Blaincourt-lès-Précy

Blaincourt-lès-Précy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Blaincourtois.

Pour les articles homonymes, voir Blaincourt-sur-Aube et Précy (homonymie).

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Blincourt.

Blaincourt-lès-Précy

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC Thelloise
Maire
Mandat
Patrick Corbel
2020-2026
Code postal 60460
Code commune 60074
Démographie
Population
municipale
1 185 hab. (2019 )
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 25″ nord, 2° 21′ 26″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 150 m
Superficie 8,13 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Creil
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montataire
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Blaincourt-lès-Précy
Géolocalisation sur la carte : France
Blaincourt-lès-Précy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Blaincourt-lès-Précy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Blaincourt-lès-Précy
Liens
Site web https://www.blaincourtlesprecy.fr/

    Géographie

    Description

    Ambiance du village : la rue Madeleine-Hobigand.

    Précy-sur-Oise est un bourg périurbain de la rive droite de l'Oise situé à 10 km au sud-ouest de Creil, 41 km au nord de Paris et à 28 km au sud-est de Beauvais.

    La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Précy-sur-Oise desservie par les trains du réseau Paris-Nord du Transilien, mais la gare de Creil est mieux desservie Le village est desservi par le sentier de grande randonnée GR1a

    Au début du XIXe siècle la commune était présentée comme située «dans une vallée .étroite courant du nord-ouest au sud-est, et recevant dans les grandes pluies les eaux des .coteaux de. droite . et gauche qui inondent les terres labourables et des maisons[1] ».

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 713 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senlis », sur la commune de Senlis, mise en service en 1959[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 724,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 29 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Blaincourt-lès-Précy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Creil, une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes[18] et 123 989 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,5 %), terres arables (39,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), zones urbanisées (7,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 499, alors qu'il était de 492 en 2013 et de 477 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 93,8 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,6 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Blaincourt-lès-Précy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Blaincourt-lès-Précy en 2018.
    Typologie Blaincourt-lès-Précy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 93,8 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 4,5 7,1 8,2

    Toponymie

    La dénomination de la commune a changé de Blaincourt à Blaincourt-lès-Précy en 1992[25].

    Histoire

    Louis Graves indique en 1831 que « Blainçaurt ne fut longtems qu'un secours ou vicariat dépendant de. Précy-sur-Oise ; dans le XVIIIe siècle elle devint une paroisse à laquelle présentait le prieur de Saint-Leu[1] ».

    A cette même date, la commune n'était propriétaire que d'un petit presbytère et l'on y notait une exploitation de grès assez considérable ainsi que plusieurs carrières. La population était essentiellement agricole[1] ».

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Creil. Celui-ci est alors scindé, et la commune rattachée au canton de Montataire[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont dépend toujours la commune, est modifié et s'étend, regroupant désormais 15 communes.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes la Ruraloise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé au [27] et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales,. Cette intercommunalité a pris la suite du SIVOM de Villers.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[29],[30].

    La nouvelle communauté de communes Thelloise, dont est membre la commune est ainsi créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [31].

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération de la France[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1951 Jean-Baptiste Buiron    
    1951 1965 Ferdinand Hobigand    
    1965 1971 Noël Chartrel    
    1971 1980 Germain Van Haecke    
    1980 1986 Charles Starnini    
    1986 1989 Pierre Raynaud    
    1989 1995 Nicolas Mouravtzeff    
    1995 2001 Michel Danger    
    2001 2008 Didier Peltot DVG [33]  
    2008 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Patrick Corbel LR Réélu pour le mandat 2020-2026[34],[35]

    Équipements et services publics

    Santé

    La municipalité crée en 2016/2017 une maison de santé destinée à accueillir deux médecins généralistes, deux kinési-thérapeutes, deux infirmières et un pédiatre à temps partiel, dans une ancienne chèvrerie située près de l'église[36].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2019, la commune comptait 1 185 habitants[Note 8], en diminution de 1 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    536527562529510479472482457
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    455432413418381358359326328
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    320309335325323343336310330
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    3544385228891 2531 1581 2151 2291 193
    2014 2019 - - - - - - -
    1 1981 185-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 580 hommes pour 607 femmes, soit un taux de 51,14 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    0,8 
    5,0 
    75-89 ans
    5,4 
    18,5 
    60-74 ans
    18,5 
    25,4 
    45-59 ans
    23,6 
    18,0 
    30-44 ans
    20,3 
    13,8 
    15-29 ans
    11,4 
    19,2 
    0-14 ans
    20,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie

    En 2015, la commune ne compte plus qu'un seul commerce de proximité, le New Morning, permet de se restaurer vite et pas cher, sur place ou à emporter[42].

    Culture locale et monuments

    Lieux et monuments

    Église de la Nativité-de-Notre-Dame.

    Blaincourt-lès-Précy compte un monument historique sur son territoire :

    C'est un édifice très homogène du milieu du XVIe siècle, extérieurement très sobre et sans intérêt particulier, et flanqué devant la première travée du sud par un clocher-tour de 1781. Le portail occidental est précédé par un porche, constitué d'un toit sur une charpente en carène renversé, qui s'appuie à l'ouest sur deux piliers cylindriques. Sinon, l'extérieur est marqué par des contreforts qui se terminent par un glacis et qui sont scandés horizontalement par un larmier qui court tout autour au niveau du seuil des fenêtres, ainsi que par les fenêtres au réseau gothique flamboyant. Le dossier de protection les associe au XVe siècle, datation qui suggère deux campagnes de construction différentes et que Dominique Vermand ne reprend pas. L'intérieur de l'église s'organise en trois vaisseaux de cinq travées chacun, voûtés à la même hauteur et se terminant par un chevet plat. Le vaisseau central est un peu plus large que les autres, et communique avec ses collatéraux par des arcades largement ouvertes qui se confondent avec les doubleaux des voûtes. Ces arcades, ainsi que les ogives des voûtes, retombent sur les tailloirs de minces piliers isolés, auxquels répondent des demi-piliers engagés dans les murs. Le profil des voûtes et des doubleaux est encore en tiers-point, et les nervures ne sont pas pénétrantes contrairement à la règle à la période flamboyante, mais les chapiteaux sont entièrement absents. Dans son ensemble, l'intérieur de l'église de la Nativité est élégant et paraît d'une grande légèreté, et n'est pas sans rappeler certaines cryptes gothiques[44],[45].

    On peut également noter :

    Héraldique

    Blason
    D'argent,à la bordure d'azur et à l'ecusson de gueules aux huit merlettes cousues de sable ordonnées en orle.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Creil, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardin, (lire en ligne), p. 252-253 sur Google Books.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Senlis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Blaincourt-lès-Précy et Senlis », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Senlis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Blaincourt-lès-Précy et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Creil », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Décret du 5 août 1992 portant changement de noms de communes sur Légifrance.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. « Accueillir d'autres villes obligerait à doubler les impôts » : Jacques Pinsson président de la Ruraloise », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    29. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    30. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    31. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
    32. « Les maires de Blaincourt-lès-Précy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    33. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 41.
    34. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Blaincourt-lès-Précy », Cartes de France (consulté le ).
    35. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    36. « Blaincourt-lès-Précy : l'ancienne chèvrerie attend des médecins généralistes », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Blaincourt-lès-Précy (60074) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    42. « Le Good Morning à Blaincourt-lès-Précy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    43. Notice no PA00114531, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Montataire, Vallées de l'Oise et du Thérain, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours des communes du canton et l'O.T.S.I. de Saint-Leu-d'Esserent, ca. 1998, 24 p., p. 6.
    45. Dominique Vermand, « Blaincourt-les-Précy, église Notre-Dame de la Nativité : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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