Prunet-et-Belpuig
Prunet-et-Belpuig est une commune française, située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région des Aspres, un minusule territoire roussillonnais compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud qui tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols.
Prunet-et-Belpuig | |||||
Chapelle de la Trinité | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Roussillon Conflent | ||||
Maire Mandat |
Benoît Bonacaze 2020-2026 |
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Code postal | 66130 | ||||
Code commune | 66153 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
48 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 2,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 33′ 46″ nord, 2° 37′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 353 m Max. 863 m |
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Superficie | 21,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Canigou | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Boulès, l'Ample et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Prunet-et-Belpuig est une commune rurale qui compte 48 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 364 habitants en 1836. Ses habitants sont appelés les Prunet-Puigois ou Prunet-Puigoises.
Géographie
Localisation
La commune de Prunet-et-Belpuig se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 27 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 18 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 10 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Amélie-les-Bains-Palalda[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Boule-d'Amont (2,2 km), Saint-Marsal (2,7 km), La Bastide (3,4 km), Calmeilles (4,2 km), Taulis (4,3 km), Caixas (5,3 km), Taillet (5,5 km), Casefabre (6,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Prunet-et-Belpuig fait partie de la région des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minuscule territoire roussillonnais tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[5].
Géologie et relief
Prunet-et-Belpuig se situe au cœur de l'unité hercynienne des Aspres, une unité géologique bien définie qui se compose des roches dures et anciennes datant d'environ 550 millions d'années à environ 350 millions d'années (c'est-à-dire des périodes géologiques de l'Édiacarien, du Cambrien, de l'Ordovicien, du Silurien et du Dévonien)[Carte 1],[Carte 2],[6].
Ces couches anciennes ont été déposées pour la plupart sous forme de sédiments dans des environnements marins parfois profonds et parfois peu profonds. Puis, à partir d'il y a environ 350 millions d'années, toutes ces formations ont été comprimées entre deux continents convergents, au cours de l'orogenèse hercynienne (ou varsique). Pendant cette période de formation d'une chaîne de montagnes, les couches ont été durcies et fortement déformées par des plissements et des failles. Elles ont également été soumises au métamorphisme, donnant un aspect schisteux à plusieurs de ces formations (comme le "schiste noir" (ampélite de l'Édiacarien) avec son affleurement distinctif au col Xatard[Carte 3]).
Ces roches anciennes comprenent, entre autres, des pélites (roches sédimentaires à grain fin métamorphosées), des marbres et des dolomies, des conglomérats et des quartzites. Ces roches sous-tendent aujourd'hui presque toute la commune.
Environ 200 millions d'années plus tard, à partir d'environ 65 millions d'années (Éocène), le bloc hercynien des Aspres s'est retrouvé dans la partie centrale d'une autre zone de construction de montagnes. C'était à l'époque où la plaque tectonique ibérique convergeait avec la plaque eurasienne au nord, provoquant ainsi l'émergence de la chaîne de montagnes pyrénéenne. Aujourd'hui, les Aspres, y compris la zone occupée par la commune de Prunet-et-Belpuig, se trouvent à l'extrémité orientale de la "zone axiale" des Pyrénées.
Parmi les caractéristiques géologiques notables de la commune de Prunet-et-Belpuig, on peut citer les suivantes :
1 - Le mont Helena, qui est situé dans la partie est de la commune et qui marque la limite entre les communes de Prunet-et-Belpuig et Caixas. Il culmine à 774 m d'altitude. Le plateau sommital est un affleurement de calcaires et de marbres du Dévonien moyen et inférieur, situé au-dessus de pentes taillées dans des schistes de l'Ordovicien. En , dans une fissure karstique du mont Helena fut découvert un gisement pliocène. Les fouilles ont exhumé quinze espèces de rongeurs, dont Occitanomys montheleni, nommée d'après ce site[8],[Carte 4].
2 - Montou, au sud et en face de mont Helena, qui est aussi un affleurement de calcaires et de marbres du Dévonien et qui culmine à 780 m d'altitude.
3 - Affleurements de "porphyrite des Aspres", à l'ouest de Mont Helena et de Montner. Cette lave ordovicienne (ryholite et rhyodacite) a été datée d'environ 450 millions d'années.[Carte 5], [9],[Note 2]
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10],[11].
Le relief est partout vallonné, et abrupt par endroits; mais à une altitude inférieure à 900 mètres. La topographie est typique des Aspres, c'est-à-dire un pays de collines avec des réseaux de vallées assez denses, profondément incisés.
L'altitude varie entre environ 350 mètres (à l'extrémités nord-ouest and sud-est de la commune, dans les vallées du Boulès et de l'Ample) et 857 mètres (sur un interfluve à l'ouest de Saint-Marsal).
Les parties ouest et nord de la commune se trouvent dans le bassin du Boulès, qui descend au nord, vers la vallée de la Têt. La partie sud-est de la commune se trouve dans le bassin de l'Ample, qui descend vers le sud, vers la vallée du Tech.
L'interfluve entre les bassins majeurs de la Têt et du Tech traverse donc la commune. Sur cet interfluve se trouvent certains cols de la route D618 (qui passe par Sant-Marsal vers le nord), dont le col d'en Xatard et le col d'en Fortó. En outre, les vestiges du château de Belpuig se trouvent sur une colline isolée sur cet interfluve, et de ce point, il y a des vues étendues sur les bassins du Boulès et de l'Ample, et vers les hauts plateaux de Mont Helena et Montner.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[12].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Baillestavy », sur la commune de Baillestavy, mise en service en 1972[17]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[18],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 850,7 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 27 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[21], à 15,7 °C pour 1981-2010[22], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[24] : les « massifs du Mont Hélène et du Montner » (327 ha), couvrant 3 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[24] : le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[26].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Prunet-et-Belpuig est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[27],[I 2],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), prairies (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Prunet-et-Belpuig est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[30],[31].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[33].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Prunet-et-Belpuig est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Prunet i Bellpuig[35]. Le nom de la commune est issu des noms de deux villages : Prunet d'une part, Belpuig de l'autre.
Prunet apparaît dans un texte de 869 sous la forme Prunetus. Ce mot est constitué du latin pruna (« prune ») auquel est accolé le suffixe collectif -etum, l'ensemble désignant un lieu où les pruniers sont nombreux[36].
Le mot Belpuig est une francisation du catalan Bellpuig. Ce lieu apparaît dans les textes dès 959, mais seulement sous la forme d'une référence à son église dédiée à Saint Pierre. Au XIIe siècle, un château est construit sur une hauteur dominant l'église. En 1241, il est nommé Pulchro Podio (du latin Podium qui désigne un sommet arrondi, et pulcher, « beau »). Les deux noms cohabitent, mais le « beau sommet » prend peu à peu le pas sur le nom de Saint Pierre, l'église étant renommée en église de la Trinité au cours du XVIIe siècle. Le nom est traduit en catalan : bell puig puis calqué sous cette forme en français, le double « ll » mouillé catalan étant remplacé par un « l » simple[36].
Politique et administration
Administration municipale
Le conseil municipal de Prunet-et-Belpuig a refusé, deux années consécutives, d’approuver les budgets primitifs de la commune et du centre communal d’action sociale.
À la suite de la saisine de la chambre régionale des comptes de Languedoc-Roussillon, ces budgets primitifs 2009 et 2010 ont été réglés par le préfet des Pyrénées-Orientales par arrêtés du et du .
En conséquence, le conseil municipal de Prunet-de-Belpuig a été dissous par décret du [37], paru au Journal Officiel le .
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Note :
- 1720 : Pour Prunet et Caixas, Belpuig étant compté avec Saint-Marsal ;
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2019, la commune comptait 48 habitants[Note 9], en diminution de 9,43 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
selon la population municipale des années : | 1968[45] | 1975[45] | 1982[45] | 1990[45] | 1999[45] | 2006[46] | 2009[47] | 2013[48] |
Rang de la commune dans le département | 195 | 207 | 203 | 200 | 196 | 200 | 200 | 206 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 7,3 % | 7,5 % | 19,4 % |
Département[I 6] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 31 personnes, parmi lesquelles on compte 64,5 % d'actifs (45,2 % ayant un emploi et 19,4 % de chômeurs) et 35,5 % d'inactifs[Note 10],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 7],[I 8]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 15, soit un indicateur de concentration d'emploi de 73,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,7 %[I 9].
Sur ces 15 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 67 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % les transports en commun et 13,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
4 établissements[Note 11] sont implantés à Prunet-et-Belpuig au [I 12]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (1 sur les 4 entreprises implantées à Prunet-et-Belpuig), contre 8,5 % au niveau départemental[I 13].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 6 | 3 | 6 | 4 |
SAU[Note 12] (ha) | 107 | 269 | 565 | 337 |
La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 8]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 337 ha[52],[Carte 9],[Carte 10].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Prunet-et-Belpuig a la particularité de ne pas posséder de monument aux morts sur son territoire[53].
- La chapelle de la Trinité, d'époque romane, qui abrite un splendide Christ roman du XIIe siècle. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1951[54].
- Château de Belpuig, construit au tournant du XIVe siècle par les vicomtes de Castelnou, dont les ruines dominent la chapelle de la Trinité.
- Église Saint-Étienne de Prunet, église romane. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 2004[55]. Une statue de la Vierge à L'Enfant est référencée dans la base Palissy[55].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- "Quant aux porphyrites des Aspres, elles ont servi en Roussillon à fabriquer des lames de haches pour les défrichements des débuts de l’agriculture, au Néolithique." Michel Martzluff, Les usages mal connus des roches volcaniques. Trachyte et basalte dans le bâti des Pyrénées catalanes. Archéo 66, Bulletin de l'AAPO (Association Archéologique des Pyrénées-Orientales), No. 33 2018, page 116.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
- Cartes
- Genna A. (2009) Carte géologique harmonisée du département des Pyrénées-Orientales. Notice technique, Rapport final, BRGM/RP-57032-FR, en particulier pages 417-8. http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-57032-FR.pdf.
- « Carte géologique » sur Géoportail. Avec notice explicative de la feuille Céret (1096) à 1/50 000 ("Notice de Céret"), BRGM Éditions, Orléans, 2015, ficheinfoterre.brgm.fr, consulté le 13 août 2021.
- "Notice de Céret", page 22.
- "Notice de Céret", page 28.
- "Notice de Céret", page 36.
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
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- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Prunet-et-Belpuig » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Prunet-et-Belpuig » (consulté le ).
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Autres sources
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- Stephan Georg, « Distance entre Prunet-et-Belpuig et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Prunet-et-Belpuig et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Prunet-et-Belpuig », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 179-180.
- Marc Calvet et Bernard Laumonier, Le bassin du Roussillon et son substratum hercynien. Excursion géologique de l'AGSO dans les Pyrénées-Orientales, 18-19 mai 2013 ("Excursion de l'AGSO"). Association des Géologues du Sud-Ouest, www.agso.net, consulté le 8 octobre 2021.
- "Excursion de l'AGSO", illustration page 18.
- Jean-Pierre Aguilar et Jacques Michaux, « Le gisement à micromammifères du Mont-Hélène (Pyrénées-orientales): apports à la connaissance de l'histoire des faunes et des environnements continentaux―Implications stratigraphiques pour le Pliocène du Sud de la France », Paléobiologie continentale, vol. 14, no 2, , p. 19-31. Voir aussi : https://palaeovertebrata.com/Articles/sendFile/255/published_article.
- "Excursion de l'AGSO", illustrations pages 18 et 30.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- « Risques prez de chez moi » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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