Saint-Marsal

Saint-Marsal est une commune française située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Saint-Marsalois. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret.

Saint-Marsal

Vue générale de Saint-Marsal (carte postale début XXe siècle)

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Vallespir
Maire
Mandat
Daniel Puigsegur
2020-2026
Code postal 66110
Code commune 66183
Démographie
Gentilé Saint-Marsalois, Saint-Marsaloises
Population
municipale
66 hab. (2019 )
Densité 4,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 32′ 15″ nord, 2° 37′ 13″ est
Altitude Min. 260 m
Max. 1 477 m
Superficie 15,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Marsal
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Marsal
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Saint-Marsal
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Marsal

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Boulès, l'Ample, la rivière de Saint-Marsal et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Marsal est une commune rurale qui compte 66 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 617 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Saint-Marsalois ou Saint-Marsaloises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Marsal se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 12 km de Céret[2], sous-préfecture, et à km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

    La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Amélie-les-Bains-Palalda[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Taulis (1,8 km), Prunet-et-Belpuig (2,7 km), La Bastide (2,8 km), Taillet (4,4 km), Calmeilles (4,6 km), Boule-d'Amont (4,7 km), Oms (6,2 km), Montbolo (6,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Marsal fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[5].

    Communes limitrophes de Saint-Marsal
    Prunet-et-Belpuig Calmeilles
    La Bastide Taillet
    Corsavy Taulis Montbolo
    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[6].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[7] : le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Marsal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[I 2],[10].

    La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La ligne 535 (La Bastide - Amélie-les-Bains) du réseau régional liO dessert la commune.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Marsal est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[12],[13].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Saint-Marsal.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[14].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[15]. . L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[16]

    Risque particulier

    La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[17].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Marsal est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[18].

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Sant Marçal[19].

    Histoire

    Le maquis de Saint-Marsal, créé en , comptait 25 Français et 60 Espagnols, pour la plupart arrivés en France lors de la Retirada[20].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Saint-Marsal est incluse dans le nouveau Canton d'Arles-sur-Tech[21]. Depuis les élections ayant suivi la réforme de 2014, elle fait partie du canton du Canigou.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Mathieu sobraques    
    1793 1795 Sébastien Just    
    1795 1815 Jacques Llabour    
    1815 1819 Cosme Romeu    
    1819 1826 Jacques Llabour    
    1826 1828 Antoine Figard    
    1828 1830 Bonaventure Sobraques    
    1830 1834 Emmanuel Faraill    
    1834 1840 Joseph Llabour    
    1840 1846 Jacques Barnedes    
    1846 1848 Jacques Llabour    
    1848 1851 Joseph Llence    
    1851 1855 Sébastien Lluance    
    1855 1865 Joseph Llabour    
    1865 1868 Jean Llopet    
    1868 1870 Antoine Sobraques    
    1870 1871 Jean Llopet    
    1871 1878 Antoine Sobraques    
    1878 1880 Pierre Pages    
    1880 1886 Abdon Male    
    1886 1890 Jacques Noell    
    1890 1891 Joseph Parayre    
    1891 1892 Sébastien Carbonne    
    1892 1909 Abdon Male    
    1909 1914 Henri Lluanci    
    1914 1919 François Ricard    
    1919 1925 Constant Coste    
    1925 1935 François Clopes    
    1935 1944 Constant costes    
    1944 1965 Michel Coste    
    1965 1983 Marcel Mayneris SFIO
    puis PS
    Instituteur (1925-1931), puis rédacteur de préfecture (1931-1962) révoqué entre 1940 et 1944
    1983 1984 Jean-Claude Batifol    
    1984 1989 Arnaud Martinez    
    1989 2001 Louis Puigsegur    
    mars 2001 mars 2008 René Coste[23] PCF  
    mars 2008 mars 2014 Marguerite Dagues[24]    
    mars 2014 En cours Louis Puigségur[25]   Retraité

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1470 1515 1553 1643 1709 1720 1730
    23 f20 f8 f11 f23 f30 f60 f85 f98 f
    1767 1774 1789 1790 - - - - -
    410 H100 f100 f92 f-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2019, la commune comptait 66 habitants[Note 4], en diminution de 29,03 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    457423538577608573603602617
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    554487515532518501490508439
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    444436407328284246232184164
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    135117108104778510110391
    2017 2019 - - - - - - -
    7166-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[30] 1975[30] 1982[30] 1990[30] 1999[30] 2006[31] 2009[32] 2013[33]
    Rang de la commune dans le département 150 167 170 173 178 179 180 185
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    • École primaire à classe unique[34]

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête communale : 1er dimanche d'août[35].

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]5,4 %8,2 %14,6 %
    Département[I 6]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 40 personnes, parmi lesquelles on compte 70,7 % d'actifs (56,1 % ayant un emploi et 14,6 % de chômeurs) et 29,3 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 29 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 22, soit un indicateur de concentration d'emploi de 92,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,6 %[I 9].

    Sur ces 22 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 70 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 39,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 26 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 34,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Secteurs d'activités

    8 établissements[Note 6] sont implantés à Saint-Marsal au [I 12]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Saint-Marsal), contre 14,3 % au niveau départemental[I 13].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations4234
    SAU[Note 7] (ha)635175661317

    La commune est dans les « Vallespir et Albères », une petite région agricole située dans le sud du département des Pyrénées-Orientales[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 317 ha[38],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Église Saint-Martial de Saint-Marsal
    • L'église Saint-Martial de Saint-Marsal domine le village. Elle est construite au XIIIe siècle. Effondrée en partie en 1920, elle est reconstruite en 1960. L'église a conservé un bénitier en marbre rouge daté par une inscription, en catalan, inscrite sur le pourtour de sa vasque : "Antoni Compta, rector de San Marsal, me he fet 1650" qui signifie "Antoni Compta, curé de Saint-Marsal, m'a fait en 1650". Elle a aussi gardé en son sein un Christ et sept statues récemment restaurées.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules aux deux perroquets rampants d’or adossés, la tête contournée, accompagnés de deux croisettes latines d’argent, une en chef et une en pointe.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Marsal » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Marsal » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Marsal » (consulté le ).
    10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Marsal » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Marsal et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Marsal et Céret », sur fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Marsal et Amélie-les-Bains-Palalda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Saint-Marsal », sur villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
    6. « Plan séisme » (consulté le ).
    7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Marsal », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF le « massif des Aspres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
    12. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
    13. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Marsal », sur Géorisques (consulté le )
    14. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    15. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Marsal », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    17. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 3 - chapitre Risque minier.
    18. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », (consulté le )
    19. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    20. René Grando, Jacques Queralt, Xavier Febrés, Camps du mépris : des chemins de l’exil à ceux de la Résistance (1939-1945). 500 000 républicains d’Espagne indésirables en France, Llibres del Trabucaire, Perpignan, 1991, 2e édition. (ISBN 2-905828-32-3), p. 154
    21. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    22. Liste des maires sur MairesGenWeb
    23. René Coste a parrainé la candidature de Daniel Gluckstein à l'élection présidentielle de 2002, cf.Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002 et celle d'Olivier Besancenot à l'élection présidentielle de 2007, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007.
    24. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    25. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    Voir aussi

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