Bécon-les-Granits
Bécon-les-Granits est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Bécon-les-Granits | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Segré | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou | ||||
Maire Mandat |
Marie-Ange Fouchereau 2020-2026 |
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Code postal | 49370 | ||||
Code commune | 49026 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Béconnais | ||||
Population municipale |
2 789 hab. (2019 ![]() |
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Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 30′ 12″ nord, 0° 47′ 59″ ouest | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 88 m |
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Superficie | 46,17 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Bécon-les-Granits (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chalonnes-sur-Loire | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | becon.mairie49.fr | ||||
Géographie
Localisation
Commune angevine du Segréen, Bécon-les-Granits se situe au sud-ouest de Saint-Clément-de-la-Place, sur les routes D 963, Le Louroux-Béconnais / Saint-Léger-des-Bois, et D 961, La Pouëze / Saint-Augustin-des-Bois[1].
Bécon-les-Granits se trouve à 19 km au nord-ouest d'Angers[2].
L'IGN a déterminé en juin 2015 que Bécon-les-Granits (limite avec la commune de Saint-Augustin-des-Bois) est le centre géographique de la région Pays de la Loire[3].
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé, mise en service en 1937[10] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 693,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 72 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,5 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Bécon-les-Granits est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bécon-les-Granits, une unité urbaine monocommunale[20] de 2 789 habitants en 2019, constituant une ville isolée[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,2 %), prairies (36,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Histoire
Bécon-les-Granits autrefois Besconum était entouré de forêts et réunissait deux voies romaines. L´église de Bécon appartenait dès le XIe siècle à l´abbaye de Saint-Nicolas. La cure était un fief laïc dont le domaine et la justice foncière dépendait de Beaupréau et le reste du fief de Champtocé. La terre de Bécon appartient alors à une famille qui en prend le nom. En 1218 Jacques de La Poeze, membre d´une puissante famille de la région, en était le seigneur, puis ce seront les familles de Montjean, de Leveneur, puis les comtes de Serrant (les Bautru, puis les Walsh). Thaumas de la Thaumassière[27] prétend que les seigneurs de Bécon, comme ceux d´Ancenis et sans jouir de prérogatives particulières, prenaient le titre de princes de Bécon, ce que conteste Célestin Port ; en tout cas, ils devinrent barons de Bécon en toute justice en 1562, et Le Louroux dépendait de cette seigneurie puis baronnie[28],[29],[30].
Pendant la Première Guerre mondiale, 76 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 8 habitants sont tués[31].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou, après disparition de la communauté de communes Ouest-Anjou[35], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, Bécon-les-Granits fait partie du canton du Louroux-Béconnais et de l'arrondissement d'Angers[36]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[37].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2019, la commune comptait 2 789 habitants[Note 7], en augmentation de 1,34 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 418 hommes pour 1 378 femmes, soit un taux de 50,72 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Sur 209 établissements présents sur la commune à fin 2010, 21 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 44 % de celui du commerce et des services et 18 % du secteur de l'administration et de la santé[44].
On y trouvait par exemple l'entreprise Ve-hotech, fermée en 2019[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments classés :
- château du Bois-Guignot ;
- château de Landeronde ;
- ferme de la Grand-Maison ;
- moulin à vent de La Landronnière.
Autres lieux :
- église Saint-Pierre ;
- musée du granit ;
- carrières (point de vue) ;
- menhir du Ruisseau-de-la-Planche ;
- circuit pédestre ;
- centre équestre ;
- institut Bois-Robert.
Personnalités liées à la commune
- Louis Thomassin (1763-1838), peintre, y est décédé.
- Bernard Lambert(1931-1984), homme politique et syndicaliste agricole, y est décédé.
- Catherine Chabaud, (1962-), journaliste, navigatrice et femme politique française, élue au Parlement européen, y vit une partie de l'année[46].
- Entrée principale du musée du granit.
- L'église Saint-Pierre.
- Le musée du granit.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : De sinople au mont de Granit d’argent, sur lequel rampent à dextre une chèvre et à senestre un porc, tous les deux affrontés de sable, au chef cousu d’azur chargé de deux fleurs de lys d'or.
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Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 33141105, lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Bécon-les-Granits (49), consulté le 18 août 2012.
- Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Bécon-les-Granits (49), consulté le 18 août 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- « L’IGN calcule la position du centre géographique des 13 nouvelles régions métropolitaines ! », sur Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Beaucouzé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bécon-les-Granits et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Beaucouzé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bécon-les-Granits et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bécon-les-Granits », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Coutumes du Berry, chapitre XXV, page 45
- Mentionné dans Au plaisir de durer, tome I.
- Association famille La Poëze, Histoire de la Famille La Poeze et de la Colaissière, consulté le 14 janvier 2014.
- « Bécon-les-Granits, p. 315-318, p. 317-2e colonne notamment », sur Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. Ier, par Célestin Port, à Angers, 1876 ; mis en ligne par les Archives départementales de Maine-et-Loire
- Port 1965, p. 315.
- Port 1965, p. 318, Caillault (1798) et François Bodet (1799) mentionnés comme agents municipaux.
- Ouest-France, Le maire et les adjoints ont été choisis, article du 31 mars 2014.
- « Bécon-les-Granits. Marie-Ange Fouchereau réélue », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI d'Ouest Anjou (244900858), consulté le 8 décembre 2013.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Bécon-les-Granits, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bécon-les-Granits (49026) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Bécon-les-Granits (49), consultées le 5 décembre 2012.
- Site de Ve-hotech, Mentions légales, consulté le 8 septembre 2013.
- « PORTRAIT. Maine-et-Loire : Catherine Chabaud, de la course au large au Parlement européen », sur Ouest-France, .
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