Ascarat
Ascarat (en basque : Azkarate) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Ascarat | |||||
![]() Maison basque de Basse-Navarre (tuiles rousses et pierres d'angle apparentes). | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Philippe Etchenique 2020-2026 |
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Code postal | 64220 | ||||
Code commune | 64066 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Azkaratear | ||||
Population municipale |
329 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 10′ 17″ nord, 1° 15′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 120 m Max. 446 m |
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Superficie | 5,82 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Jean-Pied-de-Port (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Jean-Pied-de-Port (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montagne Basque | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Ascarat se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 119 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 50 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 43 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Uhart-Cize (1,1 km), Lasse (1,5 km), Saint-Jean-Pied-de-Port (1,6 km), Ispoure (1,7 km), Anhaux (2,9 km), Irouléguy (3,8 km), Caro (4,0 km), Ispoure (4,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Ascarat fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays de Baïgorry-Ossès (Baigorri-Ortzaize), au sud-ouest de ce territoire.
Hydrographie
![](../I/64066-Ascarat-Routes-Hydro.png.webp)
La commune est drainée par la Nive, la Nive d'Arnéguy, Pagolako erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[13],[Carte 1].
La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naît au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontière espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, après avoir traversé 20 communes[14].
La Nive d'Arnéguy, d'une longueur totale de 20,8 km, naît au pied du col d'Ibañeta, dans la commune de Luzaide (Espagne), et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Nive à Uhart-Cize, après avoir traversé 4 communes[15].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[18]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[21] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[22],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 41 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[25], à 14,3 °C pour 1981-2010[26], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[27].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Nive »[29], d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[30],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 7] sont recensées sur la commune[31],[Carte 3] :
Urbanisme
Typologie
Ascarat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[34],[35],[36]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jean-Pied-de-Port, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[37] et 4 773 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[38],[39].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[40],[41].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,4 %), prairies (20,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,4 %), forêts (13,4 %), zones urbanisées (5,7 %)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Apelchénéa[12]
- Arbelarréa[12]
- Arrécharborda[12]
- Béhérekoetchéa[12]
- Bentaberria[12]
- Beskinaénéa[12]
- Bidartéa[12]
- Bordia[12]
- Burugorriénéa[12]
- Caracotchéa[12]
- Choko Ona[12]
- Errékaldéa[12]
- Fargas (château de)[12]
- Ferrandoénéa[12]
- Garatégaïna[12]
- Haranbiako Borda[12]
- Harguinaénéa[12]
- Harguinchuria[12]
- Hirureta[12]
- Indartéa[12]
- Iputchaénéa[12]
- Ithurraldéa[12]
- Ithurricheta[12]
- Jauberria[12]
- Pontoussénéa[12]
- Puchulua[12]
- la Solitude[12]
- Tofinaenea[12]
- Uhaldéa[12]
Voies de communication et transports
Ascarat est desservie par les routes départementales D 15 et D 918.
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Ascarat apparaît sous les formes Ascarat (1106[43]), Escarat (XIIIe siècle[43]), Azcarat (1350[43]), Atzcarat (1366[43]), Azquarat (1413[43]), Axcarat (1513[44], titres de Pampelune[45]), Axcarate (1621[44], Martin Biscay[46]) et Sanctus Julianus d'Ascarat (1763[44], collations du diocèse de Bayonne[47]).
Étymologie
Jean-Baptiste Orpustan indique que le toponyme est composé de aitz (« rocher ») et de garate (« lieu haut »), soit « hauteur de rocher »[43].
Autres toponymes
Chubitoa est un hameau d’Ascarat et d’Anhaux, mentionné en 1863[44] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
Jauréguy était un fief vassal du royaume de Navarre, cité dans le dictionnaire de 1863[44] de même que Larragoyen.
Histoire
La paroisse est mentionnée[48] dès 1256 et est « ravagée par des gens de guerre » en 1396.
En 1391, Saint-Étienne-de-Baïgorry englobait les communes actuelles de Anhaux, Ascarat, Irouléguy et Lasse[49].
Politique et administration
Intercommunalité
La commune d'Ascarat appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, du SIVOS de Garazi, du SIVU Hiruen Artean et du syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port.
Démographie
L'enquête de 1786[52] recense à Ascarat 56 maisons et 328 personnes[53].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[55].
En 2019, la commune comptait 329 habitants[Note 10], en augmentation de 1,54 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de celle d'appellation de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église.
- Le fronton place libre.
Patrimoine civil
La commune possède un ensemble de fermes[58] des XVIe et XVIIe siècles, inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel. La ferme Harizpea[59] date de 1587 et la maison Uhaldea[60] de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle. Le manoir[61] dit château de Vergues ou château de Fargas date, quant à lui, du XVIIIe siècle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Julien-d'Antioche[62], d'origine médiévale, a été fortement remaniée aux XVIIIe et XIXe.
Personnalités liées à la commune
Pierre Narbaitz, né en 1910 à Ascarat et mort en 1984 à Cambo-les-Bains, est un historien, écrivain et académicien basque français de langue basque et française.
Héraldique
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Blasonnement :
Écartelé au 1 d'azur au cep de vigne pampré d'argent et fruité d'or ; au 2 d'argent à une aigle essorante de sable sur un mont de sinople ; au 3 d'argent à deux fasces de gueules ; au 4 d'azur à un cheval gai passant d'or surmonté de deux étoiles d'argent posées en fasce au franc quartier des barons militaires d'Empire[63]. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Ascarat » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ascarat », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ascarat », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Ascarat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ascarat et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ascarat et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ascarat et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Ascarat », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Ascarat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Nive ».
- Sandre, « la Nive d'Arnéguy ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Ascarat et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Ascarat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200786 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF 40190262).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
- Manuscrits des XVIIe et XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- « Présentation de la commune d'Ascarat », notice no IA64000420, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Présentation de la commune de Saint-Étienne-de-Baïgorry », notice no IA64000425, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
- « 15 maires et plusieurs élu·e·s votent EHBAI ! », sur Euskal Herria Bai, (consulté le ).
- Archives nationales K 1235, no 21, citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 77.
- avec un cheptel composé de 31 chevaux, mulets ou juments, 1339 brebis, 214 vaches et 153 cochons
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Le recensement des bâtiments anciens d'Ascarat », notice no IA64000486, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme Harizpea », notice no IA64000416, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison Uhaldea », notice no IA64000459, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le château de Vergues », notice no IA64000415, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Julien-d'Antioche », notice no IA64000414, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Guy Ascarat.
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