Association des planétariums de langue française
L'Association des planétariums de langue française (APLF) est une association créée en 1989 lors du colloque de Méribel qui regroupe la plupart des planétariums français, dans le but de renforcer les liens entre le monde des planétariums et les astronomes professionnels, et développer les planétariums en favorisant rencontres et échanges. L'APLF réunit actuellement 110 membres représentant 22 planétariums. La rencontre annuelle constitue un temps fort, riche en informations et en moments de détente conviviale.
Elle a son siège à Épinal.
Outre la majeure partie des planétariums français, l'APLF regroupe des planétariums d'autres pays : la Belgique (Bruxelles et Genk), le Canada (Montréal), l'Italie (Brescia), la Suisse (Zurich), l'Espagne (Barcelone), etc. Elle crée des partenariats avec les constructeurs de planétarium et les fournisseurs de contenus. L'APLF est également représentant affiliée à l'International planetarium society[1].
L'un de ses rôles consiste à fédérer les activités des différentes structures qui sont membres, d'établir un lien entre les planétariums français et le Ministère (Recherche). Elle coproduit des spectacles spécifiques de planétarium, en partenariat avec des institutions officielles (CNES, ESO, ESA). Outre son site internet, elle publie tous les ans une revue à l'usage de ses membres mais également à destination des élus et différents représentants de structures nationales ou internationales.
Chaque année l'APLF réunit un colloque qui se tient dans une ou plusieurs villes possédant un planétarium.
En 2018, l'APLF et l'IPS font un colloque conjoint (national et international) puisque Toulouse accueille l'IPS meeting (biennal) et le colloque annuel de l'APLF.
Sur son site internet, l'APLF héberge également le répertoire mondial des planétariums : le Worldwide Planetariums Database[6] (WPD).
Références
Liens externes
- Association des planétariums de langue française (APLF)
- Agnès Acker, « L'Association des planétariums de langue française », in La Lettre de l'OCIM, no 45, 1996
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