Beaumont-en-Diois

Beaumont-en-Diois est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Cet article concerne l'une des trois communes homonymes dans la Drôme. Pour les deux autres communes homonymes drômoises, voir Beaumont-lès-Valence et Beaumont-Monteux. Pour les autres articles homonymes, voir Beaumont.

Beaumont-en-Diois
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Diois
Maire
Mandat
Isabelle Allemand
2020-2026
Code postal 26310
Code commune 26036
Démographie
Gentilé Beaumontois, Beaumontoises
Population
municipale
105 hab. (2019 )
Densité 5,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 17″ nord, 5° 28′ 36″ est
Altitude Min. 637 m
Max. 1 408 m
Superficie 17,65 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Die
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Diois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Beaumont-en-Diois
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Beaumont-en-Diois
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Beaumont-en-Diois
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Beaumont-en-Diois

    Ses habitants sont dénommés les Beaumontois.

    Géographie

    Localisation

    Beaumont-en-Diois est situé à 25 km de Die et à km de Luc-en-Diois.

    Relief et géologie

    Sites particuliers[1] :

    • Col de Fond Sauvage
    • Col de Poyols (ou Col de Beaumont)
    • Col des Pourcieux
    • Col la Penne
    • Combe de Tire-Cul
    • Combe du Grand Devès
    • Grand Devès (968 m)
    • l'Aupet (1114 m)
    • Montagne de Montenier
    • Serre Banchet
    • Serre la Chaud (nord)
    • Serre la Chaud (sud)
    • Serre Villard
    • Rocher de la Pierrelle
    • Rocher de Regaras

    Le mont l'Adret-de-Chatier est attesté en 1891[2].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • la Drôme ;
    • Ravin de Rebinserie ;
    • Ravin des Graves ;
    • Torrent de Nière Gourzine.

    Le ruisseau Beaumont, affluent de la Drôme, est formé des ravins de Rebuissière et de Nière-Gouzine (commune de Beaumont). Parcours: 2,05 kilomètres. En 1891, il avait une largeur moyenne de 3,15 m (note : le dict. indique 31,50 m mais cela semble être une coquille), une pente de 35,55 m, un débit ordinaire de 0,24 m3, extraordinaire de 10 m3[3].

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de la Drôme.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 93 et 175[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Beaumont-en-Diois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Die dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,1 %), terres arables (3,8 %), prairies (1,9 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[1] :

    • Colomb
    • Donzaire
    • Faveriole
    • Ferme de Drôme
    • Ferme du Col
    • Ferme du Lac
    • Ferme du Villaret
    • Forêt Domaniale du Claps
    • Grand Chatier
    • Grand Lac
    • la Créma
    • la Guille Barbette
    • la Parerie
    • la Sausse
    • la Soupe
    • le Bois
    • le Cheylard
    • le Lac
    • les Broues
    • les Drayes
    • les Pourcieux
    • les Routes
    • les Sagnes
    • le Taillis
    • le Vialard
    • Saint-Martin
    • Saint-Pierre

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[3] :

    • 1165 : castrum Bellimontis (cartulaire de Die, 20).
    • 1509 : mention de l'église : ecclesia Beate Anne Bellimontis (visites épiscopales).
    • 1750 : Beaumont en Diois (archives de la Drôme, fonds de l'évêché de Die).
    • 1891 : Beaumont, commune du canton de Luc-en-Diois.

    1955 ?[réf. nécessaire] : Beaumont-en-Diois.

    Étymologie

    Les « Beaumont » sont des toponymes signalant l'intérêt d'un mont par sa hauteur ou la protection qu'il peut apporter aux habitants du lieu.

    Préciser qu'il est dans le pays du Diois permet de ne pas le confondre avec les autres « Beaumont » de la région.

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de la Drôme.

    Du Moyen Âge à la Révolution

    La seigneurie :

    • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était du fief de l'église épiscopale de Die[3].
    XIIe siècle : fief des évêques de Die[10].
    Fief de l’évêque de Die (Hugues II) / appartient à Isoard, comte de Die, qui doit en faire l’hommage au prélat[réf. nécessaire].
    Les Artaud de Montauban[réf. nécessaire].
    • 1683 : passe (par mariage) aux Liotaud, derniers seigneurs de Beaumont[3].
    Les Liotaud Artaud de Montauban[réf. nécessaire].

    Beaumont constituait un site défensif, attesté par les ruines d'un château fort et de sa tour de guet, encore visibles sur une colline appelée « le château »[réf. nécessaire] :

    • La construction du château date de la première moitié du XIIe siècle.
    • Il est mentionné dans une bulle du pape Alexandre III datée du 28 mars 1165.
    • Le château consistait en une simple forteresse, où le seigneur ne résidait pas, mais qui abritait son châtelain et quelques hommes d’armes chargés de surveiller la haute vallée de la Drôme. À l’autre extrémité de la crête supportant le château se trouvait une tour de guet dominant la vallée de la Drôme.
    • En 1419, après la réunion du Diois à la couronne de France, le guet a été supprimé et le château abandonné.

    Beaumont a été un péage jusqu'au XVIIIe siècle[10].

    Les cultes[réf. nécessaire] :

    • Beaumont-en-Diois formait une paroisse de l'archiprêtré de Luc et du diocèse de Die. Outre l'église paroissiale, dédiée à sainte Anne et le prieuré bénédictin de Saint-Martin, la commune comprenait une chapelle Notre-Dame avec son cimetière et une chapelle proche de la ferme Saint-Pierre. Ces derniers édifices n'existent plus au XVe siècle, ou du moins ne présentent plus que des ruines.
    • Beaumont ne possédait pas de temple avant la révocation de l'Édit de Nantes par le roi Louis XIV. La communauté protestante était une annexe de celle de Poyols.
    • À partir du XVIe siècle, la population fut divisée presque également entre catholiques et protestants (en 1644 : dix familles catholiques et quinze familles protestantes).

    Le lac de Luc :

    • Au XVe siècle, après l'éboulement des rochers du Claps qui forma le lac de Luc, le village se trouva isolé et le château fut abandonné. La population, qui était alors d’environ 200 personnes, fut périodiquement décimée par les « fièvres malignes et épidémiques » occasionnées par la proximité des marécages du lac. En outre, le village subissait les inondations, lors des crues des torrents qui ne pouvaient s'évacuer dans la plaine du lac.
    • 1752 : les Chartreux de Durbon, propriétaires du Grand Lac, décident de l'assécher.
    • 1755 : une crue exceptionnelle ouvre une brèche et fait baisser le niveau du lac de plus de deux mètres.
    • L'assèchement de ce lac (commencé avant la Révolution et continué après) provoqua plusieurs procès entre le seigneur Liotaud Artaud de Montauban et les habitants de la commune, ainsi qu'entre les habitants et les Chartreux. En effet, les habitants utilisaient les atterrissements (zones du lac naturellement comblées par la Drôme) comme pâturages et pour s'approvisionner en saules et en broussailles[11].

    Avant 1790, Beaumont était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église était dédiée à sainte Anne. La cure était de la collation de l'évêque diocésain et les dîmes appartenaient au prieur du lieu (voir Saint-Martin)[3].

    Saint-Martin

    Le prieuré de Saint-Martin[12] :

    • Prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, filiation de Cluny, qui était une dépendance de celui de Saint-Marcel de Die, auquel il fut uni dans le cours du XVe siècle et dont le titulaire avait les dîmes de la paroisse de Beaumont.
    • XIVe siècle : attesté sous le nom prioralus Belli Montis (pouillé de Die).

    Saint-Pierre

    Saint-Pierre est un quartier de la commune de Beaumont-en-Diois[13]

    Le prieuré de Saint-Pierre est en fonction de l'an 800 jusque vers 1600[réf. nécessaire].

    • Il est situé sur une colline écartée qui serait, d'après Louis Froment (curé de Luc-en-Diois), un ancien site gallo-romain[14].
    • En 1644, La chapelle est signalée comme « ruinée, sans recteur, patron, revenu ni service »[réf. nécessaire].
    • En 1709, un extrait du parcellaire de la communauté de Beaumont, établi par Alexandre Borel de la Combe, atteste de la transformation du prieuré en ferme[réf. nécessaire].
    • Autour de 1975, lors de travaux de réfection de la ferme, huit sépultures sont découvertes à une profondeur de 30 cm à 1 m. Elles sont orientées est-ouest (tête à l'ouest). L'une d'elles, vue par le père Froment, est un coffre au fond non dallé, aux parois de blocs de tuf marquant un rétrécissement vers la tête, à la couverture de dalles.
    Dans l'une des tombes, a été trouvé un vase en céramique grise, un pégau (haut de 11 cm, large de 12) à une anse plate, sans bec. Les parois sont très minces et la moitié supérieure du vase est ornée de stries horizontales séparant des bandes de décor à la molette (arêtes de poisson)[15].

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, la commune est comprise dans le canton de Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Luc-en-Diois[3].

    1790 : délibération du conseil d'administration de Die à propos de la construction d'une route de Luc au col de Cabre, passant par le Grand lac : « [...] Le tracé réalisé en 1777 par mr de la Peyrouze serait d'autant plus facile et commode que ce lac est déjà en grande partie desséché et le sera sans doute ultérieurement [...] »[réf. nécessaire].

    Entre 1890 et 1913, le reboisement des collines protégea les champs et le village de l'érosion dévastatrice des torrents[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
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    1790 1871  ?    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874  ?    
    1874 1878  ?    
    1878 1884  ?    
    1884 1888  ?    
    1888 1892  ?    
    1892 1896  ?    
    1896 1900  ?    
    1900 1904  ?    
    1904 1908  ?    
    1908 1912  ?    
    1912 1919  ?    
    1919 1925  ?    
    1925 1929  ?    
    1929 1935  ?    
    1935 1945  ?    
    1945 1947  ?    
    1947 1953  ?    
    1953 1959  ?    
    1959 1965  ?    
    1965 1971  ?    
    1971 1977  ?    
    1977 1983 Paul Pouzin    
    1983 1989 Jean Tourres    
    1989 1995 Jean Tourres   maire sortant
    1995 2001 Jean Tourres   maire sortant
    2001 2008 Isabelle Blas    
    2008 2014 Lionel Lherondel    
    2014 2020 Isabelle Blas DVG employée
    2020 En cours
    (au 16 janvier 2021)
    Isabelle Allemand[16][source insuffisante]    

    Population et société

    Démographie

    En 2019 , la commune de Beaumont-en-Diois comptait 105 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    249283302331386359333338332
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    294281258253264254224200193
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1731721891291221121008697
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    868461425875777787
    2017 2019 - - - - - - -
    104105-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête : le premier dimanche de juin[10] ou le dernier samedi de juin[réf. nécessaire].

    Loisirs

    Cultes

    • L'église catholique Sainte-Anne n'est utilisée que pour de rares cérémonies. En 2021, un mariage y a été célébré. Elle sert parfois pour un service de funérailles[réf. nécessaire].
    • Il y a actuellement trois cimetières à Beaumont : le cimetière catholique dont le terrain avait été donné à la paroisse le 19 novembre 1733 par le seigneur de Beaumont, Pierre Liotaud Artaud de Montauban ; le cimetière protestant formé de tombes appartenant aux familles ; enfin le cimetière communal basé sur le système des concessions[réf. nécessaire].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : pâturages (ovins, bovins), lavande[10].

    • Produits locaux : fromage Picodon[10].

    Tourisme

    La commune dispose d'un camping municipal de 25 emplacements, situé au bord de la Nière-Gourzine[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château ruiné des Tours[10].
    • Restes du prieuré bénédictin à Saint-Martin[10].
    • Maisons anciennes de couleur ocre[10].
    • Église catholique Sainte-Anne de Beaumont-en-Diois du XIXe siècle[10].
    • Temple protestant[10]. Il fut construit au XIXe siècle. Il est actuellement désaffecté et transformé en gîte rural[réf. nécessaire].

    Patrimoine culturel

    • Artisanat d'art[10].

    Patrimoine naturel

    Héraldique, logotype et devise

    En 2021, le conseil municipal de Beaumont-en-Diois a proposé un nouveau sceau ou timbre pour la commune qui orne à présent le papier à en-tête et les documents graphiques de la commune[réf. nécessaire].

    Beaumont-en-Diois possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.


    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. https://www.geoportail.gouv.fr/
    2. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (L'Adret-de-Chatier).
    3. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 29 (commune et ruisseau).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Beaumont-en-Diois.
    11. Roger Pierre, Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution, Études drômoises, (no)64, mars 1985, page 20.
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 347.
    13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 356.
    14. Louis Froment, « le père Froment », sur Lesches-en-Diois, (consulté le ).
    15. auteur1=Michel Colardelle|titre=Sépulture et traditions funéraires du Ve au XIIIe siècle. dans les campagnes des Alpes françaises du nord (Drôme, Isère, Savoie, Haute-Savoie ), contributions de Claude Olive, Marc R. Sauter et Luc Buchet, préface de Michel Bouard. Grenoble, Société alpine de documentation et de recherche en archéologie historique, 1983.
    16. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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