Ancône (Drôme)
Ancône est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Ancône (homonymie).
Ancône | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Montélimar-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Christophe Féret 2020-2026 |
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Code postal | 26200 | ||||
Code commune | 26008 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ancônais, Ancônaises | ||||
Population municipale |
1 370 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 862 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 34′ 57″ nord, 4° 43′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 76 m |
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Superficie | 1,59 km2 | ||||
Unité urbaine | Montélimar (banlieue) |
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Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montélimar-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | anconedrome.fr | ||||
Géographie
Localisation
Ancône est située à 4 km de Montélimar.
Rochemaure (Ardèche) | Rochemaure (Ardèche) | Rochemaure (Ardèche) Montélimar |
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Rochemaure (Ardèche) | N | Montélimar | ||
O Ancône (Drôme) E | ||||
S | ||||
Rochemaure (Ardèche) Montélimar |
Montélimar | Montélimar |
Relief et géologie
Sites particuliers :
- Siphon du Meyrol
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :
- le vieux Rhône qui délimite la commune avec celles de Rochemaure en Ardèche[1] ;
- le canal de dérivation du Rhône coupe la commune en deux. La partie ouest est située sur les îles du vieux Rhône[1] ;
- la Lône et le contre-canal aboutissant au lac aux truites[réf. nécessaire] ;
- le Meyrol issu de Montélimar, passe dans une buse sous l’aérodrome de Montélimar-Ancône et fait la limite avec Montélimar[réf. nécessaire].
Urbanisme
Typologie
Ancône est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Elle appartient à l'unité urbaine de Montélimar, une agglomération inter-départementale regroupant 7 communes[5] et 56 765 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (31,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (27,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (28,6 %), eaux continentales[Note 3] (20,8 %), forêts (17,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), terres arables (0,3 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Cuchet
- Île de la Conférence
- Jonquière
- la Vachère
- le Truel
- Orgéas
Voies de communication et transports
Ancône est accessible par la route départementale RD 11 à l'est depuis Montélimar et à l'ouest depuis Rochemaure (Ardèche). L’accès nord passe par la D 165.
La gare la plus proche est celle de Montélimar.
Nous avons aussi :
- l'aérodrome de Montélimar ;
- le port fluvial de Montélimar ;
- la « ViaRhôna » (piste cyclable) qui traverse la commune sur la rive droite du contre-canal ;
- une ligne de bus entre Ancône et Montélimar.
Toponymie
La commune est dénommée Ancona en occitan[11].
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12].
- 1336 : castrum de Ancona (cartulaire de Montélimar, 43).
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Ancona (pouillé de Valence).
- 1486 : Anconna (cartulaire de Montélimar, 142).
- XVIe siècle : mention du prieuré : prioratus de Anconna supra Rhodanum (pouillé général, 88).
- 1891 : Ancone, commune du canton de Montélimar.
Non daté[réf. nécessaire] : Ancône.
Étymologie
En occitan, anco fait référence à un port, un havre. La position d'Ancône dans une anse du Rhône[11] était probablement une étape pour les bateliers navigant sur le fleuve.
D'après Ernest Nègre : « Ville neuve, fondée au XIIIe siècle, qui a probablement pris, le nom de la ville italienne d'Ancona »[13][source insuffisante].
Histoire
Du Moyen Âge à la Révolution
En 1164, le prieuré de l'ordre de Saint-Benoît est une dépendance du prieuré de Rochemaure[12].
La seigneurie[12] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était une possession des Adhémar.
- Elle passe (par mariage) aux Décan d'Uzès.
- 1253 : elle est hommagée aux comtes de Valentinois.
- 1336 : elle est recouvrée en partie par les Adhémar.
- L'autre partie appartient aux Lévis de la Roche, héritiers des Décan, qui la cède au dauphin Louis (futur roi Louis XI de 1461 à 1483).
- 1454 : le dauphin Louis cède Ancône aux Pracomtal.
- 1590 : cette terre est saisie. Les Pracomtal la recouvrent peu après. Elle leur restera jusqu'en 1738.
- 1738 : elle est vendue aux Lacoste de Maucune, derniers seigneurs.
1651 : le château médiéval est détruit[réf. nécessaire].
Ancône était un village prospère à l'ère des « équipages » sur le Rhône (bateaux tirés par des chevaux pour remonter le Rhône)[14].
Avant 1790, Ancône était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église était celle du prieuré. Le titulaire du prieuré avait la collation de la cure et les dîmes de la paroisse[12].
L'ancien village a été emporté par le Rhône au XVIIIe siècle[14].
Avant la Révolution, Ancône est un péage[14].
Politique et administration
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
Depuis 1993 et jusqu'en 2013, Ancône fait partie de la communauté d'agglomération Montélimar-Sésame, qui regroupe quinze communes[16]. En 2014, Montélimar-Sésame a fusionné avec une autre communauté de communes pour former Montélimar-Agglomération.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].
En 2019, la commune comptait 1 370 habitants[Note 4], en augmentation de 7,62 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Grenoble.
- Les élèves commencent leurs études à l'école maternelle Jacques-Prévert, qui compte trois classes, pour 65 enfants[21].
- Ils poursuivent à l'école élémentaire Robert-Desnos, dans quatre classes, pour 89 écoliers[22].
- Pour continuer leurs études, ils doivent aller dans la commune voisine de Montélimar. Des lignes de transports scolaires sont à leur disposition[23].
Manifestations culturelles, loisirs et festivités
- Fête patronale : le [14].
Loisirs
- Pêche dans la Lône, le contre-canal et un lac aux truites (bientôt aménagé)[réf. nécessaire].
- Randonnées dans les îles au nord du village et jusqu'à la base éducative, sportive et de loisirs de Montélimar-Agglomération[réf. nécessaire].
- Passé le pont de la D11 au-dessus du canal de dérivation du Rhône, toujours sur la commune d'Ancône, la « passerelle himalayenne » enjambe le Vieux Rhône et permet le passage sur la commune ardéchoise de Rochemaure. L'ouvrage d'art de la ViaRhôna (itinéraire le long du Rhône depuis le lac Léman jusqu'à la Méditerranée) est apprécié par les amateurs de marche, de course à pied, de vélo, de roller ou de skate[réf. nécessaire].
Cultes
La paroisse catholique d'Ancône dépend du diocèse de Valence, doyenné de Montélimar[24].
L'église de bateliers, rénovée en 2019 et 2020 par des bénévoles, rappelle le souvenir du père Christophe Lebreton, moine assassiné (avec six autres moines) en 1996 à Tibhirine en Algérie[réf. nécessaire].
Économie
Un marché hebdomadaire s'installe tous les vendredis matin sur une place de la ville[25].
Artisanat et entreprises sont bien représentés[réf. nécessaire].
Ancône compte une vingtaine de commerces de proximité[26] : boulangerie-épicerie-salon de thé, bar-restaurant-pizzeria, salon de coiffure, etc.
Tourisme
- Dans la commune voisine de Rochemaure (sur la partie située sur la rive gauche du Rhône), se trouve le camping de l'Île Blanc[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Auberge du XVIIe siècle (gîte)[réf. nécessaire].
- Digue, anneaux d'amarrage de l'époque où Ancône étaient un port actif sur le Rhône. En haut de la digue, pour accéder au fleuve, nous avons des ouvertures en pierre rainurées que l'on équipait autrefois de batardeaux en bois lors des crues[réf. nécessaire].
- Borne basaltique marquée par l'usure des cordages lorsque les équipages de chevaux tiraient leurs embarcations sur le Rhône[réf. nécessaire].
- Maisons fortes[14].
- Architecture limousine[14].
- Église Saint-Corneille-et-Saint-Cyprien d'Ancône du XIXe siècle[14] (voir plus haut : paragraphe « cultes »).
- Cinq repères des crues de 1840 et 1856 sont présents sur la commune[réf. nécessaire].
- La « passerelle himalayenne », sur le vieux Rhône, relie la commune à celle de Rochemaure (voir plus haut : paragraphe « Loisirs »).
Le port
Située à 3 km au nord-ouest de Montélimar, Ancône est un ancien village de bateliers qui a gardé l’empreinte de son passé rhodanien. Il était un port très actif qui alimentait Montélimar.
Ancône a conservé son ancien port, décrit par Frédéric Mistral dans son poème du Rhône, ses quais et sa digue, face à la Lône, ancien bras du fleuve déconnecté au XIXe siècle. Cette digue se prolongeait autrefois, par delà le canal actuel et protégeait le village des fureurs du Rhône qui l’envahissait régulièrement.
Anneaux d’amarrage, repères de crues, blocs en pierre rainurée équipés de batardeaux lors des crues et chemin de halage transformé en route subsistent encore de cette époque révolue.
Le Rhône dévié et canalisé s’est éloigné du village et ses sautes d’humeur dévastatrices font désormais partie du passé[réf. nécessaire].
Patrimoine culturel
De grands noms ont évoqué Ancône dans leurs écrits : les écrivains célèbres Frédéric Mistral, Félix Grégoire et madame de Sévigné, Louis Bonaparte (frère de Napoléon Ier et roi de Hollande)[réf. nécessaire].
Personnalités liées à la commune
- 1454 à 1738 : la famille montilienne des Pracomtal a détenu le fief, le château et les terres d'Ancône de 1454 à 1738. Cette année-là, elle a vendu toutes ses possessions à François de la Coste-Maucune, conseiller au parlement de Grenoble, fils de Laurent consul de Montélimar en 1707[réf. nécessaire].
- 1609 : Une branche de la famille Geoffre de Chabrignac bien connue dans la région, originaire du Limousin, s'installe à Ancône. Un siècle plus tard, elle est au Château Sarrasin (Serre-de-Parc) à Savasse, puis au domaine des Roches à l'Homme-d'Armes[réf. nécessaire].
- XVIIe siècle : la famille Gallet (originaire d'Ancône), de condition modeste, est parvenue rapidement à un éminent degré de fortune au XVIIe siècle. Cette famille devint les Gallet de Mondragon. L'un d'entre eux hérita d'un hôtel particulier à Paris, qui porte toujours son nom. Dans cet hôtel, loué à la municipalité pour en faire la mairie du 2e arrondissement, eut lieu le mariage de Napoléon Bonaparte et de Joséphine de Beauharnais le . Les Gallet ont offert un tableau classé à l'église du village ; leurs armoiries figurent au bas du tableau[réf. nécessaire].
- Richelieu (1585-1642) aurait logé dans une maison de la rue Cardinale à Ancône[réf. nécessaire].
- 1887 à 1909 : l'abbé Magnat est curé du village. Il est célèbre pour avoir créé la Boisson Blanche qui était censée guérir de nombreuses maladies dont la rougeole, la scarlatine, la petite vérole, l'influenza, la fièvre typhoïde[réf. nécessaire].
- Années 1930 à 1970 : le comédien montilien Charles Moulin, bien connu dans les années 1930 à 1970, aimait fréquenter Rhodia plage, un espace de loisirs nautiques avec sa piscine, ses plongeoirs, ses cabines de bains et ses gradins. Cet espace faisait face à la place des platanes, entre deux épis de la Lône d'Ancône[réf. nécessaire].
Héraldique, logotype et devise
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : « D'or, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or » La devise « Partout vit Ancône » est inscrite sur les armoiries de la branche Pracomtal d’Ancône au milieu du XVIe siècle par Antoine de Pracomtal dit capitaine d’Ancône, protestant opposé à son frère catholique.
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Annexes
Bibliographie
- XIXe siècle : A. Lacroix, l'Arrondissement de Montélimar.
- 1891 : J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, 1891, page 7.
- 2002 : Jacques Rossiaud, Dictionnaire du Rhône médiéval[27].
- 2004 : Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ancône sur le site de l'Institut géographique national (archive) / page archivée en février 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montélimar », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, 1910, Revue drômoise: archéologie, histoire, géographie, page 201, (id).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (Ancone).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : tome 3, Formations dialectales, page 1727, (ISBN 2600028846).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Ancône.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- intercommunalité.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- école maternelle Jacques-Prévert sur le site de l'académie.
- école primaire Robert-Desnos sur le site de l'académie.
- transports scolaires.
- paroisse d'Ancône
- marché hebdomadaire
- commerces.
- https://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_2004_num_162_1_463341_t13_0260_0000_2
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