Bailly (Oise)

Bailly est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Baillotins.

Pour les articles homonymes, voir Bailly.

Bailly

L'église Saint-Joseph
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC des Deux Vallées
Maire
Mandat
Michel Lesueur
2013- En cours
Code postal 60170
Code commune 60043
Démographie
Gentilé Baillotins, Baillotines
Population
municipale
622 hab. (2019 )
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 47″ nord, 2° 58′ 14″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 50 m
Superficie 4,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bailly
Géolocalisation sur la carte : France
Bailly
Géolocalisation sur la carte : Oise
Bailly
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bailly
Liens
Site web http://mairiedebailly60.fr/

    Géographie

    Description

    Bailly est un village périurbain picard situé sur la rive gauche de l'Oise, le long de la RD 165, entre les forêts domaniales de Laigue et d'Ousrcamps-Carlepont.

    La commune se trouve à une dizaine de kilomètres au sud de Noyon, une quinzaine de kilomètres au nord-est de Compiègne et à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Soissons, dans l'aire urbaine de Compiègne.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est limité à l'ouest par l'Oise (rivière) et traversé par plusieurs ruisseaux qui y confluent avec la rivière : le Ru du Moulin et le Ru du Daniel.

    Il s'agit donc d'affluents de la Seine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 679 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bailly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,7 %), prairies (32,4 %), forêts (24,1 %), zones urbanisées (10 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Ce toponyme peut dériver du vieux français baille : « enclos », à l’époque gallo-romaine, un vicus, formé en rectangle autour de la villa d’un dignitaire, qui prendra le nom de celui-ci Batallius auquel est ajouté le suffixe -acum de localisation et de propriété.

    Homonymie avec Bailly (Yvelines).

    Histoire

    Bailly tiendrait son nom du latin "Baillium" dû à l'existence d'un fort dont on a pu retrouver des vestiges de fossés et de souterrains. Ce fort fut occupé par les Normands au IXe siècle.

    La terre de Bailly relevait du comté de Noyon. C'était un fief du domaine royal sous-inféodé[C'est-à-dire ?] par les évêques à des chevaliers qui prirent le titre de seigneurs de Bailly : Guy et Jean Bäes de Bailly, Enguerrand de Guynes, Philippe de Coucy, Jean II, Jean de Béthune, Jean et Gauthier de Hennin, Hugues et Bertrand du Bois, Guillaume de Marafin.

    L'abbaye d'Ourscamp reste propriétaire de la terre de Bailly jusqu'à la Révolution française. Le château servait de résidence d'été et permettait de surveiller le travail des paysans dans les champs et les étangs, dont les poissons étaient destinés à la consommation des religieux.

    Première Guerre mondiale

    Bailly a été occupé par l'armée allemande dès 1914 et pendant une partie de la Première Guerre mondiale, Le clocher de l'église a servi de lieu lieu d'observation allemand, amenant à des bombardements français, et la commune s'est retrouvée sur la ligne de front jusqu'en 1917[21],[22],[23],[24].

    Bailly et ses deux châteaux ont été totalement rasés[25] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Ribécourt-Dreslincourt[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Bailly est membre de la communauté de communes des Deux Vallées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996.

    Politique locale

    Lors des élections municipales de 2020 dans l'Oise, une seule liste se présente sur laquelle figurait le maire sortant, Michel Lesueur, et est donc élue.

    Toutefois, lors du premier conseil municipal, le maire sortant voit son ex-premier adjoint, Bernard Beblo briguer avec succès le mandat de maire, récoltant huit voix, contre sept pour le maire sortant. À l'instigation de Michel Lesueur, un collectif citoyen demande la démission totale du conseil municipal, largement approuvée par les habitants qui se seraient exprimés par 376 signatures sur 508 électeurs, dont 74 % désapprouvent la décision de Bernard Beblo de postuler. Mi juin 2020, le conseil municipal démissionne en totalité[28]. La commune est alors administrée par une délégation spéciale nommée par la préfecture et chargée d'organiser de nouvelles élections municipales, qui se tiennent le et voient le succès de la liste menée Michel Lesueur par 258 des 352 votes exprimés, face à celle menée par Pascal Rougelot (87 voix), soutien de Bernard Beblo[29].

    Le nouveau conseil municipal réuni le a vu la réélection de Michel Lesueur comme maire du village[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 janvier 2013[31] Philippe Brou[Note 8] DVD Aviculteur
    Président du Syndicat d'assainissement Bailly-Saint-Léger-aux-Bois
    Décédé en fonction
    mars 2013[32] mai 2020 Michel Lesueur   Agriculteur
    mai 2020[33] juin 2020[28] Bernard Beblo   Commerçant retraité
    octobre 2020[30] En cours
    (au 18 octobre 2020)
    Michel Lesueur   Agriculteur

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2019, la commune comptait 622 habitants[Note 9], en diminution de 3,86 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    387358349365430417406904429
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    411420385366334322306323337
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    354340312173219230206232232
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    264303402455599585595599670
    2015 2019 - - - - - - -
    642622-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 329 hommes pour 300 femmes, soit un taux de 52,31 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    1,0 
    5,6 
    75-89 ans
    4,4 
    20,8 
    60-74 ans
    22,2 
    27,3 
    45-59 ans
    22,9 
    14,6 
    30-44 ans
    18,4 
    14,3 
    15-29 ans
    14,7 
    17,4 
    0-14 ans
    16,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Lucien, reconstruite vers 1922, de style néo-roman, avec un tympan sculpté en 1924 par Henri Vallette et représentant deux anges se prosternant. Les fenêtres de l’abside sont garnies de trois vitraux de style art déco réalisés par le maître verrier parisien Lardeur. Le mobilier comporte deux autels et une chaire, en ébénisterie, également de style art déco[39],[40] ;
    • Monument aux morts, inauguré le dimanche 18 juin 1922, devant le cimetière, élevé pour les treize enfants de la commune tombés au champ d'honneur.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bailly », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. La salle communale porte le nom de ce maire
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bailly et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bailly et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « La traversée du département », La guerre de mouvement, sur https://14-18.oise.fr, Archives départementales de l'Oise : L'Oise au cœur de la Grande Guerre (consulté le ).
    22. « Carte postale ancienne : Bailly - Oise : Abri de soldats Allemands pendant la guerre 14 / 18 », Guerre 1914-1918, Cartorum - Cartes postales anciennes françaises localisées, (consulté le ).
    23. Section photographique de l'armée, « Photographie : Bailly. Oise. Spahis derrière les tranchées de première ligne. », Photographies 14-18, Numelyo - bibliothèque numérique de Lyon (consulté le ).
    24. Guy Friadt, « Saint-Léger-aux-Bois dans la Première Guerre mondiale », sur https://www.stleger.info (consulté le ).
    25. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    26. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. « À Bailly dans l’Oise, l’ensemble du conseil municipal démissionne : Pétition, manifestation, courriers… Ce village d’environ 650 habitants se déchire suite à l’élection du nouveau maire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Trois retraités ont géré un village de l’Oise… sans maire depuis 4 mois : Depuis la démission de tous les élus, en juin, la commune de Bailly, 600 habitants, est gérée par un triumvirat mandaté par la préfecture. Trois hommes qui resteront aux affaires jusqu’à l’installation officielle du nouveau maire, Michel Lesueur, élu ce dimanche », Le Parisien, édition de l'Oise, (Stéphanie Forestier, consulté le ).
    30. « Michel Lesueur élu maire de Bailly », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Le maire de Bailly vient de disparaître », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu conseiller municipal en 1971, avant de devenir maire en 1977. Depuis, il a été réélu sans discontinuer ».
    32. « Michel Lesueur élu maire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    33. Alexis Bisson, « Psychodrame municipal dans un village de l’Oise qui devra revoter en octobre : Trahison », « coup bas ». A Bailly, 650 habitants, le 1er adjoint s’est présenté au dernier moment face au maire sortant et a été élu, provoquant la colère des habitants. Tout le conseil a alors démissionné », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bailly (60043) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. Dominique Vermand, « Bailly, église Saint-Joseph », Diocèse : Noyon, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    40. « Carte postale ancienne : Bailly (Oise) : Le Monument aux Morts et l'Eglise en construction », Photo Declein à Ribécourt, sur https://www.geneanet.org, vers 1925 (consulté le ).
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