Archettes
Archettes (/aʁ.ʃɛt/) est une commune française située dans le département des Vosges, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Archettes | |
![]() Vue sur Archettes. | |
![]() Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Épinal |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération d'Épinal |
Maire Mandat |
Patrick Georges 2020-2026 |
Code postal | 88380 |
Code commune | 88012 |
Démographie | |
Gentilé | Archettois, Archettoises |
Population municipale |
1 105 hab. (2019 ![]() |
Densité | 79 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 07′ 32″ nord, 6° 32′ 08″ est |
Altitude | Min. 338 m Max. 505 m |
Superficie | 13,93 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Arches (banlieue) |
Aire d'attraction | Épinal (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Épinal-2 |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site de la commune |
Géographie
Localisation


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Implantée sur la rive droite de la Moselle, Archettes fait face à la commune d'Arches. Ces deux localités tirent leur nom du terme latin Arculae, désignant les arches d'un pont qui enjambait déjà la rivière à l'époque gallo-romaine et qui se trouvait environ à 150 mètres au sud-ouest du village actuel.
Il est possible de penser que la constitution du village d'Archettes provient de l'extension, sur la rive droite de la Moselle, de quelques habitations du village d'Arches sur l'actuelle commune d'Archettes.
Géologie, relief et hydrographie
Archettes est traversée par la Moselle (rivière)[1]et le ruisseau d'Argent[2].
Il existe deux captages situés aux lieux-dits Bois Formé et Sarazin.
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle et le ruisseau d'Argent[3],[Carte 1].
La Moselle d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[4].
Le ruisseau d'Argent, d'une longueur totale de 11,2 km, prend sa source dans la commune de Roulier et se jette dans la Moselle dans la commune d'Archettes, en limite avec Arches, après avoir traversé cinq communes[5].

Urbanisme
Typologie
Archettes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arches, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[9] et 2 723 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,7 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (7 %), terres arables (6,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
Archettes est le diminutif de la commune voisine d'Arches. La première mention du nom d'Archettes remonte à 1279[16].
Histoire
Durant l'Ancien Régime, la paroisse d'Archettes était composée du village de ce nom, des hameaux de Mossoux et La Baffe, des quatre censes de la Versure, des deux de l'Ermitage, des huit de Mont-le-Rupt, de celle du Bois-Formé et de la partie de Jarménil qui longe la forêt de Tannières, sur la gauche de la Vologne. Puis, il en a été retranché La Baffe et Jarménil, ainsi que les censes des Arpents, et ajouté les deux censes de Soba.
Au spirituel
Avant 1776, la paroisse d'Archettes faisait partie du doyenné de Remiremont, archidiaconé des Vosges, diocèse de Toul. Mais depuis, la paroisse relève du doyenné de Remiremont, archidiaconé d’Épinal, diocèse de Saint-Dié, évêché érigé par la bulle du pape Pie VI du .
Avant la Révolution, il y avait sur le territoire de la commune d'Archettes, un ermitage de la Conception Notre-Dame[17], dans lequel se faisait le noviciat des ermites de la congrégation de Saint-Jean-Baptiste, dont les statuts réformés ont été approuvés par l'évêque de Toul le . Cet ermitage, dont la date de fondation est inconnue, fut détruit en 1789 et remplacé par les deux fermes dites de l'Ermitage[18].

L'église communale est dédiée à saint Léger. Né vers 616, dans une vieille famille franque, de la région de Poitiers, apparentée aux nobles burgondes, évêque d'Autun à partir de 663, Léger est mêlé de très près aux luttes entre la Burgondie (centre et est de la France) et la Neustrie (nord de la France). Il défend en effet les usages et l'autonomie de la Bourgogne contre la tendance centralisatrice de la Neustrie. Exaspéré par son comportement, Ébroïn (maire du palais) de Neustrie, assiège l'évêque dans sa ville d'Autun. Celui-ci se livre pour épargner la cité, mais il est alors soumis aux pires tortures : les yeux brûlés, ses bourreaux le forcent à marcher dans un bassin dont le fond est semé de pierres tranchantes, puis ils lui tailladent les joues et lui coupent la langue et les lèvres. Il est déclaré "prêtre indigne" par un synode convoqué par Ebroïn.
Léger survit deux ans à ses atroces mutilations, interné de force chez des religieuses à Fécamp, avant qu'on le décapite, le , après un simulacre de procès. Après sa mort, un autre synode réhabilite Léger et lui donne le titre de martyr. Un des premiers textes littéraires en langue romane lui est dédié en 970 ("complainte de Saint-Léger").
Les papeteries
Le , les frères Claude Joseph et Grégoire Léopold Desgranges (de Luxeuil-les-Bains) rachètent pour 50 000 livres à Beaumarchais, les papeteries que ce dernier possédait à Arches et à Archettes[19].
Anciennes divisions administratives
Sous l'Ancien Régime, le ruisseau qui traverse le village avant de se jeter dans la Moselle, appelé le ruisseau d'Argent, sépare le territoire de la commune en deux sections distinctes, chacune appartenant à une juridiction différente, à savoir :
- la section dite du Ban-d'Arches, située sur la rive gauche du Ruisseau d'Argent, relève du ban et de la prévôté d'Arches, bailliage de Vosges ; puis, à partir de l'édit du duc de Lorraine Stanislas de , du ban d'Arches et du bailliage de Remiremont ;
- la section dite du Bailliage, située sur la rive droite, relève de la mairie de La Baffe et du bailliage d'Épinal, l'édit de 1751 ayant maintenu cette division administrative.
Le ban d'Arches comprend les villages et hameaux d'Arches, Hadol, Laménil, Giroménil, Guménil, Senade, le Rouillier, Dounoux, Éloyes, Pouxeux et donc partie d'Archettes. La mairie de La Baffe comprend pour sa part La Baffe, Mossoux et l'autre partie d'Archettes.
La scission administrative du village d'Archettes a une autre conséquence, outre le fait d'affecter chacune de deux sections à des juridictions différentes. En effet, les habitants des sections de ne se voient pas appliquer les mêmes règles juridiques : ainsi, la coutume de Lorraine s'applique sur le territoire de la section du Ban-d'Arches, tandis que la section du Bailliage connaît pour sa part la coutume d’Épinal.
Ce double régime juridique prend fin avec la Révolution de 1789 et l'unification du droit. Mais la division administrative de la commune survit à la Révolution. Le conseil municipal d’Archettes y met un terme définitif à la fin du XIXe siècle. À cette époque, la commune d'Archettes possède en pleine propriété quatre forêts : les trois forêts sectionales du Bailliage (141 ha 07 a), du Ban d’Arches (128 ha 47 a) et de Tannières (35 ha), ainsi que la forêt communale d’Archettes (10 ha 89 a), soit un massif forestier d’une contenance totale de 315 ha 43 a).
Toutefois, les produits des coupes de ces forêts ne sont pas partagés entre l’universalité des habitants. En effet, ceux-ci sont répartis selon la division ancestrale de la commune en deux sections distinctes l’une de l’autre et ayant chacune sa ou ses forêts d’attribution. Ainsi, les habitants de la rive droite du Ruisseau d’Argent, qui correspond à la section dite du Bailliage d’Épinal, sont fournis en bois de chauffage grâce aux forêts sises sur ce territoire, c’est-à-dire la forêt du Bailliage - aujourd’hui appelée forêt du Chenât. Tandis que les habitants de la rive droite du Ruisseau d’Argent, ceux de la section du Ban d’Arches, sont fournis en bois dans les forêts du Ban d’Arches et de Tannières, la forêt communale d’Archettes étant pour sa part affectée à l’affouage des habitants deux sections.
Cet état de fait est néanmoins à l’origine de graves difficultés pour l’administration de la commune, engendrant notamment des troubles de l’ordre public. C’est pourquoi le conseil municipal vote une délibération, en date du , dans laquelle :
« il propose, dans un esprit d’équité, de réunir en une seule toutes les sections d’affouage de la commune, d’en partager les produits également entre tous les affouagistes sans distinction, en un mot de ne plus établir à l’avenir qu’un rôle unique d’affouage. »
Avant de mettre en pratique une telle décision, le conseil souhaite procéder à une enquête auprès des habitants de la commune afin de recueillir leur avis. Ceux-ci ne s’y opposant pas, la décision du conseil municipal est entérinée par arrêté préfectoral du .
C’est ainsi que, depuis 1884, les produits des coupes de toute nature appartenant aux différentes sections de la commune sont réunis et distribués de manière égale entre tous les affouagistes de la commune, sans distinction fondée sur l’appartenance à une des deux sections de la commune, mettant par la même fin à une pratique immémoriale.
Néanmoins, la réunion des produits tirés des coupes de bois ne doit pas faire penser que la division de la commune en deux parties distinctes est définitivement éteinte. En effet, bien qu’elles ne puissent plus jouir librement du produit de leurs bois, chaque section demeure encore propriétaire à titre indivis de ses bois. Mais cette répartition des propriétés forestières n’existe plus pour très longtemps, une nouvelle délibération du conseil municipal intervenant en 1897.
En effet, se basant sur sa délibération du , le conseil municipal estime, dans la délibération du , que :
« les massifs formant les quatre forêts ci-dessus peuvent être actuellement considérés comme ne constituant qu’une même propriété communale ; il y aurait de grands avantages à les réunir pour procéder à leur aménagement, le quart de réserve pouvant être formé des cantons situés sur la rive gauche de la Moselle, à raison de leur éloignement considérable de la commune et des difficultés du transport qui en résultent pour les affouagistes. »
Le conseil souhaite donc que la forêt communale d’Archettes et les forêts sectionales du Bailliage, du Ban d’Arches et de Tannières soient désormais toutes désignées sous le nom de “forêt communale d’Archettes”, la propriété des trois forêts sectionales passant d’une section particulière de la commune à l’universalité des habitants d’Archettes. Ce choix n’est que la suite logique de la délibération de 1884 : les habitants des sections ne pouvant plus jouir librement des forêts situées sur leur territoire, il n’y a dès lors plus lieu de leur laisser la propriété de ces forêts.
Et c'est ainsi, par le passage d'une propriété sectionale des forêts à une propriété communale, que fut mis un terme à la division de la commune d'Archettes en deux sections distinctes, aucun autre élément relevant de l'administration générale de la commune ne justifiant plus cette division.
Politique et administration

Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[20] :
- total des produits de fonctionnement : 771 000 €, soit 685 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 744 000 €, soit 660 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 354 000 €, soit 314 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 119 000 €, soit 105 € par habitant ;
- endettement : 570 000 €, soit 506 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 24,75 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,20 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- Cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Liste des maires
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté d'agglomération d'Épinal.
Jumelage et parrainage
Archettes n'est jumelée avec aucune autre commune. La commune d'Archettes parraine la tombe du soldat Bernardino Petrarca[23].
Population et société
Démographie
Les habitants sont nommés les Archettois et les Archettoises [24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2019, la commune comptait 1 105 habitants[Note 3], en diminution de 0,45 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,86 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments

- Église paroissiale Saint-Léger, reconstruite au milieu du XIXe siècle[29],[30]. On peut y admirer plusieurs œuvres classées dont une Vierge à l’Enfant du XVIe siècle (v. 1520-1525), originaire de l'ancien couvent des Minimes d'Épinal[31] ; un maître-autel baroque en bois doré avec six chandeliers et un retable dit "de l'Ecce Homo", en bois polychrome et doré, tous deux datant du XVIIIe siècle et provenant peut-être de l'ermitage du lieu[32] ; des statues de saint Antoine[33] et saint Sébastien[34] en bois polychrome et doré datant également du XVIIIe siècle et en provenance de l'ermitage[35].
- Vestiges d'un sanctuaire gallo-romain au dieu Mercure en forêt domaniale de Tannières[36].
- Le Chêne de la Vierge en forêt domaniale de Tannières, dédié au culte de la Vierge Marie (une messe s'y déroule le de chaque année)[37].
- Remarquables affleurements de roches gréseuses d'aspect ruiniforme datant du Trias (conglomérat principal), surplombant la route d'Épinal à la sortie sud-ouest du village[38].
- Les rapides de la Moselle, au lieu-dit Bazimpré[39],[40].
Personnalités liées à la commune
Héraldique
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Blasonnement :
Tiercé en pairle : au 1er d'argent, au pont à deux arches d'or mouvant des flancs surmonté de trois sapins arrachés de sinople mis en fasce ; au 2e d'azur, au tambour de papeterie d'or d'où pend une coulée de papier d'argent en pal ondé ; au 3e de sinople au Temple de Mercure d'argent ; au chef soudé d'or, à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent.
Commentaires : Le pont à deux arches symbolise le nom de la commune et le pont qui enjambe la Moselle. Les sapins représentent la forêt environnante. Le deuxième tiercé du pairle symbolise les anciennes activités industrielles aujourd'hui disparues : la papeterie et le tissage. Le dernier tiercé symbolise le temple de Mercure et le chef est aux armes de Lorraine[41]. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Henri Lepage et Charles Charton, Le département des Vosges, statistique, historique et administrative, deuxième partie. Notice sur les communes, hameaux, censes, etc., Épinal, Gley (imprimeur), (lire en ligne), p. 15-16
- Léon Louis et Paul Chevreux, Le département des Vosges. Dictionnaire historique et statistique des communes, hameaux, écarts, fermes, accompagnés de plans. Communes de A à I, vol. Tome VI, E. Busy, , p. 18-20
- Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, (lire en ligne), p. 8-9
- Pierre Mathieu, Un sanctuaire gaulois en forêt domaniale de Tannières, Archettes - Vosges, plaquette éditée par le Club Culturel d'Éloyes, , 28 p.
- Pierre Mathieu et collaborateurs, La Seconde Guerre mondiale dans la région d'Éloyes, Épinal, Association de Recherches Archéologiques et Historiques d'Éloyes et de ses environs, , 513 p., p. 155-169
- Archettes : affouages et corvées
- Archettes : description en 1887
- Archettes : paroisse et ermitage
- Pierre Mathieu et collaborateurs, La vie rurale et son patrimoine, l’eau, la forêt et l’agriculture de montagne dans la région d’Éloyes ; comprenant les communes de : Arches, Archettes, Bellefontaine, Cheniménil, Cleurie, Docelles, Éloyes, Faucompierre, Hadol, Julienrupt, Le Syndicat, La Forge, Le Tholy, Pouxeux, Raon-aux-Bois, Réhaupal, Saint-Amé, Saint-Étienne-lès-Remiremont, Saint-Jean-du-Marché, La Neuveville-devant-Lépanges, Saint-Nabord, Tendon, Xamontarupt, Épinal, Association de Recherches Archéologiques, Histoire et Patrimoine d'Éloyes et de ses environs, , 654 p.
- Aurélien Tavella, Les droits d'usage des habitants de la commune d'Archettes dans la forêt domaniale de Tannières, Université Nancy II, mémoire de DEA Histoire du droit, , 114 p.
- Archives paroissiales d'Archettes
- Archettes commune sœur d'Arches
Articles connexes
Liens externes
- « Mairie de Archettes », sur mairie.archettes.fr (consulté le )
- « Patrimoine naturel de Archettes », sur Inventaire National du Patrimoine Naturel (consulté le )
- « Dossier complet des statistiques de Archettes », sur insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Archettes » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
Références
- Jonathan Chaumon, « Le réseau hydrographique », sur avuxon.fr (consulté le )
- « Ruisseau d'Argent », sur annuaire-mairie.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Archettes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
- Sandre, « la Moselle »
- Sandre, « le ruisseau d'Argent »
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Arches », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Épinal », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Richard Ratajczyk, De l'origine des noms de lieux du département des Vosges (étude), Épinal, , p. 9
- Patronages d'Ermitages des Vosges : Notre-Dame de Pitié ou Notre-Dame de Compassion (Archettes).
- Ermitage (L'), ferme, commune d'Archettes : *La Conception, 1779 (Durival) ; *Saint-Antoine, hge, XVIIIe siècle (Cassini); *Hermitage, 1887 (Chevreux et Louis).
- Archives Nationales, Minutier Central, MC/ETXVI/882.
- Les comptes de la commune de Archettes « Copie archivée » (version du 19 avril 2019 sur l'Internet Archive).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Association de Recherches Archéologiques et d'Histoire d'Eloyes et de ses environs, Le passé d'Eloyes, Arches, Archettes, Pouxeux et Jarménil. Le massif du Fossard à travers les âges, Conseil général du département des Vosges, , p. 69.
- Parrainage d'une tombe par les élèves d'Archettes.
- https://www.habitants.fr/vosges-88
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- L’église d’Archettes dédiée à Saint Léger.
- Vitraux de l'église Saint Léger.
- Notice no PM88000010, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Vierge à l'Enfant.
- Notice no PM88000008, base Palissy, ministère français de la Culture maître-autel et sa garniture : croix d'autel, chandeliers d'autel.
- Notice no PM88000009, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Saint Antoine.
- Notice no PM88000011, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Saint Sébastien.
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du Ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine.
- Le temple de Mercure.
- Chêne de la Vierge - Forêt de Tannières.
- Conglomérat Principal route d'Archettes : 3. Description.
- Le Réseau Hydrographique : la Moselle.
- "Annales de la Société d'émulation du département des Vosges", Les rapides de Bazimpré.
- Site de généalogie.
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