Biras

Biras (prononciation [bi.ʁɑ][1]) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles ayant des titres homophones, voir Bira.

Biras

Le village de Biras.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
Maire
Mandat
Jean-Michel Nadal
2020-2026
Code postal 24310
Code commune 24042
Démographie
Gentilé Biracois
Population
municipale
670 hab. (2019 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 15″ nord, 0° 38′ 19″ est
Altitude Min. 119 m
Max. 237 m
Superficie 19,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Biras
Géolocalisation sur la carte : France
Biras
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Biras
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Biras

    Géographie

    Généralités

    La commune de Biras est située dans la moitié nord du département de la Dordogne, en Périgord central.

    Dans un petit vallon à l'écart des routes principales, le bourg de Biras est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres à l'est de Lisle et neuf kilomètres au nord de Chancelade.

    Le territoire communal est desservi par les RD 106E1 et 939, cette dernière étant, entre Périgueux et Brantôme, le principal axe de la commune.

    En provenance au nord de la commune de Brantôme en Périgord (commune déléguée de Valeuil), le GR 36 traverse le territoire communal sur plus de cinq kilomètres, passe à proximité du château de la Côte et continue vers l'ouest et la commune de Bussac.

    Communes limitrophes

    Carte de Biras et des communes avoisinantes en 2018.

    Biras est limitrophe de quatre autres communes. Au sud, le lieu-dit le Poteau des Quatre Communes pourrait laisser supposer que Biras est aussi limitrophe de La Chapelle-Gonaguet, mais il s'en faut d'environ quatre-vingts mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Biras est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Biras.

    Relief et paysages

    Vue prise en direction du nord-ouest depuis le bourg de Biras.

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 119 m[6] à l'extrême ouest, au lieu-dit les Chaufours, là où le ruisseau qui prend sa source au bourg de Biras quitte la commune et entre sur celle de Bussac, et 237 m[6] à l'est, au lieu-dit le Grand Claud[7],[8].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,43 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,78 km2[4].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Biras.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Valade et par divers petits cours d'eau, affluents de la Donzelle, elle-même affluent de la Dronne, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[16],[17].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 971 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[26] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 50 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Biras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[36],[37].

    Occupation des sols

    En 2006, au niveau communal, les sols se répartissaient de la façon suivante : 51,3 % de territoires agricoles et 48,3 % de forêts ou de milieux semi-naturels[38].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Biras proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[39] :

    • Banet
    • les Barrières
    • Beaupied
    • le Bigas
    • Bois de la Vergne
    • Bourliou
    • les Bouyges
    • le Brouillaud
    • les Brugeauds
    • Bruneties
    • la Burnie
    • les Chaufours
    • la Cloche
    • le Cluzeau Bas
    • le Cluzeau Haut
    • la Côte
    • la Courbille
    • la Courelie
    • Fontanaud
    • la Fouillarge
    • la Gare
    • le Grand Clos
    • les Granges
    • la Guibaudie
    • Jamaud
    • les Jartes
    • Lagerie
    • Lescure
    • la Loube
    • le Maine
    • le Maine[Note 9]
    • les Marouneaux
    • le Mas
    • le Meynassé
    • les Mièdres
    • le Montet
    • les Moulineaux
    • la Pacalie
    • les Palissous
    • la Petite Burnie
    • le Poteau des Quatre Communes
    • Précéger
    • Puyloriol
    • le Puy-Mas
    • Rama
    • le Roc
    • Rossignol
    • les Signettes
    • Termon
    • le Treuil
    • le Varachou
    • les Volves.

    Toponymie

    Les formes anciennes de la localité sont : Beiras 1211[40],[41], Biaras, Biras XIIIe siècle[40],[41], Byras 1364[40], Biras 1757[42].

    Pour Ernest Nègre, l'étymologie de ce toponyme est expliquable par un hydronyme préceltique *berr- + suffixe romain --aceum, qui désigne d'abord le ruisseau puis le village, puisque le village est à la naissance d'un sous-affluent de la Dronne par la Donzelle. Pour d'autres, le toponyme provient du nom gallo-romain Biracius[1]. Une autre hypothèse pourrait le faire venir du gaulois birros « court » qui a donné le latin birrus « sorte de petite cape » et est à l'origine du français béret[43]. Le patronage de l'église à saint Cloud pourrait suggérer une possible origine mérovingienne avec la racine Ber, Per « ours », la forme Bero est attestée au VIe siècle[44]. L'absence de formes antérieures au XIIIe siècle ne permet pas d'aller plus loin et réclame une grand prudence.

    En occitan, la commune porte le nom de Biràs, prononcé localement [biːˈrɒ] ou [biˈra][1].

    Histoire

    L'église de Biras a été bâtie au XIIe siècle et profondément modifiée après la guerre de Cent Ans[45]. Au Moyen Âge, Biras était une paroisse dépendant de la châtellenie de Bourdeilles[46].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Biras a été rattachée, dès 1790, au canton de Lisle qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton de Lisle en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[6].

    En 2017, Biras est rattachée à l'arrondissement de Nontron[47],[48] et en 2020 le canton de Brantôme est renommé canton de Brantôme en Périgord.

    Intercommunalité

    Le , la commune adhère à la communauté de communes du Brantômois. Celle-ci disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : la communauté de communes Dronne et Belle.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].

    Liste des maires

    L'agence postale et la mairie en 2020.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    31 octobre 1790 20 novembre 1791 Urbain François Feytaud   Curé-maire
    20 novembre 1791 1796 Pierre Mazeaud   Tisserand
    1796 1819 Jean Baptiste Boussarie du Chatenet    
    1819 1821 Manem de la Plansonnie   Administrateur provisoire
    1821 1826 Jean Jacques Rousseau Lafarge   Agriculteur
    1826 1833 Jean Baptiste Faucher   Sous-lieutenant
    1833 1836 Guillaume Bourgoint Lagrange   Agriculteur
    1836 1844 Jean Chaumel du Planchat[Note 10]    
    1844 1846 Guillaume Bourgoint Lagrange   Agriculteur
    1846 1848 Chaumel du Planchat    
    1848 1859 Jean Dauriac   Marchand de bestiaux
    1859 1870 Jean Léon Blois   Marchand de vins
    1871 1881 Front Faye   Agriculteur
    1881 mai 1888 Antoine Fargeot   Marchand de bestiaux
    mai 1888 1942 (Charles) Georges Dethan   Ingénieur agricole
    1942 novembre 1944 Maurice Aymard    
    novembre 1944 octobre 1947 Louis Rebière    
    octobre 1947 mars 1959 Noé (Geoffroy) Nadal   Agriculteur
    mars 1959   Joseph Lançon   Médecin
      mars 1989 Léonce (Pierre) Séchère   Marchand de bestiaux
    mars 1989 mars 2001 René (Pierre) Nadal   Agriculteur
    mars 2001 mai 2020 Claude Séchère SE[51] Marchand de bestiaux retraité
    mai 2020 En cours Jean-Michel Nadal    

    Juridictions

    Dans les domaines judiciaire et administratif, Biras relève[52] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Biras se nomment les Biracois[53].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

    En 2019, la commune comptait 670 habitants[Note 11], en augmentation de 7,03 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    771769824871890842809773768
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    764747770746753746715680659
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    642647643572552539510473424
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    370344343354372362493531626
    2018 2019 - - - - - - -
    664670-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête patronale du village se tient chaque année lors d'un week-end début septembre, pour la Saint-Cloud[57].

    Économie

    Emploi

    En 2016[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 347 personnes, soit 52,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (31) a augmenté par rapport à 2011 (20) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-huit établissements[59], dont seize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, treize dans la construction, douze au niveau des commerces, transports ou services, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[60].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Patrimoine religieux

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Deux lieux-dits du même nom, situés, l'un au nord-est du bourg, l'autre à l'extrême sud, entre la Burnie et la Loube.
    10. En 1842-1843, Jean Chaumel du Planchat est administrateur provisoire de la commune voisine de Sencenac-Puy-de-Fourches
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )

    Références

    1. « Le nom occitan des communes du Périgord - Biràs » sur le site du conseil général de la Dordogne, consulté le 28 septembre 2021.
    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Biras » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    4. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Biras », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. « 237 » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022)..
    8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Biras », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    16. « Fiche communale de Biras », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    17. « Réseau hydrographique de Biras » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    18. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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    28. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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