Beaulieu-sur-Layon

Beaulieu-sur-Layon est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Beaulieu et Layon.

Beaulieu-sur-Layon

L'hôtel Desmazières.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Loire Layon Aubance
Maire
Mandat
Martine Chauvin
2022-2026
Code postal 49750
Code commune 49022
Démographie
Gentilé Belloquois
Population
municipale
1 368 hab. (2019 )
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 18′ 41″ nord, 0° 35′ 17″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 104 m
Superficie 12,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chemillé-en-Anjou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Beaulieu-sur-Layon
Géolocalisation sur la carte : France
Beaulieu-sur-Layon
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Beaulieu-sur-Layon
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Beaulieu-sur-Layon
Liens
Site web beaulieu-sur-layon.fr

    La commune se situe dans l'appellation viticole du Coteaux-du-Layon (AOC).

    Géographie

    Localisation

    Commune angevine des coteaux du Layon, Beaulieu-sur-Layon se situe au nord de Chemillé en Anjou, sur les routes D 54, Rochefort-sur-Loire et Val-du-Layon et D 55, Bellevigne-en-Layon[1], à proximité de l'autoroute A87, à 18 km au sud d'Angers et à 35 km au nord-est de Cholet[2].

    Son territoire est bordé au Sud par le Layon[1].

    La commune se situe sur les unités paysagères des plateaux de l'Aubance et du couloir du Layon[3].

    Communes limitrophes

    Beaulieu-sur-Layon est limitrophe avec six communes que sont Rochefort-sur-Loire au nord-ouest, Denée au nord, Mozé-sur-Louet au nord-est, Bellevigne-en-Layon à l'est et au sud-est, Chemillé-en-Anjou au sud et Val-du-Layon à l'ouest et au sud-ouest[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 659 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1988 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[10]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records BEAULIEU-S-LAY (49) - alt : 78 m 47° 18′ 24″ N, 0° 35′ 54″ O
    Statistiques établies sur la période 1988-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1988 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,7 2,7 4,3 5,8 9,7 12,2 13,9 14 11,1 8,9 5 2,7 7,8
    Température moyenne (°C) 5,8 6,6 9,1 11,1 15,3 18,2 20,2 20,3 16,9 13,4 8,6 5,7 12,6
    Température maximale moyenne (°C) 8,8 10,5 13,8 16,4 21 24,3 26,4 26,6 22,8 17,9 12,2 8,7 17,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −12
    02.01.1997
    −10,5
    12.02.12
    −10
    01.03.05
    −3,6
    07.04.08
    0,4
    14.05.10
    4
    01.06.11
    6,5
    12.07.00
    6,4
    21.08.14
    2,4
    26.09.10
    −3
    30.10.1997
    −7
    21.11.1993
    −10
    29.12.1996
    −12
    1997
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,5
    25.01.16
    21,2
    27.02.19
    25
    30.03.21
    29,6
    20.04.18
    33,1
    26.05.17
    39,9
    29.06.19
    42,7
    18.07.22
    40
    07.08.20
    37,1
    14.09.20
    31,5
    03.10.11
    23
    07.11.15
    19
    07.12.00
    41,9
    2019
    Précipitations (mm) 62,2 47,2 45,7 49,1 50,3 36 40,8 39,1 49,7 66,4 59,1 64,1 609,7
    Source : « Fiche 49022001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Beaulieu-sur-Layon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[11],[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (37,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), forêts (16 %), prairies (12,5 %), zones urbanisées (6,3 %), terres arables (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), mines, décharges et chantiers (2 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Formes anciennes du nom : Bellum locum au XVe siècle[18], Beaulieu en 1793 et 1801, Beaulieu-sur-Layon en 1920[19]. Le nom provient du latin bellus locus, traduit en beau lieu c'est-à-dire bel endroit, beau site[20].

    Les Beaulieu sont très nombreux en France : Beaulieu (Ardèche), Beaulieu (Cantal), Beaulieu (Côte-d'Or), Beaulieu (Hérault), Beaulieu (Indre), Beaulieu (Isère), Beaulieu (Haute-Loire), Beaulieu (Nièvre), Beaulieu (Orne), Beaulieu (Puy-de-Dôme). Certaines communes ont adjoint, pour se différencier, un mot indiquant leur situation: Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-lès-Loches, Beaulieu-sous-Parthenay[20]. Les gentilés de ses habitants sont variés : Beaulieusard, Beaulieurois, Bellilocien, Bellieurain, Bellilocois, Belliloquois, Belliloqueteux, Belliquière, Berlugan, Beloudonien.

    Histoire

    Pendant la Première Guerre mondiale, 34 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 3 habitants sont tués[21].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 2001 Antoine Berthelot - Retraité
    2001 2014 Marc Silvestre - Directeur travaux BTP
    2014 mai 2020 Paul Tresmontan[22] - Directeur financier
    mai 2020 avril 2021
    (élection annulée)
    Didier Petit[23]    
    12 avril 2021 mars 2022 Paul Tresmontan[24],[25]    
    12 mars 2022 En cours
    (au 15 mars 2022)
    Martine Chauvin[26]    

    Après les résultats des municipales 2020, un recours est porté auprès du tribunal administratif de Nantes, qui décide le 9 juillet, d'inverser le résultat des élections suite à 14 bulletins controversés. La liste adverse fait ensuite appel de la décision devant le Conseil d'État. La cour valide en mars de l'année suivante la décision du tribunal administratif[27],[28],[25]. Un nouveau conseil municipal est mis en place en avril 2021[29]. L'année suivante, à la suite de démissions successives, de nouvelles élections municipales sont organisées en mars 2022[30].

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes Loire Layon Aubance, après disparition de la communauté de communes des Coteaux du Layon[31], elle-même membre du syndicat mixte Pays de Loire en Layon.

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, la commune fait partie du canton de Thouarcé et de l'arrondissement d'Angers[32]. Le canton de Thouarcé compte alors dix-sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. Le canton de Thouarcé disparaît et la commune de Beaulieu-sur-Layon est rattachée au canton de Chemillé-Melay, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[33].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2019, la commune comptait 1 368 habitants[Note 6], en diminution de 3,39 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0051 0097779651 0081 0189961 0681 168
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1851 1341 2261 1881 2001 1231 0951 0291 006
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 018978959854891917932977990
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0259489449959811 0691 3551 4311 416
    2018 2019 - - - - - - -
    1 3701 368-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 695 hommes pour 675 femmes, soit un taux de 50,73 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3 
    90 ou +
    1,9 
    6,3 
    75-89 ans
    10,4 
    12,2 
    60-74 ans
    12,3 
    23,3 
    45-59 ans
    21,6 
    19,3 
    30-44 ans
    21,6 
    15,1 
    15-29 ans
    12,9 
    22,4 
    0-14 ans
    19,3 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2 
    6,9 
    75-89 ans
    9,5 
    15,5 
    60-74 ans
    16,3 
    19,4 
    45-59 ans
    18,8 
    18,6 
    30-44 ans
    17,7 
    18,6 
    15-29 ans
    17,5 
    20,2 
    0-14 ans
    18,2 

    Économie

    Sur 128 établissements présents sur la commune à fin 2010, 23 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 48 % de celui du commerce et des services et 19 % du secteur de l'administration et de la santé[40].

    La commune se situe dans l'aire d'appellation viticole du Coteaux-du-Layon (AOC). Vingt-sept communes du département, bordant la rivière du Layon, constituent l'aire géographique de l'appellation d'origine contrôlée Coteaux du Layon[41].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments inscrits

    Autres lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Thomas-Marie-Gabriel Desmazières (1743-1818), né sur la commune, magistrat et ancien député de l'Anjou puis de Maine-et-Loire, maire par intérim d'Angers.
    • Jean Perdriau, né en 1746 à Beaulieu-sur-Layon et mort en 1793 à Chemillé, capitaine de paroisse tué au début des guerres de Vendée.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 286-289.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail Beaulieu-sur-Layon (49), consulté le 14 août 2012
    2. Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Beaulieu-sur-Layon (49), consulté le 7 mars 2015 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
    3. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 140 et 146 — Données consultables sur WikiAnjou.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Fiche du Poste 49022001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Célestin Port 1965, p. 286
    19. EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Beaulieu-sur-Layon, consulté le 20 mars 2022 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
    20. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7), p. 26-27.
    21. Port 1965, p. 287.
    22. « Paul Tresmontan succède à Marc Silvestre », sur Ouest-France, (consulté le ).
    23. « Beaulieu-sur-Layon. Le nouveau conseil municipal est installé », sur Ouest-France, (consulté le ).
    24. « Beaulieu-sur-Layon. La liste de Paul Tresmontan est définitivement élue », sur Ouest-France, (consulté le ).
    25. Conseil d'État, no 442353 (ECLI:FR:CECHS:2021:442353.20210330), Lecture du mardi 30 mars 2021.
    26. « Beaulieu-sur-Layon. Martine Chauvin endosse l’écharpe de maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    27. « Beaulieu-sur-Layon. Micmac électoral : le perdant sera-t-il gagnant ? », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    28. « Beaulieu-sur-Layon. Résultat des municipales : la bataille se poursuit devant les tribunaux », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    29. « Beaulieu-sur-Layon. La nouvelle équipe municipale à pied d’œuvre », sur Ouest-France, .
    30. Bruno Jeoffroy, « Maine-et-Loire. Trois listes pour de nouvelles élections municipales à Beaulieu-sur-Layon », sur Le Courrier de l'Ouest, .
    31. Insee, Composition de l'EPCI des Coteaux du Layon (244900734), consulté le 31 août 2013.
    32. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Beaulieu-sur-Layon, consultée le 22 février 2015
    33. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaulieu-sur-Layon (49022) », (consulté le ).
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    40. Insee, Statistiques locales du territoire de Beaulieu-sur-Layon (49), consultées le 5 décembre 2012.
    41. INAO, Fiche Coteaux du Layon, consultée le 2 septembre 2012.
    42. « Eglise », notice no PA00108965, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Hotel Desmazieres », notice no PA00108966, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Logis de la Pinsonniere », notice no PA00108967, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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