Baccalauréat professionnel

Le baccalauréat professionnel (souvent abrégé bac pro, aussi désigné par l'acronyme BCP) est une des trois filières du baccalauréat français. Il a été mis en place par la loi programme du sur l’enseignement technologique et professionnel. Le baccalauréat professionnel est obtenu en trois ans après la fin de la classe de troisième des collèges ou deux ans après le certificat d'aptitude professionnelle (CAP) ou le brevet d'études professionnelles (BEP).

Baccalauréat professionnel

Baccalauréat professionnel PCE, 2014.
Lieu France
Établissement Lycée professionnel et Centre de formation d'apprentis
Direction Ministère de l'Éducation Nationale
Sélection
Diplôme requis Aucun diplôme demandé.
Niveau ou grade requis Bac - 3 (Niveau 3)
Diplôme
Durée de la formation 3 ans
Diplôme délivré Diplôme du Baccalauréat Professionnel
Niveau délivré Bac + 0 (Niveau 4)
Grade délivré Baccalauréat
Débouchés
Diplômes accessibles BUT ou BTS

Histoire

Le baccalauréat professionnel a été créé en 1985 sur proposition de la Mission nationale Ecole - Entreprises présidée par Daniel Bloch. Le ministre de l'Éducation nationale était alors Jean-Pierre Chevènement et Roland Carraz, secrétaire d’État à l'Enseignement technique et technologique[1].

Le concept de baccalauréat professionnel a émergé assez naturellement dans le contexte de la fin des années 1970 et du début des années 1980. Il y a eu tout d’abord l’accord passé, en février 1979, entre le ministre de l'Éducation nationale, Christian Beullac et la Fédération de l'Éducation nationale (FEN) et son secrétaire général André Henry. Cet accord permettait d’introduire des « séquences éducatives en entreprises » dans les formations techniques et professionnelles proposées par l’Éducation nationale. Il y a eu ensuite la nomination de Jean-Pierre Chevènement comme ministre de l'Éducation nationale. Celui-ci avait été sensibilisé, alors qu’il était ministre de la Recherche et de la Technologie (1981-1982), mais plus encore ministre de la Recherche et de l'Industrie (1982-1983) aux conséquences négatives pour notre économie du faible niveau de formation de la population active. Il y a eu enfin la désignation en 1984 de Laurent Fabius comme Premier ministre, lui-même ayant été confronté à ces mêmes difficultés dans ses fonctions précédentes de ministre de l’Industrie et de la Recherche, puis de la Modernisation industrielle (1983-1984), ce qui l'a conduit à prendre des initiatives significatives comme celle consistant à développer massivement des « jumelages » entre les écoles et des entreprises.

Jean-Pierre Chevènement, nommé le 19 juillet 1984 ministre de l’Éducation nationale, crée le une Mission nationale École-Entreprise dont le Président sera Daniel Bloch, alors président de l'Institut polytechnique de Grenoble. Outre le pilotage des jumelages Écoles-Entreprises, cette Mission se voyait confier des objectifs ambitieux : « étudier les défauts de cohérence entre l’École et l’Économie, dresser, sans complaisance, les bilans des formations initiales, réfléchir au fonctionnement des instances consultatives, proposer des procédures pour renforcer les liens avec l’entreprise et améliorer le dispositif d’orientation des élèves ». Ses propositions ont constitué le cœur de la loi programme du sur l’enseignement technologique et professionnel. Parmi ses nombreuses propositions figure la création du baccalauréat professionnel.

Plusieurs études prospectives ont alors été réalisées, avec le soutien du Bureau d’information et de prévision économique (BIPE), sur les niveaux de formation de la population active nécessaires à l’horizon 2000 et par voie de conséquence sur les flux et niveaux de sortie du système éducatif. On envisageait, à la direction des Lycées, dès l’été 1984, de développer quantitativement les premières d’adaptation, pour conduire des titulaires d’un BEP à un baccalauréat technique, mais aussi de développer un diplôme préexistant, de niveau supérieur à celui du BEP, le brevet de technicien en autorisant sa préparation au sein des lycées d’enseignement professionnel. L’ensemble des mesures envisagées visait, modestement, à élever en dix ans de 10 points le taux d’accès au « niveau du baccalauréat ».

La mission École-Entreprise a fixé un objectif plus ambitieux, doubler ce taux d'accès, en conduisant 80 % de la classe d’âge « au niveau du baccalauréat » soit environ 75 % au baccalauréat lui-même. Parmi les mesures proposées pour atteindre cet objectif figure au premier rang la création du baccalauréat professionnel. Il s’agissait de mettre en place dans les lycées professionnels de classes de 1re et de terminale professionnelles accessibles aux titulaires d’un BEP, et plus exceptionnellement d’un CAP, afin de les conduire à ce nouveau baccalauréat. La préparation du baccalauréat professionnel nécessitait alors quatre années au-delà de la classe de 3e des collèges : deux années pour préparer un Brevet d’études professionnelles (BEP), puis deux autres années pour pouvoir, à leur terme, être apte à passer les épreuves du baccalauréat. Il s’agissait également de mettre à contribution les entreprises pour mettre en œuvre la formation envisagée.

Au sein du ministère de l’Éducation nationale, le baccalauréat professionnel devait ainsi constituer le premier diplôme de formation professionnelle initiale préparé en alternance école-entreprise. Le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Pierre Chevènement, avait dès le début du mois de janvier 1985 été convaincu du bien-fondé de cette proposition. Cependant les services ministériels et le secrétariat d’État à l’Enseignement technique ne l’avaient pas, un mois plus tard, réellement pris en compte, de sorte qu’une réunion restreinte du cabinet de Jean-Pierre Chevènement et du cabinet du secrétaire d’État à l’Enseignement technique fut rapidement organisée, sous la présidence de Jean-Pierre Chevènement. Elle se tint le . Et, à cette réunion, fut présenté en détail ce nouveau concept et les résultats que l’on pouvait en attendre. Le « feu vert officiel » de Jean-Pierre Chevènement est alors donné et le projet de loi-programme est reformulé par le secrétariat d'État à l'Enseignement technique en prenant en compte l’ensemble des objectifs proposés par la mission École-Entreprise, en leur associant les moyens nécessaires à leur réalisation. Mais il restait beaucoup à faire, au début du mois de mars 1985, pour convaincre non seulement les « partenaires » sociaux, mais aussi l’administration centrale ainsi que la majorité des inspecteurs généraux concernés.

Le principe de création d’un baccalauréat professionnel avait été soutenu, dès le départ, au prix parfois de quelques réserves, par la Confédération française démocratique du travail (CFDT), le Syndicat national de l'enseignement supérieur (SNESUP), la Confédération française de l'encadrement - Confédération générale des cadres (CFE-CGC), la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME), l’Assemblée permanente des Chambres de commerce et d'industrie (APCCI), l’Union des industries métallurgiques et minières (UIMM) et le Conseil national du patronat français (CNPF), mais il restait à convaincre non seulement les autres « partenaires » sociaux, mais plus encore l’administration centrale ainsi que l’Inspection générale. L’opposition de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC), de la Confédération générale du travail (CGT), de Force Ouvrière (FO), du Syndicat national de l’enseignement secondaire (SNES), syndicat majoritaire dans les lycées et collèges, a mis un certain temps à être résolue.

La décision de création du baccalauréat professionnel a été confirmée au niveau gouvernemental par le Premier ministre, Laurent Fabius, le 22 avril 1985, à la suite de négociations avec la Fédération de l'Éducation nationale (FEN) portant sur les statuts et rémunérations des enseignants des lycées d'enseignement professionnel. Ces négociations ont permis aux enseignants des lycées professionnels d’accéder aux mêmes grilles de rémunération que celles correspondant aux personnels enseignants dans les lycées, ce qui n’était que justice dès lors que les lycées d’enseignement professionnel préparaient aussi au baccalauréat.

La mise en place effective, dès septembre 1985, de formations conduisant à ce baccalauréat s’effectue dans le cadre d’une circulaire datée de juillet 1985. Le baccalauréat professionnel est créé par un décret du 27 novembre 1985 alors que la loi-programme dans laquelle était inscrite sa création n'est promulguée que le 23 décembre 1985. Ce calendrier a impliqué que personne n’ait attendu ni circulaire, ni décret, ni loi pour faire, dès le début du mois de mars 1985, ce qui était nécessaire pour qu’il y ait quelques classes avec des élèves dès septembre 1985. Il fallait faire vite car certaines échéances électorales étaient proches. René Monory qui devait succéder en 1986 à Jean-Pierre Chevènement aurait pu mettre fin à cette « expérience » qui au départ ne concernait que quelques centaines d’élèves. Bien au contraire, il a contribué à l’étendre et à la pérenniser. Les lycées professionnels sont alors, au moins pour un temps, sauvés et le niveau de formation professionnelle de la population française peut monter d’un cran. La première promotion sort en juillet 1987, et en juillet 2012, le cap des 2 000 000 diplômés est franchi. L'examen se passe après deux années en lycée professionnel, elles-mêmes après un Brevet d'études professionnelles ou un Certificat d'aptitude professionnelle. Le diplôme est donc obtenu en quatre ans après la classe de quatrième ou de troisième.

À la rentrée 2009, sa durée de préparation passe à 3 ans. Et en 2021, le BEP est supprimé.

Organisation

Depuis plusieurs années, l'Union des industries et métiers de la métallurgie avait obtenu le droit de faire passer le baccalauréat professionnel en trois ans en sortie de 3e, sans le prérequis du BEP, au sein de ses Centres de formation d'apprentis de l'industrie (CFAI). L'idée était :

  • de recruter des candidats ayant un bon niveau en 3e, capable d'avoir le diplôme en trois ans au lieu de quatre, et donc d'aller chercher des candidats choisissant la filière professionnelle par choix et non par dépit ;
  • de diminuer le nombre d'heures d'enseignement pour obtenir le diplôme, et donc faire des économies.

L'organisation a été étendue à tous les lycées professionnels et CFA, ce qui a pour effet de fermer des sections de BEP, en cohérence avec la diminution programmée du nombre d'enseignants.

Le baccalauréat professionnel est un diplôme de niveau IV. Le diplôme est accompagné d’une spécialité[2]. Il en existe 91[3]. Dans cette nouvelle organisation, les élèves intègrent la seconde de baccalauréat professionnel après la troisième, certains pouvant intégrer la filière en première après un CAP.

Préparation

Le baccalauréat professionnel dans les études secondaires en France

Le baccalauréat professionnel peut être préparé par trois voies différentes[4] :

  • par la voie scolaire dans un lycée professionnel, la formation dure alors trois ans[5];
  • par la voie de l’alternance (contrat d'apprentissage, contrat de professionnalisation), la durée de la formation dispensée en centre de formation d'apprentis ou section d'apprentissage est au moins égale à 1 850 heures[6];
  • par la voie de la formation professionnelle continue.
  • par la voie de l'enseignement à distance (par correspondance), éligible au titre de la formation professionnelle continue.

La formation comporte une période en milieu professionnel comprise entre 12 et 24 semaines[7].

Classe de seconde

À partir de la rentrée 2019, la classe de seconde professionnelle est réformée dans le cadre d'une réforme générale de la voie professionnelle. Elle se compose d'enseignements professionnels, d'enseignements généraux ainsi que d'accompagnement personnalisé.

A noter qu'aux 900 heures d'enseignement s'ajoutent 6 semaines de période de formation en milieu professionnel (PFMP), obligatoires pour l'obtention du baccalauréat.

Classe de seconde professionnelle (toute spécialité) (sur 30 semaines de cours auxquelles s'ajoutent 6 semaines de PFMP)
Discipline Horaires annuels Horaires hebdomadaires indicatifs
Enseignements professionnels : 450 heures annuelles (15 heures hebdomadaires)
Enseignement professionnel 330 heures 11 heures
Enseignements professionnels et français en co-intervention 30 heures 1 heure
Enseignements professionnels et mathématiques en co-intervention 30 heures 1 heure
Prévention-santé-environnement 30 heures 1 heure
Économie-gestion ou Économie-droit (selon la spécialité) 30 heures 1 heure
Enseignements généraux : 360 heures annuelles (12 heures hebdomadaires)
Français, histoire-géographie et enseignement moral et civique 105 heures 3 heures 30
Éducation physique et sportive 75 heures 2 heures 30
Langue vivante A 60 heures 2 heures
Mathématiques 45 heures 1 heure 30
Physique-chimie ou Langue vivante B (selon la spécialité) 45 heures 1 heure 30
Arts appliqués et culture artistique 30 heures 1 heure
Consolidation, accompagnement personnalisé et accompagnement au choix de l'orientation 90 heures 3 heures
Total 900 heures 30 heures

Classe de première

À partir de la rentrée 2020, la classe de première professionnelle est réformée dans le cadre d'une réforme générale de la voie professionnelle. Elle se compose d'enseignements professionnels, d'enseignements généraux ainsi que d'accompagnement personnalisé.

A noter qu'aux 840 heures d'enseignement s'ajoutent 8 semaines de période de formation en milieu professionnel (PFMP), obligatoires pour l'obtention du baccalauréat.

Classe de première professionnelle (toute spécialité) (sur 28 semaines de cours auxquelles s'ajoutent 8 semaines de PFMP)
Discipline Horaires annuels Horaires hebdomadaires indicatifs
Enseignements professionnels : 420 heures annuelles (15 heures hebdomadaires)
Enseignement professionnel 266 heures 9 heures 30
Réalisation d'un chef-d'œuvre 56 heures 2 heures
Enseignements professionnels et français en co-intervention 28 heures 1 heure
Prévention-santé-environnement 28 heures 1 heure
Économie-gestion ou Économie-droit (selon la spécialité) 28 heures 1 heure
Enseignements professionnels et mathématiques-sciences en co-intervention 14 heures 0 heure 30
Enseignements généraux : 336 heures annuelles (12 heures hebdomadaires)
Français, histoire-géographie et enseignement moral et civique 84 heures 3 heures
Éducation physique et sportive 70 heures 2 heures 30
Langue vivante A 56 heures 2 heures
Mathématiques 56 heures 2 heures
Physique-chimie ou Langue vivante B (selon la spécialité) 42 heures 1 heure 30
Arts appliqués et culture artistique 28 heures 1 heure
Consolidation, accompagnement personnalisé et accompagnement au choix de l'orientation 84 heures 3 heures
Total 840 heures 30 heures

Classe de terminale

À partir de la rentrée 2021, la classe de terminale professionnelle est réformée dans le cadre d'une réforme générale de la voie professionnelle. Elle se compose d'enseignements professionnels, d'enseignements généraux ainsi que d'accompagnement personnalisé.

A noter qu'aux 780 heures d'enseignement s'ajoutent 8 semaines de période de formation en milieu professionnel (PFMP), obligatoires pour l'obtention du baccalauréat.

Classe de terminale professionnelle (toute spécialité) (sur 26 semaines de cours auxquelles s'ajoutent 8 semaines de PFMP et 2 semaines d'examen)
Discipline Horaires annuels Horaires hebdomadaires indicatifs
Enseignements professionnels : 390 heures annuelles (15 heures hebdomadaires)
Enseignement professionnel 260 heures 10 heures
Réalisation d'un chef-d'œuvre 52 heures 2 heures
Enseignements professionnels et enseignements généraux en co-intervention

et/ou Atelier de philosophie

et/ou Insertion professionnelle-Poursuite d'études

26 heures 1 heure
Prévention-santé-environnement 26 heures 1 heure
Économie-gestion ou Économie-droit (selon la spécialité) 26 heures 1 heure
Enseignements généraux : 299 heures annuelles (11 heures 30 hebdomadaires)
Français, histoire-géographie et enseignement moral et civique 78 heures 3 heures
Éducation physique et sportive 65 heures 2 heures 30
Langue vivante A 52 heures 2 heures
Mathématiques 39 heures 1 heure 30
Physique-chimie ou Langue vivante B (selon la spécialité) 39 heures 1 heure 30
Arts appliqués et culture artistique 26 heures 1 heure
Consolidation, accompagnement personnalisé et accompagnement au choix de l'orientation 91 heures 3 heures 30
Total 780 heures 30 heures

Conditions de délivrance

Le baccalauréat professionnel est obtenu soit par le succès à un examen; soit par la validation des acquis de l’expérience[8].

Examen

L’examen du baccalauréat professionnel comporte :

  1. Sept épreuves obligatoires et, le cas échéant, une épreuve facultative.
  2. Une épreuve de contrôle (ECT)[9], c'est-à-dire un rattrapage.

Le baccalauréat professionnel est délivré aux candidats qui ont présenté l’ensemble des unités constitutives du diplôme, à l’exception de celles dont ils ont été dispensés, et qui ont obtenu une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20[10]. Les résultats définitifs des évaluations résultent de la délibération du jury souverain[11].

Si le candidat a une moyenne générale inférieure à 10, mais supérieure ou égale à 8 et s'il a une note supérieure ou égale à 10 dans l'épreuve pratique professionnelle, il peut alors passer l'épreuve de contrôle.

Mentions

Les mentions ne concernent que les candidats qui ont obtenu une moyenne supérieure ou égale à 12 à l’issue du premier groupe[12].

  • mention « Assez bien » : moyenne supérieure ou égale à 12 et inférieure à 14 ;
  • mention « Bien » : moyenne supérieure ou égale à 14 et inférieure à 16 ;
  • mention « Très bien » : moyenne supérieure ou égale à 16.

Caractère universitaire du diplôme

En plus du diplôme proprement dit, le baccalauréat correspond au premier grade universitaire[13].

Débouchés

Le baccalauréat professionnel, du fait de son caractère professionnalisant, permet une entrée dans la vie active assez rapide[14]. Cependant, de plus en plus les bacheliers continuent leurs études afin d'obtenir un Brevet de technicien supérieur (BTS) ou un Diplôme universitaire de technologie (DUT), parfois à l'Université en vue d'une licence professionnelle, et pour les secteurs tertiaires et industriels, il existe des Classes préparatoires économiques et commerciales[15] (EC voie Technologique) et des Classes préparatoires scientifiques[16] (Technologie et Sciences Industrielles) adaptées aux bacheliers professionnels.

Familles de métiers du baccalauréat professionnel

À partir de la rentrée 2021, il existe 91 spécialités de baccalauréat professionnel et 25 options soit 116 formations différentes :

Spécialités du baccalauréat professionnel à compter de la rentrée 2021
Ministère de tutelle Familles de métiers

(classe de seconde)

Spécialités Options
Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports Métiers de l'aéronautique Aéronautique Avionique
Système
Structure
Aviation générale
Métiers de l'alimentation Boucher-charcutier-traiteur
Boulanger-traiteur
Poissonnier-écailler-traiteur
Métiers de l'hôtellerie et de la restauration Commercialisation et services en restauration
Cuisine
Métiers de la beauté et bien-être Esthétique, cosmétique, parfumerie
Métiers de la coiffure
Métiers de la construction durable, du bâtiment et des travaux publics Aménagement et finition du bâtiment
Interventions sur le patrimoine bâti Maçonnerie
Charpente
Couverture
Menuiserie aluminium-verre
Ouvrages du bâtiment : métallerie
Technicien du bâtiment : organisation et réalisation du gros œuvre
Travaux publics
Métiers de la gestion administrative, des transports et de la logistique Assistance à la gestion des organisations et à leurs activités
Logistique
Organisation de transports de marchandises
Métiers de la maintenance des matériels et des véhicules Maintenance des matériels Matériels agricoles
Matériels de construction et de manutention
Matériels d'espaces verts
Maintenance des véhicules Voitures particulières
Véhicules de transport routier
Motocycles
Métiers de la réalisation de produits mécaniques Fonderie
Microtechniques
Technicien en réalisation de produits mécaniques Réalisation et suivi de production
Réalisation et maintenance des outillages
Technicien en chaudronnerie industrielle
Technicien modeleur
Traitements des matériaux
Métiers de la relation client Métiers de l'accueil
Métiers du commerce et de la vente Animation et gestion de l'espace commercial
Prospection clientèle et valorisation de l'offre commerciale
Métiers des études et de la modélisation numérique du bâtiment Technicien d'études du bâtiment Études et économie
Assistant en architecture
Technicien géomètre-topographe
Métiers des industries graphiques et de la communication Façonnage de produits imprimés, routage
Réalisation de produits imprimés et plurimédia Productions graphiques
Productions imprimées
Métiers du bois Étude et réalisation d'agencement
Technicien de fabrication bois et matériaux associés
Technicien menuisier agenceur
Métiers du numérique et de la transition énergétique Maintenance et efficacité énergétique
Métiers du froid et de ses énergies renouvelables
Systèmes numériques Sûreté et sécurité des infrastructures de l'habitat et du tertiaire
Audiovisuels, réseau et équipements domestiques
Réseaux informatiques et systèmes communicants
Technicien en installation des systèmes énergétiques et climatiques
Métiers du pilotage et de la maintenance d'installations automatisées Pilote de ligne de production
Procédés de la chimie, de l'eau et des papiers-cartons
Technicien de scierie
Hors familles de métiers Accompagnement, soins et services à la personne À domicile
En structure
Animation - enfance et personnes âgées
Artisanat et métiers d'art Facteur d'orgues - organier
Facteur d'orgues - tuyautier
Communication visuelle et pluri-média
Marchandisage visuel
Métiers de l'enseigne et de la signalétique
Tapissier d'ameublement
Verrerie scientifique et technique
Conducteur transport routier marchandises
Construction de carrosseries
Étude et définition de produits industriels
Gestion des pollutions et protection de l'environnement
Hygiène, propreté, stérilisation
Maintenance nautique
Métiers de la mode - vêtements
Métiers de la sécurité
Métiers du cuir Chaussures
Maroquinerie
Sellerie-garnissage
Métiers de l'entretien des textiles Blanchisserie
Pressing
Métiers et arts de la pierre
Optique-lunetterie
Perruquier-posticheur
Photographie
Plastiques et composites
Réparation des carrosseries
Technicien constructeur bois
Technicien en appareillage orthopédique
Technicien en prothèse dentaire
Technicien gaz
Technicien d'interventions sur installations nucléaires
Transport fluvial
Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation Métiers de l'alimentation - bio-industries - laboratoire Bio-industries de transformation
Laboratoire contrôle qualité
Métiers de la nature-jardin-paysage-forêt Aménagements paysagers
Forêt
Gestion des milieux naturels et de la faune
Métiers des productions Agroéquipement
Conduite de productions horticoles (arbres, arbustes, fruits, fleurs, légumes)
Conduite et gestion de l'entreprise agricole
Conduite et gestion de l'entreprise hippique
Conduite et gestion de l'entreprise vitivinicole
Conduite et gestion d'une entreprise du secteur canin et félin
Productions aquacoles
Métiers du conseil vente Technicien conseil-vente en alimentation
Technicien conseil-vente en animalerie
Technicien conseil-vente en univers jardinerie
Hors familles de métiers Services aux personnes et aux territoires
Technicien en expérimentation animale
Ministère de la Mer Métiers de la mer Conduite et gestion des entreprises maritimes - commerce / plaisance professionnelle Voile
Yacht
Conduite et gestion des entreprises maritimes - pêche
Électromécanicien marine
Polyvalent navigant pont / machine
Hors familles de métiers Culture marine

Références

Fiches extraites de la base Reflet du Céreq
    Autres références

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Bloch. "Un nouveau venu : le baccalauréat professionnel" dans Philippe Marchand (dir). Le baccalauréat. 1808 - 2008. Certification française ou pratique européenne. Revue du Nord - INRP 2010
    • Daniel Bloch, « Éducation nationale 1985-2000. Une "prospective-action" », Politiques et management public, vol. 23, no 1, , p. 143-150 (lire en ligne, consulté le )
    • Daniel Bloch. Rapport de la Mission nationale Ecole-Entreprises " Pour une stratégie convergente du système éducatif et des entreprises". La documentation Française. Deuxième édition, 1988
    • Daniel Bloch, « Le Recteur, la formation professionnelle et la relation éducation-économie », dans Jean-François Condette et Henri Legohérel (dir.), Le recteur d'académie : Deux cents ans d'histoire, Éd. Cujas, (ISBN 978-2-25408606-1)

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de l’éducation
    • Portail de la France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.