Arraute-Charritte

Arraute-Charritte est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Arraute et Charritte.

Arraute-Charritte

L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Christian Guillemin
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64051
Démographie
Gentilé Arruetar
Population
municipale
406 hab. (2019 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 59″ nord, 1° 06′ 20″ ouest
Altitude Min. 8 m
Max. 192 m
Superficie 22,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Arraute-Charritte
Géolocalisation sur la carte : France
Arraute-Charritte
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Arraute-Charritte
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Arraute-Charritte

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Arraute-Charritte se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 92 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 45 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 13 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Masparraute (1,5 km), Orègue (2,4 km), Amorots-Succos (3,8 km), Labets-Biscay (4,3 km), Béguios (4,7 km), Bergouey-Viellenave (4,8 km), Ilharre (5,3 km), Luxe-Sumberraute (6,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Arraute-Charritte fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

    Communes limitrophes d’Arraute-Charritte[10]
    Bidache Came,
    Arancou
    Orègue Bergouey-Viellenave
    Amorots-Succos Masparraute
    L'entrée d'Arraute-Charritte sur la D 11.
    Le monument aux morts.
    La boulangerie.

    Accès

    Arraute-Charritte est desservie par les routes départementales D 11 et D 310.

    La ligne 870 du réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques, qui relie Tardets-Sorholus à Bayonne possède un arrêt sur la commune.

    Lieux-dits et hameaux

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Arraute-Charritte.

    La commune est drainée par la Bidouze, l'Apatharena, arriou grand, bordaberriko erreka, lamulariko erreka, mendihegiko erreka, le ruisseau de sarrot, sanseroiko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[12],[Carte 1].

    La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[13].

    L'Apatharena, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Béguios et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihoury à Bidache, après avoir traversé 6 communes[14].

    Climat

    Le climat, ici de type océanique aquitain, est influencé par trois facteurs principaux[15] :

    1. la latitude, la commune se situe dans le département le plus au sud de la côte Atlantique ;
    2. l'océan Atlantique, sa proximité joue le rôle de régulateur thermique : étés secs et faibles amplitudes thermiques ;
    3. les Pyrénées qui sont une barrière naturelle retenant les courants atmosphériques de nord-ouest et favorisant ainsi d'abondantes précipitations à la fin du printemps. En automne et en hiver, l'effet de Foehn (courants atmosphériques du sud) permet à la région d'obtenir des températures exceptionnelles par rapport au reste du pays, et un ciel parfaitement dégagé.
    Données générales
    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Arraute-Charritte[17] 1 9351 48333430
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[19], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[20],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Trois ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[21],[Carte 3] :

    • le « bois de Mixe » (896,92 ha), couvrant 3 communes du département[22] ;
    • les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du département[23] ;
    • le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Arraute-Charritte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34 %), zones agricoles hétérogènes (31,5 %), prairies (22,6 %), terres arables (11,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Arraute, mentionné dès le XIIe siècle[11] (cartulaire de Sorde[31]), apparaît sous les formes arraute (1125[32]), sanctus petrus de arraute (1160[32]), Araute (1350[32]), arraute (1413[32]), Arrauta (1513[11], titres de Pampelune[33]) et Arrueta (1621[11], Martin Biscay[34]).

    Le toponyme Charrite apparaît sous les formes Sanctus Joannes de Sarricte (1160[32]), Sarrite (1316[32]), Ssarriette (1381[32]), Sarricoete (1413[32]), Sarricoata (1513[11], titres de Pampelune[33]) et Charrite (1793[35] et 1801[35], Bulletin des Lois pour cette dernière date).

    Jean-Baptiste Orpustan[32] indique que Charrite provient de Sarri-ko-(e)ta, « lieu de petits fourrés ». En revanche, aucune certitude n’est donnée pour l’origine du toponyme Arraute.

    Autres toponymes

    Éliçaïcine et Élicetche sont deux fiefs du royaume de Navarre, présents sur Arraute, cités par le dictionnaire de 1863[11].

    Le chemin de l'Ermite s'étend, d'après Paul Raymond[11] sur les communes d'Arraute-Charritte et de Viodos-Abense-de-Bas.

    Ithorrondo, ferme de la commune, est citée en 1621[11] (Martin Biscay[34]).

    Paul Raymond indique, en 1863[11], un bois de la commune, du nom de le Coud.

    L'hydronyme Lafaure apparaît sous les formes la Phaura en 1538[11] (réformation de Béarn[36]) et la Phaure et 1863[11].

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Arrueta-Sarrikota[37].

    Histoire

    La commune a été créée le [38] par la réunion des communes d' Arraute et de Charritte-Mixe.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des derniers maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Robert Gratien   Chef d'entreprise
    2001 En cours Christian Guillemin DVD[39] Chauffeur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune appartient également à six syndicats intercommunaux[40] :

    Arraute-Charritte est le siège du syndicat de regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Charritte, Beguios, Masparraute et Orègue[41].

    Population et société

    Démographie

    Le nom des habitants est Arruetar[42],[37].

    Évolution démographique

    En 1350, 3 feux sont signalés à Charritte[43].

    Le recensement[44] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[45] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[46], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Arraute la présence de 7 feux, le second de 22 feux (16 + 6 feux secondaires).

    Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[47] dénombre 80 feux à Arraute.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].

    En 2019, la commune comptait 406 habitants[Note 7], en augmentation de 6,01 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    417284389561549561737735713
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    686721720712713731657634612
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    662664644555535573558506461
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    471444418376365322322327385
    2015 2019 - - - - - - -
    373406-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arraute, encore séparé de Charritte, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[35].

    Évolution de la population
    1793 1800 1806 1821 1831 1836
    119126131134213208
    (Sources : Cassini)

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,9 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 30,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 207 hommes pour 189 femmes, soit un taux de 52,27 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,92 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    1,5 
    9,6 
    75-89 ans
    10,6 
    17,4 
    60-74 ans
    15,1 
    25,7 
    45-59 ans
    24,6 
    15,6 
    30-44 ans
    21,1 
    13,3 
    15-29 ans
    9,0 
    18,3 
    0-14 ans
    18,1 
    Pyramide des âges du département des Pyrénées-Atlantiques en 2018 en pourcentage[53]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ou +
    2,5 
    8,6 
    75-89 ans
    11,7 
    18,2 
    60-74 ans
    19 
    21,3 
    45-59 ans
    20,6 
    18,1 
    30-44 ans
    17,3 
    16,4 
    15-29 ans
    14,2 
    16,7 
    0-14 ans
    14,7 

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique (RPI Amoba)[54]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[55].

    Amorots-Succos, Masparraute, Orègue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA[56]).

    Économie

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Budget et fiscalité
    • taxe d'habitation : 9,04 % (en 2003)[57]
    • taxe foncière : 6,39 % (propriétés bâties)
    • taxe professionnelle : 7,97 %

    L'économie locale est surtout axée sur l'agriculture.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le village, typiquement basque, possède quelques maisons à colombage.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre[58] d'Arraute et celle de Charritte sont du XIXe siècle. Cette dernière recèle un retable du XVIIIe siècle. L'église d'Arraute est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2006.

    La chapelle funéraire de Samacoitz fait également partie de ce patrimoine religieux.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De sinople au lion d'argent[59].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Arraute-Charritte » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arraute-Charritte », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Arraute-Charritte », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Arraute-Charritte », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Arraute-Charritte et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Arraute-Charritte et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Arraute-Charritte et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Arraute-Charritte », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    8. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    10. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    11. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    12. « Fiche communale d'Arraute-Charritte », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Sandre, « la Bidouze ».
    14. Sandre, « l'Apatharena ».
    15. Données Météo France
    16. Données de la station de Biarritz, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
    17. Données de la station de Biarritz, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
    18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arraute-Charritte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arraute-Charritte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « bois de Mixe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    31. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    32. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF 40190262).
    33. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
    34. Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
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    36. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    37. - Académie de la langue basque
    38. Ordonnance du 27 juin 1842 (Bulletin des lois de la République française).
    39. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
    40. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    41. Fiche détaillée des compétences du syndicat de regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Charritte, Beguios, Masparraute et Orègue
    42. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
    43. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze - Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 2 909262 05 7), page 77
    44. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
    45. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
    46. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
    47. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    52. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Arraute-Charritte (64051) », (consulté le ).
    53. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Pyrénées-Atlantiques (64) », (consulté le ).
    54. Site du R.P.I. AMOBA
    55. Site officiel de la Direction Générale des Impôts
    56. « L'église Saint-Pierre », notice no IA64000686, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. Guy Ascarat
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