Il y en a beaucoup d'autres.
  2. Dans l’ouvrage De ratione vitæ studiosae ac literatae de Claude Baduel, un professeur de Leipzig, nommé Grégoire Bresman, a ajouté une préface où il dit que Guillaume Bigot, « homme bien versé dans les matières de médecine et de physique, avait promis un traité que l'homme, sans le mariage, ne saurait vivre en santé. » Melanchton, avec lequel il avait eu des querelles de doctrine, le dit l'un des deux hommes les plus savants de France. Pierre Duchâtel étant le premier. Scaliger le qualifie maximus philosophus ; ce que la plupart des interprètes ont entendu tant dans le sens relatif que dans le sens absolu. Gabriel Naudé, venu plus tard, et qui pouvait déjà juger avec l'impartialité de l'histoire, lui donne la palme sur tous les philosophes de son temps.

Voir aussi

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