Mozé-sur-Louet

Mozé-sur-Louet est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Mozé-sur-Louet

L'église Saint-Samson.

Blason

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Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Loire Layon Aubance
Maire
Mandat
Joëlle Baudonnière
2020-2026
Code postal 49610
Code commune 49222
Démographie
Gentilé Mozéen
Population
municipale
2 013 hab. (2019 )
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 21′ 30″ nord, 0° 33′ 02″ ouest
Altitude 23 m
Min. 12 m
Max. 94 m
Superficie 25,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chemillé-en-Anjou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mozé-sur-Louet
Géolocalisation sur la carte : France
Mozé-sur-Louet
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Mozé-sur-Louet
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Mozé-sur-Louet
Liens
Site web http://www.mozesurlouet.fr

    Géographie

    Commune angevine du Saumurois, Mozé-sur-Louet se situe au sud-ouest de Soulaines-sur-Aubance, sur les routes D 123, Denée - Saint-Melaine-sur-Aubance, D 204, Beaulieu-sur-Layon, et D 130 Brissac-Quincé[1].

    Cette commune de 2 553 hectares[2] se situe sur les unités paysagères des plateaux de l'Aubance et de la Loire des promontoires[3].

    La commune est traversée par le Louet[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 665 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaulieu-S-Lay », sur la commune de Beaulieu-sur-Layon, mise en service en 1988[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 609,7 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 98 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[14], à 11,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Mozé-sur-Louet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,9 %), terres arables (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (23,4 %), cultures permanentes (4,5 %), zones urbanisées (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %), forêts (0,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Histoire

    Lors de la construction de l'autoroute A87, en 1999, un remarquable site du Paléolithique final (Azilien) a été découvert et fouillé pendant plus de six mois au lieu-dit Les Chaloignes [24],[25] .

    Pendant la Révolution française, les Républicains ont brulé la rue principale du Bourg le . Une seule maison y a résisté (maison d’Adèle Candé); cette maison est actuellement l'ancienne bibliothèque de Mozé-sur-Louet. Une rue a été nommée en souvenir de cette date.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1826 1826 Albin de Cacqueray    
    1835 1845 Laurent Poisson    
    1852 1860 Charles Pasquet    
    1860 1873 René-Jacques Esnault    
    Les données manquantes sont à compléter.
     ? Jacques Bompas    
    Les données manquantes sont à compléter.
    [26] [27]
    (démission)
    Jean Lafferrière   Ingénieur-conseil
    Jean Desaivres    
    Gérard Dolbois PS  
    En cours
    (au 27 mai 2020)
    Joëlle Baudonnière[28],[29] DVG Secrétaire d'une association
    Conseillère départementale remplaçante

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes Loire Layon Aubance depuis la disparition de la communauté de communes des Coteaux du Layon[30], elle-même membre du syndicat mixte Pays de Loire en Layon.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2019, la commune comptait 2 013 habitants[Note 7], en diminution de 1,56 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6201 6201 5071 6161 7271 6591 7211 6691 644
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6501 6201 5051 4611 3831 3601 3861 3351 241
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1901 1861 1121 0061 0141 0101 0169721 008
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 0029781 1071 4341 8022 0001 9301 9172 063
    2015 2019 - - - - - - -
    2 0212 013-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 993 hommes pour 1 006 femmes, soit un taux de 50,33 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,1 
    6,8 
    75-89 ans
    8,1 
    18,0 
    60-74 ans
    17,9 
    20,9 
    45-59 ans
    19,9 
    19,6 
    30-44 ans
    20,2 
    14,1 
    15-29 ans
    13,7 
    20,2 
    0-14 ans
    19,1 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2 
    6,9 
    75-89 ans
    9,5 
    15,5 
    60-74 ans
    16,3 
    19,4 
    45-59 ans
    18,8 
    18,6 
    30-44 ans
    17,7 
    18,6 
    15-29 ans
    17,5 
    20,2 
    0-14 ans
    18,2 

    Vie locale

    Les transports en commun : Mozé-sur-Louet est traversé par trois lignes de bus du réseau régional Aléop :

    • la ligne 07 Angers - Chemillé - Cholet,
    • la ligne 19 Faverayes - Thouarcé - Angers,
    • la ligne 20 Vihiers - Angers.

    Économie

    Sur 149 établissements présents sur la commune à fin 2010, 20 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 42 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[37].

    Vue d'Angers depuis le hameau du Pay. Au premier plan, le hameau de la Roche Sarrazin.

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 34649310, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail Mozé-sur-Louet (49), consulté le 2 octobre 2012.
    2. IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2011), consulté le 2 octobre 2012
    3. Département de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Le Polygraphe Éditeur, 2003, p. 140 et 176.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Beaulieu-S-Lay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Mozé-sur-Louet et Beaulieu-sur-Layon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Beaulieu-S-Lay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Mozé-sur-Louet et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Grégor Marchand, Rémy Arthuis, Sylvie Philibert et Farid Sellami, « Un habitat azilien en Anjou : les Chaloignes à Mozé-sur-Louet (Maine-et-Loire) », Gallia Préhistoire, vol. 51, no 1, , p. 1–111 (DOI 10.3406/galip.2009.2475, lire en ligne, consulté le )
    25. Grégor Marchand, Sandra Sicard, Philippe Forré et Jean-François Nauleau, « De la pelle mécanique aux remontages lithiques : espace habité et techniques au Tardiglaciaire sur l’habitat des Chaloignes (Mozé-sur-Louet, Maine-et-Loire) », Revue archéologique de l'Ouest, no 25, , p. 7–52 (ISSN 0767-709X, DOI 10.4000/rao.1650, lire en ligne, consulté le )
    26. « Mozé-sur-Louet : Jean Lafferrière élu maire », Ouest-France, .
    27. « Pour raisons de santé, démission du maire de Mozé-sur-Louet », Ouest-France, .
    28. « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    29. « Mozé-sur-Louet. Joëlle Baudonnière réélue maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    30. Insee, Composition de l'EPCI des Coteaux du Layon (244900734), consulté le 31 août 2013.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mozé-sur-Louet (49222) », (consulté le ).
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    37. Insee, Statistiques locales du territoire de Mozé-sur-Louet (49), consultées le 28 avril 2013
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