Haudricourt

Haudricourt est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Haudricourt (homonymie).

Haudricourt

Vue sur le bourg.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Dany Delabouglise
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76344
Démographie
Gentilé Haudricourtois
Population
municipale
407 hab. (2019 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 03″ nord, 1° 42′ 21″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 240 m
Superficie 29,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Haudricourt
Géolocalisation sur la carte : France
Haudricourt
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Haudricourt
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Haudricourt

    Géographie

    Description

    Haudricourt est une commune normande du Pays de Bray située à 43 km au-sud-est de la Manche au Tréport, 46 km au sud-ouest d'Amiens et à 55 km au nord-est de Rouen.

    Elle est desservie par l'autoroute A29 et l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).

    Communes limitrophes

    Hameaux et écarts

    La commune compte une vingtaine de hameaux et d'écarts[1].

    Hydrographie

    La Bresle au hameau de Villers.

    La commune est drainée par plusieurs bras du fleuve côtier la Bresle, sur lesquels se trouvaient plusieurs moulins à eau.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 829 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, dans le département de l'Oise, mise en service en 1944 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Haudricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), prairies (34,2 %), forêts (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), zones urbanisées (0,8 %), zones humides intérieures (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Aldricort vers 1138[22], puis sous la forme latinisée Audricuria en 1337[23].

    Il s'agit d'un type toponymique antérieur au Xe siècle en -court[24], jadis noté -cort. Cet appellatif toponymique caractéristique du nord de la France est issu du gallo-roman corte « cour de ferme, ferme, domaine rural », également noté cōrtem[22]. La forme -curia des mentions latinisées s'explique par une étymologie erronée d'après le latin curia « cour, curie », responsable également de la graphie moderne du mot cour en français, alors que l'anglais court conserve la graphie ancienne du français.

    Le premier élément Aldri-, Audri- ou Haudri- représente un anthroponyme germanique conformément à la plupart des toponymes en -court. Son identification exacte est complexe, peut-être Hild-ric[22], ou mieux Aldricus[25],[26], voire Haldricus[27]. Cet anthroponyme germanique se perpétue dans les noms de famille Haudry et Audry[27],[Note 7].

    Selon Albert Dauzat, Haudry est composé des éléments hald « héros » et ric « puissant »[28] et Audry de Alda « vieux » et ric « puissant »[29].

    Histoire

    À partir de 1840 ont été trouvés des cercueils en pierre et en plâtre, sur le penchant d'une colline, au lieu dit le Camp Varnier[30].

    Aux Larris-de-la-commune a été découverte en 1987 une nécropole mérovingienne comptant 103 sépultures des VIe et VIIe siècles. On constate une différence d'orientation des tombes : une majorité est orientée nord-sud, une partie est orientée est-ouest et une autre ouest-est. Cette différence est peut-être l'indice de communautés culturelles d'origines ethniques et géographiques différentes[31]. Le mobilier « guerrier » de certaines tombes (un scramasaxe, une lame de couteau en fer), certains bijoux et plaques boucles en fer damasquiné font penser à un groupe de Germains et leurs familles, comme on le voit ailleurs.

    La commune de Haudricourt, instituée par la Révolution française, a absorbé en 1823 celle de Villers-sur-Aumale, puis, le , celle de Beaufresne[32].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aumale[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Gournay-en-Bray.

    Intercommunalité

    Haudricourt était membre de la communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1806 1808 Pierre Pongny    
    1808 janvier 1816 François Lassé    
    janvier 1816 juillet 1816 Pierre Jean Vasseur    
    aout 1816 1832 Blaise Mallart    
    1832 1857 Paul Pollet[Note 8]    
    1858 1859 Blaise Mallart[Note 9]    
    1859 1875 Charles Yvart    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1892 Pierre Louis Mallet    
    1892 1912 Eugène Arsène Coussot    
    1912 1919 Alfred Berneuil    
    1919 1945 Emile Retourné    
    1945 1947 Henri Testu    
    1947 1949 Charles Pierre Marie Poilvet[Note 10]    
    1949 1958 Eugène Decorde    
    1958 1959 Athanase Dumont    
    1959 1966 Jean Retourné    
    1966 1982 Désiré Darry DVG  
    1982 2014[34] Jacques Rousselin    
    2014 En cours
    (au 29 avril 2021)
    Dany Delabouglise   Président du SI de gestion de l’eau (SIGE) de Conteville et Haudricourt[1]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[1],[35]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2019, la commune comptait 407 habitants[Note 11], en diminution de 12,28 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    401396421459771776791779800
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    776762726714671656621618558
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    538528539507524501533574515
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    508423491456443443457471422
    2019 - - - - - - - -
    407--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Jean-et-Saint-Martin. l'Abbé Cochet mentionnait en 1871 : « L'église, dédiée à saint Jean et à saint Martin, doit remonter, pour le fond, au XIe et au XIIe siècle. Dans l'appareil de la nef, qui est en forme d'arête de poisson , on remarque des tuiles antiques. Le pignon de l'ouest est percé d'une porte et d'une fenêtre romanes. Au chevet, un grand cintre encadre trois ogives inégales, emblème de la Trinité. Le reste de l'église a été refait au XVIIe et au XVIIIe siècle[30] ».
    Le coq du clocher a été béni l’abbé Jean-Claude Varin après la réfection du clocher, début 2021[39]. Celui-ci est connu pour être fortement incliné. Selon de nombreux habitants, il s'agirait d'une déformation de la charpente, mais il semblerait qu'il s'agit d'une situation volontaire permettant de mieux lutter contre la force des vents violents du secteur[40]
    • Église Notre-Dame à Villers[41]. Egalement selon l'Abbé Cochet, elle comprend une « nef du XVIIe et du xXVIIIe siècle, flanquée au midi d'une chapelle seigneuriale, ornée d'une corniche sculptée et garnie d'une belle fenêtre ogivale à meneaux, avec verrière représentant le Jugement dernier. Le chœur, construit au XVIe siècle, en pierre blanche, remplacée par de la brique en certains endroits, est éclairé par cinq fenêtres à un meneau, dont trois sont au chevet. Deux contiennent des verrières. Au midi est une Annonciation au bas de laquelle on voit les donateurs conduits par leurs saints patrons. Au nord sont la Naissance de Jésus-Christ, l'Adoration des Bergers et les emblèmes mystiques de la Vierge Marie. Au bas est le donateur, M. Philippe Féret, curé du lieu eu 1546. Corniche en bois sculpté et restes d'un baldaquin placé sur l'autel pour porter des rideaux et une suspension du saint sacrement[30] ».

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Baptiste Arthur Gentien Mey de Châles (1857- ), capitaine au 41e régiment d'infanterie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Haudricourt[42].
    • Prosper Albert Armand Monnier (1859-1934), adjudant-chef, gardien de batterie au parc d'artillerie de la place de Maubeuge, chevalier de la Légion d'honneur, né à Haudricourt[43].
    • L'artiste peintre américaine Mary Cassatt, propriétaire du château de Beaufresne.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Certains auteurs notent les noms de personnes germaniques avec la désinence latinisée -us, tels qu'ils apparaissent dans les documents anciens rédigés en latin
    8. Décédé le 10/04/1857
    9. Décédé le 21/02/1859 fils du précédent Blaise Mallart
    10. Décédé le 14/09/1949
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Vincent Beny, « Municipales 2020 : le maire d’Haudricourt, près d’Aumale, a décidé de se représenter : Sur les 15 maires de l’ex-canton d’Aumale, Dany Delabouglise était l’un des derniers à ne pas avoir dévoilé ses intentions pour les élections municipales. », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, (lire en ligne, consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Haudricourt et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Haudricourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5, OCLC 6403150), p. 91.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 345a.
    24. François de Beaurepaire, op. cit., p. 9.
    25. François de Beaurepaire, op. cit., p. 91.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    27. François de Beaurepaire, op. cit.
    28. Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p. 321.
    29. Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p. 15.
    30. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 169, lire en ligne sur Gallica.
    31. Isabelle Rogeret, Carte archéologique de la Gaule: La Seine-Maritime, Fondation Maison des Sciences de l'Homme 1998.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. En mairie état civil de 1806 à 1982
    34. « Jacques Rousselin a décidé d'arrêter », Le Réveil, édition Oise normande, no 3331, , p. 16.
    35. « un nouveau mandatpour Dany Delabouglise », Le Réveil, no 3661, , p. 45.
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. Vincent Beny, « Le coq du clocher d'Haudricourt a été béni : Moment important pour la commune d'Haudricourt, près d'Aumale, le coq de l'église a été béni. Les travaux de restauration seront bientôt terminés », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
    40. Vincent Beny, « Haudricourt, près d’Aumale. Pourquoi le clocher de l’église est-il incliné ? : Si l’inclinaison du clocher de l’église d'Haudricourt est bien connue de ses habitants, peu de gens en connaissent les vraies raisons. L'hypothèse la plus probable est étonnante », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ) « En effet, plus haut clocher de l’ex-canton d’Aumale, il a dû, à travers les temps, faire face à de nombreuses tempêtes avec des vents parfois très puissants venant du nord ouest. Son inclinaison lui a donc permis de résister aux vents dominants. Et visiblement cela a fonctionné puisque lors de l’intervention des charpentiers et couvreurs lors de sa rénovation, seulement quelques petites poutres ont dû être remplacées ».
    41. Céline Leray, « Église Notre-Dame à Haudricourt : où sont passées les subventions ? : Le chantier de l’église de Villers devrait s’achever en septembre. Si les travaux avancent bien, les subventions peinent à arriver dans les caisses de la municipalité. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    42. « GENTIEN MEY DE CHÂLES, Jean Baptiste Arthur », base Léonore, ministère français de la Culture.
    43. « MONNIER, Prosper Albert Armand », base Léonore, ministère français de la Culture.
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