Berneuil-en-Bray

Berneuil-en-Bray est une commune française située dans le département de l'Oise, dans le Pays de Bray picard, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Berneuil.

Berneuil-en-Bray

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CA du Beauvaisis
Maire
Mandat
Jacky Georges Victor Petit
2020-2026
Code postal 60390
Code commune 60063
Démographie
Population
municipale
787 hab. (2019 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 59″ nord, 2° 04′ 00″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 224 m
Superficie 15,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beauvais-2
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Berneuil-en-Bray
Géolocalisation sur la carte : France
Berneuil-en-Bray
Géolocalisation sur la carte : Oise
Berneuil-en-Bray
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Berneuil-en-Bray
Liens
Site web http://www.berneuil-en-bray.com/

    Géographie

    Description

    Ambiance de la commune : la place de la mairie.

    Berneuil-en-Bray, est un village périurbain picard du Beauvaisis, situé à 10 km au sud de Beauvais, 22 km au nord-est de Gisors et à 33 km au nord de Pontoise.

    Le territoire communal; dont l'altitude varie de 88 m à 224 m, et qui a une superficie de 15,15 km2, est tangenté au nord par le tracé de la route nationale 31. Les routes départementales RD 35 et RD 93 conduisent à Beauvais.

    La commune était décrite au milieu du XIXe siècle de la manière suivante : « Le village de Berneuil est bâti au pied de la grande falaise crayeuse, sur les pentes de petits coteaux entre lesquels le ruisseau qui porte le nom de la commune prend sa source[1] ».

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Berneuil-en-Bray
    Saint-Martin-le-Nœud Frocourt
    Auneuil Auteuil
    Villotran La Neuville-Garnier

    Hydrographie

    Le Ru de Berneuil.

    La commune est drainée par le Ru de Berneuil et la Serpentine, des affluents du Thérain et donc des sous-affluents de la Seine par l'Oise.

    Elle a été reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite des inondations et coulées de boue du 21 au [2]. .

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 741 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Berneuil-en-Bray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), prairies (32 %), forêts (20,1 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Les Hameaux de Berneuil-en-Bray sont : Vaux, Les Vivrots, Les Niards.

    Le hameau des Vicrots.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 360, alors qu'il était de 341 en 2013 et de 326 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 87,9 % étaient des résidences principales, 4,8 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,1 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Berneuil-en-Bray en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,8 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Berneuil-en-Bray en 2018.
    Typologie Berneuil-en-Bray[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 87,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,8 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 7,3 7,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Barnogilum au VIIe siècle[réf. nécessaire], Barnotum en 1147, Barnou et Batnou en 1163, Bernotum en 1210, Bernolium en 1245, Barnogum en 1292, Barnol en 1305, Barneu en 1373, Barneul en 1511, Barneuil en 1527, Berneul en 1530, Berneuil au XVIIIe siècle) pour en venir à la forme actuelle : Berneuil-en-Bray (depuis 1936, pour différencier cette commune de Berneuil-sur-Aisne dans l'Oise)[21].

    Histoire

    Louis Graves indiquait « Berneuil était au onzième siècle, un fort que le Roi Louis le-Gros fit détruire lorsqu'il prit d'assaut le château de Monchy, duquel dépendait alors celui - ci; les fortifications furent rétablies dans la suite par Enguerrand de Trie, et par Dreux seigneur de Monchy, son beau - père. Il n'en reste aucune trace aujourd'hui.
    La terre de Berneuil fut pendant plusieurs siècles, ainsi que celle de Frocourt, dans la maison de Dauvet dont on rapporte l'origine à Simon Dauvet, conseiller et chambellan du Roi Charles V. Nicolas Dauvet, comte des Marets , l'un de ses descendans, fut capitaine de Beauvais et grand fauconnier de France[1] ».

    En 1831, la commune disposait d'une école servant de mairie, d(un presbytère et de trois lavoirs. On y exploitait des sablonnières, des glaisières et deux moulins à eau[1].

    Politique et administration

    L'ancienne mairie-école.

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Auneuil[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Beauvais-2

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Berneuil-en-Bray était membre de la communauté de communes rurales du Beauvaisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération du Beauvaisis dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1789 1790 Pierre Oudaille    
    1790 1792 François Gaillard    
    1792 1793 Pierre Oudaille    
    Mai 1793 Juin 1793 Sulpice Gaillard    
    Juin 1793 1795 Jean-Nicolas Leroy    
    1795 1801 Pierre Oudaille    
    1801 1807 Pierre Oudaille    
    1807 1813 Auguste Patin    
    1813 1816 Jean-François Lefebure    
    1816 1826 Henri Garnier    
    1826 1830 Motte de Bizancourt    
    1830 1832 Auguste Patin    
    1832 1837 Jean-Pierre Lefevre    
    1837 1838 Pierre Gaillard    
    1838 1842 César Patin    
    1842 1846 Denis Dupuis    
    1846 1852 Jean Lefebure-Tribout    
    1852 1865 Auguste Gaillard    
    1865 1868 Prosper Gaillard    
    1868 1874 Antoine Dupuis    
    1874 1876 Côme Patin    
    1876 1878 Benjamin Gaillard    
    1878 1892 Noël Gaillard    
    1892 1919 Prosper Mercier    
    1919 1965 Gaston Leclerc    
    1965 1983 Maurice Gueulle    
    1983 1995 Christian Laouenan    
    1995 2014 Raymond Gueulle SE[23]  
    2014[24] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Jacky Petit   Réélu pour le mandat 2020-2026[25]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1791. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2019, la commune comptait 787 habitants[Note 7], en diminution de 1,01 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1791 1793 1800 1806 1821 1826 1831 1836 1841
    677764539701719719692690637
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
    615662694687704601588551557
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
    539503503441440393385397353
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
    377433414363385544650756780
    2011 2016 2019 - - - - - -
    788782787------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 400 hommes pour 382 femmes, soit un taux de 51,15 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    0,8 
    4,9 
    75-89 ans
    3,8 
    17,1 
    60-74 ans
    17,1 
    29,7 
    45-59 ans
    32,5 
    16,4 
    30-44 ans
    15,9 
    14,8 
    15-29 ans
    14,8 
    16,8 
    0-14 ans
    15,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château d'Auteuil, de style Louis XIII, a été édifié par la famille de Boucoumont au XVIe siècle et réhabilité au XIXe siècle par le comte Archambault de de Combault d’Auteuil. Cette demeure comprend cinquante pièces. Propriété privée, ce château ne se visite pas[31],[32].
    • Le mont Florentin culmine à 221 m. Ce site de 11 hectares de coteaux, géré par le Conservatoire des sites naturels des Hauts-de-France, est l'un des derniers larris du pays de Bray qui retrouve, quelques semaines en été, le pâturage des moutons qui a jadis façonné son paysage si caractéristique[réf. nécessaire]. On on y répertorie 172 espèces de fleurs, 39 d'insectes, 28 d'oiseaux, 5 de mammifères et un reptile[33].
    • Le lavoir, construit en 1841, est reconnaissable à sa double toiture en petites tuiles ; Il se trouve à la naissance d’une source, sur la place du village.
    • Le peuplier d’Italie planté le 11 novembre 1918 par une jeune fille de Berneuil, Ernestine Delpouve, a été classé arbre remarquable en 2017[34]
    • Les haras[35]
      • Le Haras d’Auteuil s’étend sur 30 hectares
      • Le Haras du Bois d’Argile, connu pour être un centre de soin pour les chevaux de haut niveau, est l'un des rares centres équestres en France à posséder une balnéothérapie pour les chevaux
      • Les Écuries du Val de Bray (La Perelle) pratiquent l'élevage des chevaux et autres équidés.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • M. Deladreue (l'abbé), « Berneuil : Notice historique et archéologique », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 12, , p. 457-511 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Berneuil-en-Bray », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Auneuil, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 114 p. (lire en ligne), p. 44-45, sur Google Books.
    2. Hugo Sergeant, « Inondations du 21 et 28 juin : des nouvelles communes reconnues en état de catastrophe naturelle dont Allonne et Berneuil », L'Observateur de Beauvais, (lire en ligne, consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Berneuil-en-Bray et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Pierre Borde, Si Berneuil m'était conté... : Berneuil au fil des siècles, Agir Ensemble, , 200 p., Pages 3 et 5.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 38.
    24. « J. C. Paillart réélu maire », L'Observateur de Beauvais, no 836, , p. 23 (ISSN 1287-7565).
    25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Berneuil-en-Bray (60063) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    31. Ivan Capecchi, « Depuis 15 ans, ils restaurent leur château de brique et d’ardoise dans l’Oise : Le couple a acheté le château d’Auteuil, situé à Berneuil-en-Bray, en 2003 et mène un travail titanesque et coûteux pour lui redonner son lustre d’antan », Le Parisien, édition de l'Oise, 1/4/2019 mis à jour le 11/4/2019 (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Le château d’Auteuil s’ouvre pour une nuit à Berneuil-en-Bray : Le château d’Auteuil participe le samedi 24 octobre à la seconde édition de « la nuit des châteaux », de 19 à 22 heures », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    33. « Berneuil-en-Bray », La commune, sur http://www.berneuil-en-bray.com (consulté le ).
    34. « Au cœur de nos villages », Beauvaisis – notre territoire, Le Magazine du Beauvaisis, (lire en ligne, consulté le )
    35. « Au cœur de nos villages », Beauvaisis – notre territoire, Le Magazine du Beauvaisis, (lire en ligne, consulté le )
    36. Nathalie Revenu, « Mouna Ayoub vend son château », Le Parisien, édition de l'Oise, 20/77/2002 (lire en ligne, consulté le ).
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