Allennes-les-Marais

Allennes-les-Marais est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Allennes-les-Marais

L'église Saint-Nicolas.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Gérard Mayor
2020-2026
Code postal 59251
Code commune 59005
Démographie
Gentilé Allennois
Population
municipale
3 456 hab. (2019 )
Densité 623 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 32′ 12″ nord, 2° 57′ 06″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 29 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Annœullin
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annœullin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Allennes-les-Marais
Géolocalisation sur la carte : France
Allennes-les-Marais
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Allennes-les-Marais
Géolocalisation sur la carte : Nord
Allennes-les-Marais

    Allennes-les-Marais faisait partie de la communauté de communes de la Haute Deûle, en Flandre française, qui a choisi de rejoindre la Métropole européenne de Lille en 2020.

    Géographie

    Localisation

    Allennes-les-Marais se situe dans le Carembault en Flandre romane, à 12,7 km au sud-ouest de Lille (19,8 km par la route).

    Communes limitrophes

    Position d'Allennes-les-Marais par rapport aux communes limitrophes.
    Communes limitrophes d’Allennes-les-Marais
    Wavrin Herrin
    Don Gondecourt
    Annœullin Carnin

    Géologie et relief

    La commune, en tant qu'ancienne et riche zone de marais, présente de grandes potentialités écologiques, mais si pour sa partie nord elle est écopaysagèrement plus riche (et proche du Parc de la Deûle, élément important et structurant de la trame verte et bleue régionale, elle est aujourd'hui entourée d'un paysage dominé par l'agriculture intensive, et elle présente également des séquelles de guerre ou industrielle.

    En particulier, elle abrite un important dépôts de cendres de charbon issus d'une centrale au charbon ; ces cendres étant susceptible de renfermer des dioxines, métaux lourds voire des éléments radioactifs[1]. Ce rapport (Robin des bois, ASN, ) indique que les mesures conduites sur site indiquent que globalement, le niveau de radioactivité sur les sites est proche du niveau de référence régional. Localement, des anomalies radiamétriques ont été identifiées ; le débit de dose au contact restant cependant comparable au débit de dose ambiant qui peut être mesuré en région granitique du fait de la radioactivité naturelle du socle géologique. L’analyse des cendres prélevées confirme ce faible taux de radioactivité. L’analyse des eaux potentiellement sous

    influence, n’a pas conduit à mettre en évidence un impact imputable à la présence de cendre. Et en conclusion : Le niveau de radioactivité sur les sites et dans leur environnement est comparable à celui caractéristique du milieu de référence régional. Par conséquent, il n’apparaît pas pertinent de conduire un calcul d’exposition de la population.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 703 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[10] à 10,8 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Voie ferroviaire

    L'ancienne gare.

    La ligne de Templeuve à Don-Sainghin, désaffectée, traversait Allennes-les-Marais qui disposait d'une gare sur cette ligne.

    Urbanisme

    Typologie

    Allennes-les-Marais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Annœullin, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[16] et 13 888 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), zones urbanisées (21,7 %), prairies (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    D’origine incertaine, l'étymologie du nom Allennes viendrait de al (bord) et len (rivière), ou de a la vetum (aulnaie), lieu planté d’aulnes. Elle s’est successivement appelée Halenes en 1178, Allennes en Carembault en 1787, Allennes sur les Marais à la fin du XVIIIe siècle puis enfin Alleunes ou Allennes-les-Marais en 1801.

    Les habitants ont pour surnom ou nom jeté celui de « grosses têtes », donné peut-être comme en Angleterre où ils ont celui de « têtes rondes » donné à une catégorie de soldats portant un casque typiquement de cette forme.

    Histoire

    La terre d'Allennes-les-Marais est mentionnée dès l’an 675 dans un titre de l’abbaye Saint Vaast d’Arras. Vers 964, elle figure dans les possessions de l’abbaye Saint Pierre de Gand puis après avoir été une dépendance d’Annœullin, elle appartient à l’abbaye Saint-Martin de Tournai jusqu’à la Révolution.

    Avant la Révolution française, Allennes est le siège d'une seigneurie[23].

    Sous l'Ancien Régime, quatre familles y exercent successivement la justice : les Allennes, les Neuville (Hugues de Neuville, seigneur d’Allennes sera tué en 1415 à la bataille d’Azincourt), les Oignies et les Croix d’Euchin.

    En 1566, sous l’occupation espagnole, les habitants d’Allennes aident les seclinois à repousser l’invasion des Gueux puis en 1642, le duc de Milleray qui prend la ville de La Bassée, ravage le village et brûle la grande ferme d’Allennes.

    Une ordonnance de 1669 autorise les seigneurs à réclamer le profit d'un tiers de l’exploitation des marais de la Deûle. En 1777, les 2/3 des marais restants sont partagés en portions ménagères entre les villageois.

    Sous l'Ancien Régime, Allennes faisait partie du quartier de Carembault, chef-lieu Phalempin.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Allennes-les-Marais dans son canton et son arrondissement.

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : Wauquier[24]'[25]..

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1971 Marcel Dubar    
    1971 1980 Henri Bernard PCF  
    1980 Francis Debergh PS  
    juin 2004 mars 2014 Alain Dehais PS  
    mars 2014 En cours Gérard Mayor
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [26]
    PS Retraité de la fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La ville de Allennes-les-Marais est jumelée avec Bialobrzegi (Pologne).

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2019, la commune comptait 3 456 habitants[Note 7], en augmentation de 2,04 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    547601667733796814849870911
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9331 0039841 0211 0171 0171 0331 1321 172
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1751 1961 2041 0371 1451 1511 1881 1421 247
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 6581 8371 8932 4262 7733 2343 4413 4073 366
    2014 2019 - - - - - - -
    3 4173 456-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 683 hommes pour 1 775 femmes, soit un taux de 51,33 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    0,5 
    3,4 
    75-89 ans
    5,7 
    15,9 
    60-74 ans
    17,5 
    24,5 
    45-59 ans
    24,7 
    19,0 
    30-44 ans
    18,6 
    18,2 
    15-29 ans
    16,4 
    18,8 
    0-14 ans
    16,6 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Enseignement

    Allennes-les-Marais fait partie de l'académie de Lille.

    Économie

    Village à vocation agricole, puisque 37 fermes y sont recensées au début des années 1900, Allennes-les-Marais est aussi réputé, dès 1875, pour ses ouvrières qui confectionnent vêtements et linge de maison.

    Une distillerie qui emploie environ 80 ouvriers fonctionnera jusqu'en 1914.

    La filature, fondée par Mme Descamps-Duflot, qui produit notamment des petits vêtements et de la lingerie féminine, reste en activité jusqu'au début des années 1980.

    La ligne de chemin de fer Don-Sainghin-Templeuve traverse le village à partir des années 1890 mais sa suppression, au début des années 1970, entraîne la fermeture de la gare, dont le bâtiment a été cependant sauvegardé et réhabilité.

    Centrale thermique des Ansereuilles

    Implantée sur un terrain de 58 ha, à proximité de la voie ferrée Lille–Béthune et sur la rive gauche de la Deûle, la centrale thermique des Ansereuilles, entre en activité en 1959. Agrandie en 1964-65, elle est alors conçue pour brûler du charbon. En 1972-73, des modifications permettent de l'alimenter en fioul lourd. Quatre réfrigérants atmosphériques refroidissent, en circuit fermé, l’eau des condensateurs. Désaffectée en 1984, la centrale est abattue en 1989.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Porche-pigeonnier de la cense dite de « Layens ».
    • Mur d'enceinte du château de M. Wicart ou château Verspieren
    • Château du bois dont il reste deux petits châlets et son parc rue Franche (propriété privée)
    • Ancienne distillerie Collette dont l’entrée et une partie des murs sont conservés au patrimoine historique. (rue Sonneville à côté de l’église)
    • Calvaire du XVe ou du XVIe siècle abrité par une chapelle en briques.
    • Presbytère de la fin du XVIIIe siècle.
    • Cense dite de Layens avec porche-pigeonnier daté de 1779.
    • Villa des acacias datée de 1890, ancienne demeure de la famille Descamps-Duflot.
    • Église Saint-Nicolas avec des fondations datant du XVe siècle, rénovée à l’état d’origine (modifiée plusieurs fois durant ce siècle). Fresque à l’intérieur découverte en démolissant le torchis couvert sur les murs. Inscription latine relative au saint patron de l'église : saint Nicolas. Elle a été ravagée par le feu le en fin d'après-midi: la flèche et la toiture ont été calcinées et le reste du bâtiment a été fortement endommagé. Le clocher est tombé de l'église, sans faire de blessés, mais évidemment avec l'intervention des pompiers prévenant les habitants.

    Seigneurs d'Allennnes

    • Chrétien Sarazin, seigneur d'Alenes, bénéficie le de lettres données à Lisbonne le faisant chevalier en récompense des services rendus : il a participé à plusieurs sièges (siège de Navarin en Morée, siège de Tournai avec quatre chevaux entretenus à ses frais), il est resté fidèle au roi (Philippe II, roi d'Espagne) pendant les troubles de Flandre (Guerre de Quatre-Vingts Ans) où il a servi en tant que capitaine d'une compagnie bourgeoise de la ville d'Arras[23].

    Héraldique

    Les armes d'Allennes-les-Marais se blasonnent ainsi : « D'or à dix losanges accolées et aboutées de gueules, 3, 3, 3 et 1. »


    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. [PDF] « Rapport « Les cendres de charbon et les phosphogypses » », Robin des bois / Autorité de Sûreté Nucléaire, (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station météofrance Lille-Lesquin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Allennes-les-Marais et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 d'Annœullin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Amédée Le Boucq de (Chevalier) Auteur du texte Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, par M. le chevalier Amédée Le Boucq de Ternas,... oeuvre posthume publiée par sa famille. (29 octobre 1878.), (lire en ligne)
    24. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
    25. Wauquier est également le nom du maire de Camphin-en -Carembault à la même date.
    26. https://reader.cafeyn.co/fr/1926580/21599491
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allennes-les-Marais (59005) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    • Portail du Nord-Pas-de-Calais
    • Portail des communes de France
    • Portail de la métropole européenne de Lille
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.