Ambernac
Ambernac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ambernac | |||||
L'église d'Ambernac. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Guy Rougier 2020-2026 |
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Code postal | 16490 | ||||
Code commune | 16009 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ambernacois | ||||
Population municipale |
380 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 58′ 52″ nord, 0° 32′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 147 m Max. 232 m |
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Superficie | 30,05 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Confolens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Vienne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
La commune d'Ambernac est située au nord-est du département de la Charente, en bordure occidentale du pays de Charente limousine. Elle appartient à la communauté de communes du Confolentais.
Elle est située à 10 km à l'ouest de Confolens et à 11 km au nord-est de Saint-Claud. Elle est aussi à 47 km d'Angoulême, la préfecture, 10 km de Champagne-Mouton, 10 km de Roumazières-Loubert, 6 km de Saint-Laurent-de-Céris[1].
La D 951, route d'Angoulême à Confolens et Guéret, maillon de la route Centre-Europe Atlantique, traverse le sud de la commune, à 4 km au sud du bourg. Le bourg est desservi par de petites routes départementales : la D 169, de Roumazières à Alloue et Épenède, la D 170 de Manot à Champagne-Mouton, la D 174 vers Saint-Laurent-de-Céris, la D 313 à l'est vers Confolens[2].
La gare la plus proche est celle de Roumazières, desservie par des TER entre Angoulême et Limoges.
Hameaux et lieux-dits
La commune compte quelques gros hameaux comme Saint-Martin (ancienne paroisse) et Montermenoux, au nord-est du bourg, et des hameaux plus petits comme la Grange des Mottes, le Breuil au nord, Clermont, l'Allemandie à l'ouest, etc.[2]
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est géologiquement à cheval sur le Bassin aquitain et le Massif central.
La vallée de la Charente est constituée de marnes du Lias alors que les plateaux d'une grande moitié occidentale, formés de terrains tertiaires (argile rouge au nord, argile à silex et altérite au sud), recouvrent du terrain calcaire jurassique. Ils comportent une faille géologique jurassique métallifère et il existe des vestiges de scories et de galeries de mine de plomb argentifère au bord de la Charente.
L'est de la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne. Les vallées du Rouillac et du Braillou sont creusées dans le granit, et des arènes argilo-sableuses recouvrent les plateaux[3],[4],[5].
Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 190 m assez vallonné car traversé du sud au nord par plusieurs vallées dont celle de la Charente à l'ouest. Le point culminant de la commune est à une altitude de 232 m, situé dans le bois d'Ambouriane au nord-est. Le point le plus bas est à 147 m, situé le long de la Charente sur la limite nord. Le bourg, dominant le confluent de la Charente et du Braillou, est à 185 m d'altitude[2].
Réseau hydrographique
La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6] et pour partie dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[7]. Elle est drainée par la Charente, le Braillou, le ruisseau des Vergnes, le ruisseau de Flagnat, le ruisseau de la Faye, le ruisseau de la Fontaine Berlière, le ruisseau de Rouillac, le ruisseau des Champs, le ruisseau du Maslandrie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Charente, d'une longueur totale de 381,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Léger-les-Vignes et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé 117 communes[9]. Encore petite, en aval de Roumazières et en amont d'Alloue, elle coule vers le nord et arrose l'ouest de la commune.
Le Braillou, ruisseau qui prend sa source dans la commune de Manot traverse la commune et se jette dans la Charente sur sa rive droite.
Le Rouillac est un ruisseau intermittent, affluent du Braillou à Saint-Martin.
Le ruisseau des Vergnes est un ruisseau affluent de la Charente sur sa rive droite au sud du bourg, ainsi que le ruisseau de Flagnat qui fait la limite sud de la commune.
Il y a aussi de courts ruisseaux intermittents dans les nombreux vallons ainsi que de petites retenues d'eau grâce au sol argileux[2].
Gestion des cours d'eau
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].
Climat
Comme une grande partie du département, le climat est océanique aquitain, mais il est légèrement dégradé aux abords de la Charente limousine; le climat y est légèrement plus humide et plus frais.
Urbanisme
Typologie
Ambernac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Confolens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), forêts (22,9 %), terres arables (18,3 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
La localité est attestée sous les formes Ambernaco, Bernaco (à dater)[18],[19].
Albert Dauzat et Charles Rostaing expliquent le premier élément Ambern- par un nom de personne latin *Ambarrinus, non attesté, suivi du suffixe -acum[20], d'origine gauloise *-āko[21].
Le hameau du Breuil tire son nom du bas latin brogilum, d'origine gauloise brogilos qui désigne un petit bois[22].
Le nom de Clermont désigne une colline à la vue dégagée[23].
Ambernac est située dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et se nomme aussi Ambernac en dialecte limousin[24].
Histoire
Andebrenaco était habitée par les Lemovici[Note 3]. Elle fut soumise par Jules César, en 51 av. J.-C., durant sa 8e campagne et fut une viguerie gallo-romaine. Ambernac eut une certaine importance aux temps mérovingiens de par l'existence d'une mine de plomb argentifère aux Chéronnies[25] et de l'existence supposée d'un atelier monétaire[26], si Ambernac était bien Andebrenaco. Une autre mine, peut-être exploitée, existait près du château de Puynode[27]. La monnaie était frappée « Andebrenaco », et l'atelier fut arrêté sous les Caroligniens[28],[29],[30].
Ambernac devint un bourg médiéval siège d'un archiprêtré qui bénéficia de largesses royales.
L'ancienne voie romaine d'Angoulême à Bourges par Argenton passait à 1,3 km au sud-est du bourg. Une portion a été découverte entre Luxérat et la Vallade, ainsi qu'à chez Pasquet[27]. Une borne milliaire romaine avec inscription, découverte dans l'ancien cimetière, était vraisemblablement située sur cette ancienne voie, et on peut la voir au musée archéologique d'Angoulême[31].
Ambernac faisait partie de l'ancienne province du Poitou (limite sud du diocèse, proche de celui d'Angoulême)[32], mais on y parlait la langue d'oc ou occitan sous forme du parler limousin[33].
Le château du Praisnaud, demeure de la famille Babaud, est mentionné au XVIe siècle. Il aurait aussi existé à cette époque un château de Puynode bas.
Jean-Baptiste Barbaud-Praisnaud fut sous-préfet de 1831 à 1848 durant la Monarchie de juillet.
Léonide Barbaud-Praisnaud fut député en 1848 puis préfet de la Charente en 1871.
Antoine Barbaud-Lacroze fut député et son fils Léonide conseiller d'État et sénateur.
Il a existé une tuilerie (présente sur le cadastre de 1835) et des fours à chaux aux Chéronnies. Il a aussi existé un moulin à vent, le « Moulin d'Ambernac ».
En 1935, l'acteur Noël-Noël acheta Praisnaud et il s'engagea dans le maquis durant la Seconde Guerre mondiale.
Administration
En 1793, Embernac appartenait au canton d'Allouë, en 1801 à celui de Champagne-Mouton puis en 1802 au canton de Confolens-Nord pour plus tard devenir Ambernac.
Démographie
Évolution démographique
Les habitants sont appelés les Ambernacois[35].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2019, la commune comptait 380 habitants[Note 4], en diminution de 1,55 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 186 hommes pour 188 femmes, soit un taux de 50,27 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Ambernac est une commune essentiellement agricole. La commune possède un gîte rural.
Équipement, services et vie locale
Enseignement
L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Alloue, Ambernac, Benest, Épenède et Hiesse. Alloue accueille l'école primaire (maternelle et élémentaire), Ambernac et Benest une école élémentaire[42].
Autres services
Les autres services sont sur les communes proches et surtout à Confolens.
Vivre à Ambernac
Il y a plusieurs associations, la Société de Chasse ainsi qu'un club du 3e Âge et un comité des fêtes.
La commémoration de la bataille d'Ambernac a lieu chaque dernier dimanche de juillet.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Pierre date initialement du XIe siècle et fut le siège d'un archiprêtré, avant d'être donnée à l'abbaye de Charroux par l'évêque de Poitiers. Elle fut fortement remaniée pour ne pas dire reconstruite au début du XXe siècle grâce aux dons d'une paroissienne. Elle fut consacrée à nouveau en 1905 par l'évêque d'Angoulême Mgr Ricard[43].
Patrimoine civil
Le château de Praisnaud se compose d'un logis rectangulaire flanqué de deux tours en diagonale, surmontées de toits coniques. La tour ouest serait un vestige d'une construction du XVIe siècle alors que la tour est date du XIXe siècle. La tour est monument historique, le logis, les communs, la cour ainsi que la grange, ont été inscrits par arrêté du [44]. Il possède une imposante fuie ronde, signe que le seigneur du lieu avait droit de haute et basse justice.
Le bourg possède un imposant lavoir.
Patrimoine environnemental
Les rives de la Charente sont zone Natura 2000.
Il y a trois chemins de randonnée, « Clermont » et « Ambouriane » chacun de 9 km, alors que « chez Guilloux » est long de 13,5 km.
Personnalités liées à la commune
- L'acteur Noël-Noël est inhumé dans le cimetière de la commune.
- Michel Bosc (compositeur) dont le roman Marie-Louise, l'Or et la Ressource ( (ISBN 978-2-343-03669-4)) se déroule en partie à Ambernac.
Voir aussi
Bibliographie
- Dujardin V., Moinot É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, no 243, Geste éditions, 2007.
Articles connexes
Liens externes
- Ambernac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Ambernac sur le site de la Communauté de Communes du Confolentais
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La carte des diocèses, anciennes civitates romaines, situe cependant Ambernac dans le Poitou, juste en limite de la civitas d'Angoulême au sud.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Ambernac » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le )
- « Fiche communale d'Ambernac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Sandre, « la Charente »
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur https://eau-grandsudouest.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Henri Beauchet-Filleau, Pouillé historique du diocèse de Poitiers, t. III, Niort, Clouzot, , 574 p. (lire en ligne), p. 174.
- Catillus Carol, « Ambernac », (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 13.
- Pierre-Yves Lambert : La Langue gauloise Paris, (éditions errance) 2003. (ISBN 978-2-87772-224-7)
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Paris (éditions Errance) 2001. (ISBN 978-2-87772-198-1), p. 91.
- Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des noms de villes et villages de Charente, Saint-Jean-d'Angély, Jean-Michel Bordessoules, , 311 p. (ISBN 2-913471-06-4), p. 13,53 et 88
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- Annales des mines, Compagnie française d'éditions, (lire en ligne), p. 149
- Prou, Catal, Antebrinnaco, p. 466
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 125
- Bulletin de la Société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze, vol. 39, Riche, (lire en ligne), p. 30-31
- A. Mazière, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, , p. XLII
- [PDF] Bulletin de la Société Archéologique de Brive, « Andebrenaco », (consulté le )
- Pierre Dubourg-Noves (dir.), Histoire d'Angoulême et de ses alentours, Toulouse, Éditions Privat, coll. « Univers de la France et des pays francophones », , 319 p. (ISBN 2-7089-8246-X, BNF 35072424, présentation en ligne), p. 305
- André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente Xe-XIIe s., Picard, , 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne), p. 44-45
- Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
- http://confolentais.blogs.charentelibre.fr/archive/2014/04/06/ambernac-guy-rougier-elu-maire-182612.html
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ambernac (16009) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 17
- « Château de Praisnaud », notice no PA16000032, base Mérimée, ministère français de la Culture
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