Ambarès-et-Lagrave
Ambarès-et-Lagrave [ɑ̃baʁɛs e laɡʁav] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ambarès-et-Lagrave | |||||
La Mairie (mars 2014). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Bordeaux | ||||
Intercommunalité | Bordeaux Métropole | ||||
Maire Mandat |
Nordine Guendez 2020-2026 |
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Code postal | 33440 | ||||
Code commune | 33003 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ambarésiens | ||||
Population municipale |
16 636 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 672 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 55′ 33″ nord, 0° 29′ 07″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 34 m |
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Superficie | 24,76 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Bordeaux (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Presqu'île (bureau centralisateur) |
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Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | ville-ambaresetlagrave.fr/ | ||||
Géographie
Localisation
Commune de l'extrême nord de l'Entre-deux-Mers, sur la presqu'île formée par la confluence entre la Dordogne et la Garonne, Ambarès-et-Lagrave est également située dans le nord de l'aire d'attraction de Bordeaux et dans son unité urbaine.
Communes limitrophes
Rocade
Autoroute A10, sorties
No 42 : → Ambarès-et-Lagrave, Saint-Loubès
No 43 : → Sainte-Eulalie, Ambarès-et-Lagrave, Carbon-Blanc
TER Aquitaine
La ville d'Ambarès-et-Lagrave est desservie par deux gares ferroviaires, la gare de la Grave-d'Ambarès et la gare de La Gorp, qui ont des liaisons régulières avec Bordeaux.
Réseau TBM
Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers les lignes de bus 7, 90, 92, 93, Flexo 49. En soirée, en plus de la ligne 7, la commune est desservie par le Flexo 50.
Réseau Trans Gironde
Les lignes 201, 202 et 301 traversent la commune. Elles relient la station de tram Buttinière à Blaye, Saint-Ciers-sur-Gironde, Pleine-Selve, Sante-Eulalie, Izon et Libourne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 16 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ambarès-et-Lagrave est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[19] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (29,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,1 %), zones agricoles hétérogènes (15,1 %), prairies (12,8 %), terres arables (12,5 %), zones humides intérieures (10,1 %), eaux continentales[Note 7] (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), forêts (3,2 %), cultures permanentes (0,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme d’Ambarès est issu du nom du baron de Montferrand, Tizo de Barès.
Le toponyme de Lagrave vient du terme « grave », qui qualifie un sol dur et caillouteux, celui de la terrasse de Dordogne en bordure des marais de Montferrand[25].
En gascon, le nom de la commune est Ambarés e La Grava.
Histoire
Au XIIe siècle, la ville d’Ambarès faisait partie d'un immense domaine féodal comprenant une grande partie des marais de l’Entre-deux-Mers. Plus tard ce domaine devint Baronnie de Montferrand. L'ancienne paroisse d’Ambarès se trouvait à peu près entièrement sous la juridiction des seigneurs du Gua qui y prélevaient la dîme dès le XVe siècle. Le quartier de Lagrave est rattaché à la commune d’Ambarès en 1818[26], dont il avait été séparé sept à huit siècles plus tôt[réf. nécessaire].
Politique et administration
La commune d'Ambarès-et-Lagrave fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Carbon-Blanc supprimé au nouveau canton de la Presqu'île dont elle devient le bureau centralisateur[27],[28]. Ambarès-et-Lagrave fait également partie de la métropole de Bordeaux.
Liste des maires
Politique de développement durable
La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[34].
Jumelages
- Kelheim (Allemagne) depuis 1989
- Norton Radstock (en) (Grande-Bretagne) depuis 1982
Population et société
Démographie
Les habitants d'Ambarès-et-Lagrave sont appelés les Ambarésiens[35].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 8]
En 2019, la commune comptait 16 636 habitants[Note 9], en augmentation de 13,88 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La population d’Ambarès-et-Lagrave a plus que doublé entre 1962 et 1999. Cette importante augmentation de la population est probablement due à la proximité de la ville de Bordeaux.
Économie
Bien que le secteur tertiaire (services) soit majoritaire à Ambarès-et-Lagrave, la ville possède également de nombreux emplois dans l'industrie (secteur secondaire).
Secteurs | Ambarès-et-Lagrave (2009) | France entière (2009) |
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Agriculture (primaire) | 1,6 % | 1,2 % |
Industrie (secondaire) | 27,7 % | 21,0 % |
Services (tertiaire) | 70,6 % | 77,8 % |
Sports
L’Association Sportive Ambarésienne (ASA) est une association omnisports créée en 1970 et régie par la loi du . Le siège social de l’association se situe au complexe sportif de Lachaze sur Ambarès-et-Lagrave.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre des XIe et XIIe siècles inscrite au titre des monuments historiques en 2002[38].
- Église Notre-Dame-de-La-Grave, ancienne église de templiers des XIIe et XVIe siècles[39]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[39].
- Château de Peychaud : seigneurie mentionnée depuis le XVIe siècle, appartenant à la famille de Fayet ; l’ancien château est sans doute reconstruit vers 1680 puis au début du XVIIIe siècle, il comprenait alors le logis actuel flanqué au nord de parties agricoles ; il fut remanié vers 1871 pour l'amiral Charles de Dompierre d'Hornoy, ministre de la Marine et des Colonies (1873-1874) ; il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1966[40].
- Chapelle Saint-Denis, construite vers 1875 à l'emplacement d'une ancienne église ruinée, dans le style gothique tardif.
- Château Beauséjour : logis sans doute reconstruit au milieu du XIXe siècle mais dépendances agricoles peut-être plus anciennes. L’ancienne maison était mentionnée Pouyau sur la carte de Belleyme et le cadastre ancien.
- Château Bellevue : maison sans doute reconstruite au milieu du XIXe siècle à l'emplacement de l'ancienne maison de plan en U mentionnée Puymanot sur la carte de Belleyme et le cadastre ancien. Transformé en école depuis 1980.
- Château Saint-Denis : peut-être ancienne maison noble, non mentionnée comme telle sur la carte de Belleyme. Sans doute construite au XVIIe siècle pour la famille Pineau, selon un plan en U (modifié). Propriété du fils de l'acteur Louis Jouvet, vers 1940.
- Manoir dit château Durandeau : ancienne maison noble de la famille Richon mentionnée sur la carte de Belleyme. Édifice peut-être construit au XVIIe siècle puis reconstruit au XVIIIe siècle et largement restauré au milieu du XIXe siècle.
- Manoir dit château de Formont : ancienne maison noble située sur l'un des sommets de l’extrémité de la presqu’île et mentionnée sur la carte de Belleyme. Édifice peut-être construit au début du XVIIIe siècle comme l’indiquait la date portée 1723 actuellement détruite.
- Manoir dit château du Gua : ancienne maison noble des familles Laroque, Donissan, Pineau. Connue dès le début du XVe siècle et mentionnée sur la carte de Belleyme, la demeure est entièrement détruite et reconstruite en 1866.
- Manoir dit château du Tillac : la maison noble de la famille Joly de Bonneau est sans doute construite au XVIIe siècle, peut-être à l’emplacement d’une ancienne demeure puisqu’elle est située sur un des sommets de l’extrémité de la presqu’île.
- L'église Saint-Pierre (mars 2014).
- Château Peychaud
- La chapelle Saint-Denis (sept. 2011).
- La chapelle Saint-Denis c 1900
- Le monument aux morts devant la mairie (mars 2014).
Personnalités liées à la commune
- Charles de Dompierre d'Hornoy (1816-1901), amiral français, ministre de la Marine et des Colonies (1873-1874) a été propriétaire du château de Peychaud.
- Marc Oraison (1914-1979), né à Ambarès, prêtre et médecin.
- Les membres du groupe musical Noir Désir ont enregistré une partie de leur premier album à Ambarès dans un local près de La Blanche (point d'eau), l'un des membres du groupe habitant à Ambarès.
- Philippe Madrelle : il complète sa formation initiale pour devenir professeur des collèges ; il enseigne l'anglais à Ambarès-et-Lagrave où il s'est installé.
- Louis Luguet : cycliste professionnel
Ambarès-et-Lagrave autrefois
Héraldique
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Les armes d'Ambarès-et-Lagrave se blasonnent ainsi : D'azur au bâton cablé en barre d'argent accompagné en chef, d'un édifice conique du même ouvert, ajouré et maçonné de sable, senestré d'un lion léopardé contourné d'or et en pointe, d'un édifice d'argent couvert en dôme ouvert, ajouré et maçonné aussi de sable, flanqué de deux tours moins hautes aussi d'argent ouvertes et maçonnées de sable, aux deux clefs d'or, brochant en abîme, l'une en fasce contournée, le panneton vers le chef, l'autre en pal renversée, brochant sur la première, le panneton vers senestre.
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Résultats du recensement de la population d'Ambarès-et-Lagrave sur le site de l'INSEE
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ambarès-et-Lagrave », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Ambarès-et-Lagrave sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Ambarès-et-Lagrave sur Géoportail, consulté le 18 avril 2015.
- Ambarès-et-Lagrave sur Géoportail, consulté le 18 avril 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Gervais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ambarès-et-Lagrave et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gervais - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ambarès-et-Lagrave et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ambarès-et-Lagrave sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 18 avril 2015.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
- Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k203766q/f533.image
- http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=9912
- Magazine de la ville no 56, p. 5 : Henri Houdebert honoré sur le site officiel de la commune
- Commune d'Ambarès-et-Lagrave sur le site de l'AMF, Association des Maires de France.
- Etienne Millien, « A Ambarès-et-Lagrave, Nordine Guendez récupère le fauteuil du maire », sur sudouest.fr, (consulté le ).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Ambarès-et-Lagrave, consultée le 27 octobre 2017.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Inscription de l'église Saint-Pierre », notice no PA00083110, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église de templiers Notre-Dame-de-La-Grave, actuellement édifice agricole », notice no IA33001183, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription du château de Peychaud », notice no PA00083109, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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