Aubéguimont

Aubéguimont est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Aubéguimont

La mairie-école.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Jacky Baudon
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76028
Démographie
Gentilé Aubéguimontois
Population
municipale
187 hab. (2019 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 30″ nord, 1° 40′ 26″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 211 m
Superficie 4,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Aubéguimont
Géolocalisation sur la carte : France
Aubéguimont
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Aubéguimont
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Aubéguimont

    Géographie

    Description

    La rue Centrale, vue depuis la mairie.

    Aubéguimont est un village-rue rural normand de l'« Entre Bray et Picardie » situé à 45 km au sud-est de Dieppe, 60 km au nord-est de Rouen et à 46 km d'Amiens.

    La commune est limitée au sud-ouest par l'ex-route nationale 320 (actuelle RD 920) qui reliait Dieppe à Moreuil.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 815 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oisemont_sapc », sur la commune d'Oisemont, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 786,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Aubéguimont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,2 %), prairies (37,1 %), forêts (11,7 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 95, alors qu'il était de 89 en 2013 et de 85 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 86,4 % étaient des résidences principales, 6,3 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aubéguimont en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,3 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,8 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Aubéguimont en 2018.
    Typologie Aubéguimont[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 86,4 88 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,3 3,9 9,7
    Logements vacants (en %) 7,3 8,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Aubenni au XIIe siècle, Albegnimont en 1228[21].

    Histoire

    En 1225, la comtesse Alix d’Eu, veuve du comte Raoul II, donne l’église de cette paroisse, nouvellement érigée en cure, à l’abbaye Saint-Michel du Tréport[22], qui conserva jusqu'à la Révolution française, la nomination et présentation (droit de patronage) à la cure (paroisse) du village [23].

    Aux XVIIe et XVIIIe siècles, des fabriques d'étoffes dites « serges d'Aumale » existaient sur la paroisse.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aumale[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gournay-en-Bray

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    Haudricourt était membre de la communauté de communes du canton d'Aumale, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont est désormais membre la commune.

    Politique locale

    En 2019, plus d’un tiers du conseil municipal ayant démissionné[25], des élections municipales complémentaires ont été organisées dimanche [26], qui ont conforté la position du maire élu en 2014, Jacky Baudon. Celui-ci, qui avait parrainé la candidature de Marine Le Pen lors des élections présidentielles de 2017[27], a annoncé son intention de briguer un nouveau mandat lors des municipales de 2020[28] et a été réélu maire à l'unanimité par le nouveau conseil municipal constitué dès le premier tour.[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1804 Jean Baptiste Cossard    
    1804 1808 Pierre François Boillet    
    1808 1816 Jean Bon Henry Beauvais    
    1816 1821 Jean Nicolas Boillet    
    1821 1835 Jean Charles Dumont    
    1835 1837 Charles Boromé Delaporte    
    1837 1838 Jean François Pepin    
    1838 Pierre Dumont   Décédé en fonction
    1849 1884 Jean Charles Dumont    
    1884 1890 Charles Auguste Pavie    
    1891 mai 1900 Eugène Gourdain    
    mai 1900 9 juillet 1907 Xavier Sellier   Décédé en fonction
    1907 24 mai 1927 M. Camille Sellier   Décédé en fonction
    1927 mai 1935 Henri Vattier    
    mai 1935 mai 1945 Hyppolite Poilane    
    mai 1945 1951 Gaspard Nicolas    
    1951 mars 1965 Georges Sellier    
    1965 mars 1971 Marius Letout    
    mars 1971 mars 1977 Jules Touzard    
    mars 1977[31] mars 2014 Michel Lefrançois[32]    
    2014[32] En cours
    (au 4 juin 2020)
    Jacky Baudon DVD Verrier
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2019, la commune comptait 187 habitants[Note 7], en diminution de 7,43 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    411417426387498490453450457
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    435431423381361356317303302
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    265263252184191183184196188
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    222208172160167176165170200
    2014 2019 - - - - - - -
    201187-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements

    La mairie-école, côté école.

    La commune dispose d'une école, utilisée par le SIVOS de l'Entente, qui anime un regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les élèves de Saint-Martin-au-Bosc, celle d’Aubéguimont et les deux de Richemont[36].

    Elle s'est dotée d'une salle polyvalente en 1996, dénommée salle Michel Lefrançois, du nom de l'ancien maire de 1977 à 2014[37].

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête patronale a lieu l'avant-dernier dimanche de juillet.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts.
    • Église Sainte-Catherine, avec chœur des XIIe et XIIIe siècles. L'Abbé Cochet indiquait en 1871 qu'elle « a été primitivement construite au XIIe et au XIIIe siècle. La nef a conservé son appareil en silex, ainsi que le chœur, orné au chevet d'un grand cintre encadrant trois fenêtres romanes accolées. Cette belle ouverture a été rebouchée au XVIIe siècle pour le placement d'une contre-table. Dans la nef, le XVIe siècle a ouvert une fenêtre et a posé le berceau, dont la corniche et les poutres sont en bois sculpté. Tout le reste a été modifié au XVIIIe siècle[38] ». Le chœur polygonal en brique, quant à lui, daterait du XIXe siècle et est orné d'un tableau de l’Adoration des mages datant du XVIIe siècle[39].
    • Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Raullet (1774-1839), sergent porte-drapeau d'infanterie de ligne, chevalier de la Légion d'honneur, né et mort à Aubéguimont[40],[41].
    • Adolphe François Villerel (1816-1893), maréchal des logis de gendarmerie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Aubéguimont[42],[41].
    • Joseph Alfred Breton (1861- ?), directeur d'école publique, chevalier de la Légion d'honneur, né à Aubéguimont[43].
    • Clément Paul Dupuis (1889-1961), ancien soldat au 5e bataillon de chasseurs alpins, officier de la Légion d'honneur, né à Aubéguimont[44].

    Héraldique

    Blason
    Coupé: au 1er parti au I d'azur à deux navettes d'argent passées en sautoir, au II d'or à roue de sainte Catherine de sable faillie au canton senestre du chef, au 2e de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre.
    Détails

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Aubéguimont », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .


    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Oisemont_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Aubéguimont et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Oisemont_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Aubéguimont et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire - 1979 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime - Page 32.
    22. Auguste Guilmeth, Description géographique, historique, monumentale et statistique des arrondissements du Havre, Yvetot et Neufchatel : suivie de l'histoire communale des environs de Dieppe, t. III : Arrondissement de Neufchâtel, Paris, Delaunay, (lire en ligne) lire en ligne sur Gallica.
    23. (la) Pierre-Paul Laffleur de Kermaingant, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Michel du Tréport : Ordre de Saint Benoit, Paris, Impr. de Firmin-Didot, (lire en ligne), p. XXXVIII.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Vincent Beny, « La colère d’un ex-élu contre son maire près d’Aumale : Jean-Luc Bouquet, démissionnaire du conseil municipal d'Aubéguimont, près d'Aumale, en janvier, dénonce les agissements de Jacky Baudon, le maire. Il cite de nombreux exemples. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Pierre-Emmanuel Reger, « Elections municipales à Aubéguimont : le conseil municipal est à nouveau complet : Les habitants d'Aubéguimont (Seine-Maritime) sont retournés aux urnes ce 12 mai pour des élections municipales partielles complémentaires. Ils ont élu six conseillers municipaux. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Vincent Beny, « Des élections municipales complémentaires organisées en Seine-Maritime : Ils ne sont désormais plus que cinq au conseil municipal d'Aubéguimont, près d'Aumale. Les habitants vont devoir retourner aux urnes. Premier tour le 11 mai 2019. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « J’ai apporté mon parrainage pour les élections présidentielles à Marine Le Pen. C’est ma conviction. C’est dommage de me coller cette étiquette alors que je fais le maximum pour ma commune. Je bouge beaucoup, j’interviens énormément auprès des élus pour faire avancer les dossiers. Je sais que j’ai la confiance de la population ».
    28. Vincent Beny, « Municipales 2020. Jacky Baudon (Aubéguimont, près d’Aumale : « Le fruit d’une longue réflexion » : C'est décidé : Jacky Baudon a décidé de briguer une deuxième mandat à Aubéguimont, près d'Aumale à l'occasion de ces élections municipales 2020. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Jacky Baudon réélupour un second mandat », Le Réveil, no 3661, , p. 45.
    30. Archives départementales de Seine-Maritime : État civil de Aubéguimont de 1800 à 1915 et en mairie registre des délibérations de 1916 à 1977
    31. Vincent Bény-Thoreux, « Municipales : partira ou partira pas ? », Le Réveil de Neufchâtel, édition Oise normande, no 3522, , p. 13.
    32. Vincent Beny, « L’ancien maire est décédé, Michel Lefrançois a marqué l’histoire du village : Michel Lefrançois, qui fut maire de la commune de 1977 à 2014 et conseiller municipal auparavant, s’est éteint le mardi 3 février à l’âge de 81 ans. Il a consacré 49 années de son existence à la commune », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. « SIVOS de l'Entente (N° SIREN : 257602094) », Fiche signalétique BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
    37. Vincent Beny, « La salle polyvalente baptisée. Reconnaissance envers Michel Lefrançois : Conseiller municipal de 1971 à 1977, puis maire de 1977 à 2014, Michel Lefrançois a marqué la commune de son empreinte », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    38. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 163, lire en ligne sur Gallica.
    39. « Aubéguimont : le tableau de l’Adoration des mages sera restauré », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    40. « RAULET Antoine », base Léonore, ministère français de la Culture.
    41. E.-A. Pape, Notices historiques et biographiques sur la ville et le canton d'Aumale, Aumale, Veuve Caron, , 202 p. (lire en ligne), p. 94, 96, lire en ligne sur Gallica.
    42. « VILLEREL Adolphe François », base Léonore, ministère français de la Culture.
    43. « BRETON, Joseph Alfred », base Léonore, ministère français de la Culture.
    44. « DUPUIS, Clément Paul », base Léonore, ministère français de la Culture.
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