Amy (Oise)

Amy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Amy.

Amy

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Yann Guigand
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60011
Démographie
Gentilé Amédéens
Population
municipale
404 hab. (2019 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 20″ nord, 2° 49′ 33″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 97 m
Superficie 12,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Roye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Amy
Géolocalisation sur la carte : France
Amy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Amy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Amy
Liens
Site web https://www.amy-oise.fr/

    Géographie

    Description

    Amy est un village périurbain du Santerre dans le nord de l'Oise, limitrophe du département de la Somme, situé à 46 km sud-est d'Amiens, à 18 km à l'ouest de Montdidier, 58 km au nord-est de Beauvais et à 26 km au nord de Compiègne.

    Il est aisément accessible par l'autoroute A1 et les anciennes routes nationales RN 17 et RN 334 (actuelles RD 1017 et 934).

    Communes limitrophes

    Panorama du village

    Hydrographie

    Deux ruisseaux se réunissent à Amy pour former l'Avre (affluent de la Somme), un affluent du fleuve côtier la Somme.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 696 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-en-Santerre », sur la commune de Rouvroy-en-Santerre, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 636,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Amy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78 %), forêts (17,8 %), zones urbanisées (3,9 %), prairies (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 179, alors qu'il était de 170 en 2013 et de 159 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 83,6 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 11,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Amy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,1 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,5 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Amy en 2018.
    Typologie Amy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 83,6 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,1 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 11,3 7,1 8,2

    Toponymie

    Amy a été désigné comme Ami, l'Ami, Amy-le-Grand (Amedeium)[21].

    Ce terme dérivé d'« ami », est un ancien nom de baptême médiéval signifiant amant ou gai compagnon.

    Le nom des habitants, les Amédéens, proviendraient selon l'ancien maire Maurice Fagoo du nom d'un ancètre commun prénommé Amédée[22].

    Histoire

    Le monument aux morts.

    Amy existait avant le XIe siècle, car son église est dotée vers 1030 église, est dotée vers 1030 par Hardouin de Croï, évêque de Noyon.

    Le , pendant les guerres de la Fronde, le Grand Condé, assiégeant Roye, détruit le village dont les habitants se réfugient dans les bois d'Haussu[21].

    À la suite d'un coup de foudre, l'église a été détruite par un incendie le et reconstruite en briques, avec un nouveau clocher construit à côté de l'ancien portail Renaissance[21]..

    Sous l'Ancien Régime, le village faisait partie du bailliage, du grenier à sel de Roye, et de l'élection de Montdidier. Il comptait vingt-neuf feux, en 1469, et quatre-vingt treize, en 1770. La paroisse d'Amy était du doyenné rural de Nesle, et du diocèse de Noyon[23]

    Le château, situé à l'est du village près de l'église, présentait autrefois un vaste bâtiment composé d'un corps de logis principal, flanqué de deux pavillons entouré de fossés. Il est mentionné en 1850 comme démoli, et il n'en subsistait alors que deux pavillons construits en briques[23],[21].

    En 1850, le village comptait deux moulins à vent[21]. Quelque temps après, en 1883, existait une sucrerie dans la commune[23].

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].

    Un terrain d'aviation a été aménagé peu avant la Seconde Guerre mondiale par l'armée française sur la commune, dite Plate-forme d'opérations de Roye-Amy. Après avoir été utilisé par la Royal Air Force de septembre à octobre 1939, il est bombardé pendant la bataille de France le . À partir de septembre 1940, le terrain est utilisé par la luftwaffe, qui y construit 3 pistes de 1 770, 1 650 et 1 590 m, bétonnées et balisées, équipé d'un système d’approche par mauvais temps et de plusieurs aires de dispersion totalisant 59 abris; 2 batteries de 3 canons de 88 mm et une de 7 pièces de 20 et 37 mm. Les habitants sont contraints à évacuer le village, et des vestiges de cette base aérienne subsistent dans la commune, alors que l'aérodrome a été démantelé au début des années 1950[26],[22].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Amy est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962   Maurice Beaudet    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 2014 Maurice Fagoo[22]    
    2014[29] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Yann Guigand   Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

    Équipements et services publics

    En 2021, les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) fréquenté également par ceux d'Avricourt et de Margny-aux-Cerises. Deux de ses classes sont implantées à Amy[31]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2019, la commune comptait 404 habitants[Note 8], en augmentation de 8,89 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    379374425465490522533538473
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    442450472496495498483491463
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    474451478338413407365284362
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    336283240272342345367365389
    2019 - - - - - - - -
    404--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 197 hommes pour 202 femmes, soit un taux de 50,63 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    0,0 
    3,0 
    75-89 ans
    5,4 
    14,8 
    60-74 ans
    18,3 
    16,5 
    45-59 ans
    18,6 
    26,6 
    30-44 ans
    18,5 
    11,5 
    15-29 ans
    12,7 
    27,0 
    0-14 ans
    26,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    l'église Saint-Jean-Baptise a été reconstruite en 1924-1925 après les destructions de la Première Guerre mondiale en s'inspirant de l'architecture de l'édifice précédent, qui avait été largement reconstitué après un incendie de 1693. Toutefois, le portail du XVIe sièclea pu être remonté dans l'édifice actuel, perpétuant l’art de la Renaissance avec son archivolte en cintre surbaissé est finement sculptée et les deux piédroits composés de deux colonnettes en délit que surmonte une niche avec dais qui abritait autrefois une statue[37]..

    Personnalités liées à la commune

    En 1850, Louis Graves indiquait « La seigneurie de ce lieu appartenait, au quinzième siècle, à la maison de Belloy, l'une des plus anciennes de Picardie. Diane, fille et héritière de Charles de Belloy, l'apporta en mariage, l'an 1659, à Jean Scarron, conseiller au parlement, en faveur duquel cette terre fut érigée en marquisat par lettres du mois de septembre 1678. Elle était possédée, dans le dix-huitième siècle , par le marquis de la Chesnelaye , et passa après sa mort, arrivée en 1767, dans la maison de Soyécourt ; des alliances l'ont transférée successivement à M. le comte de Saint-Aulaire , aujourd'hui ambassadeur, et à M. le duc Decazes, pair de France, ancien ministre[21] ».

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Amy », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-en-Santerre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Amy et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-en-Santerre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Amy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Roye », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 111 p. (lire en ligne), p. 40-42, sur Google Books.
    22. « Ces villages aux noms insolites : Amy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    23. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 171-177.
    24. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    25. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    26. Jacques Calcine, « Amy – Roye », sur https://www.anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. « Les maires de Amy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    29. [Lien web=http://www.umo.asso.fr/index.php?mod=11&idcanton=&idcommune=11%7Ctitre=Fiche commune :Amy|éditeur=Union des maires de l'Oise|consulté le=22 août 2014]
    30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    31. « Présentation situation », Mairie, sur https://www.amy-oise.fr (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Amy (60011) », (consulté le ).
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    37. Dominique Vermand, « Amy, église Saint-Jean-Baptiste : Diocèse : Noyon », sur Eglises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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