Bonneuil-les-Eaux

Bonneuil-les-Eaux est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Bonneuil-les-Eaux

La mairie-école
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Nicole Cordier
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60082
Démographie
Gentilé Bonneuillois, Bonneuilloises
Population
municipale
790 hab. (2019 )
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 43″ nord, 2° 14′ 10″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 172 m
Superficie 18,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bonneuil-les-Eaux
Géolocalisation sur la carte : France
Bonneuil-les-Eaux
Géolocalisation sur la carte : Oise
Bonneuil-les-Eaux
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bonneuil-les-Eaux
Liens
Site web www.bonneuil-les-eaux.fr/

    Ses habitants sont appelés les Bonneuillois et les Bonneuilloises.

    Géographie

    Description

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Bonneuil-les -Eaux est un village rural du Plateau picard, situé entre les vallées de la Selle et de la Noye.

    La commune est située entre Beauvais et Amiens, aux confins de l'Oise et de la Somme, et est accessible par la sortie  16 de l'autoroute A16 ou la route nationale 1.

    En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[1].

    On décrivait le territoire communal en 1843 comme constitué d'un « plateau dont les pentes sont découpées en ravins el boisées en partie[2] ».

    Communes voisines

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 752 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    La rue de la Ville.

    Typologie

    Bonneuil-les-Eaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,8 %), zones urbanisées (3,8 %), forêts (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Hameaux et écarts

    • La Folie
    • La ferme de Montplaisir

    Toponymie

    Le lieu était désigné par les dénominations de Bonoglium, Nonioilum, Bonglium, Bonnoit, Bonnuel, Bonneuil-le-Plessis[23].

    Histoire

    Un vicus gallo-romain occupait le site, traversé par une voie romaine reliant Beauvais à Amiens[2].

    La seigneurie appartenait au IXe siècle au comte d'Amiens et passa par mariage au comte de Clermont au XIIe siècle.

    Bonneuil possède un riche passé historique. Cette petite commune rurale abrite une magnifique église à la géométrie assez particulière. À côté de celle-ci, se trouvent les vestiges d'un prieuré. Au cœur du village se dresse également une motte féodale du XIe siècle, très bien conservée et qui fait l'objet de nombreuses études[24].

    Le pape Léon III confirme la fondation de l'abbaye Notre-Dame, proche de la motte féodale.

    Louis Graves indiquait « Ce lieu devint ensuite le centre d'une des quatre châtellenies du comté de Breteuil, et passa au douzième siècle dans le comté de Clermont pur le maringe de Raoul I comte de Clermont, avec Alix fille de Valeran seigneur cle Breteuil. Les comtes y avaient un château dont il est question dans une charte de 1118, concernant une donation faite par Valeran à l'abbaye de Saint-Quentin de Beauvais.
    Les rois en détachèrent sans doute quelque chose , car en 1218 Philippe-Auguste donna en fief à Robert de la Tournel!e, ce qui lui appartenait à Bonneuil, en considération de la cession de ses droits sur le comté de Clermont.
    Louis XII avait accordé à ce bourg devenu considérable par le passage de l'ancienne route de Picardie, l’établissement d'un marché, pour la confirmation duquel Catherine de Médicis, comtesse de Clermont, obtint ou mois de septembre 1536 des lettres-patentes du roi Charles IX.
    La châtellenie fut engagée en 1569 avec le comté de Clermont au duc de Brunswick; mais au mois de mai 1688, lors du partage de la succession d'Anne de Montafié veuve du comte de Soissons, cette seigneurie fut distraite du comté et donnée à Marie d'Orléans, duchesse de Nemours, petite fille du comte. Celle-ci mourut en 1707 après avoir disposé de Bonneuil en faveur de Henri Louis de Bourbon , fils naturel de Louis de Bourbon comte de Soissons son oncle. Ln terre vint ensuite à la fille de ce dernier qui épousa ie duc de Luynes et de Chevreuse[2] ».

    Le village a souffert de la peste en 1668 et fut en partie dévasté par plusieurs incendies. De nombreuses muches issues de l'activité d'extraction de calcaire minent le village.

    La commune, instituée par la Révolution française, a absorbé de 1825 à 1835 celle de Gouy-les-Groseillers[25]

    L'ancienne usine de velours est aujourd'hui reconvertie.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Breteuil[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[27], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[28].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[29], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Jean Lefèvre[31] DVD Commercial
    mars 2008 En cours
    (au 29 novembre 2020)
    Nicole Cordier DVD Retraitée de l'éducation nationale
    Conseillère départementale de Saint-Just-en-Chaussée (2015 → )
    Vice-présidente de la CC Vallées de la Brèche et de la Noye (2014 → 2016)
    Vice-présidente de la communauté de communes de l'Oise picarde (2017 → 2020)
    Réélue pour le mandat 2020-2026[32],[33]
    Suppléante du député LR Victor Habert-Dassault

    Politique de développement durable

    La commune se dote en 2017-2019 d'un réseau d'assainissement des eaux usées, envisagé de longue date[34],[35]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune se dote d'un nouveau bâtiment pour le périscolaire en 2020/2021, construit en continuité du bâtiment de la mairie-école[36],[37]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2019, la commune comptait 790 habitants[Note 8], en diminution de 3,78 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1451 2291 1461 2381 2731 1981 1651 1641 173
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1661 1371 0991 026952804830819853
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    848846857716719697613639636
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    658672686694745751797810821
    2018 2019 - - - - - - -
    796790-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 386 hommes pour 410 femmes, soit un taux de 51,51 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    1,0 
    6,0 
    75-89 ans
    6,8 
    21,8 
    60-74 ans
    18,5 
    20,2 
    45-59 ans
    18,3 
    17,9 
    30-44 ans
    19,5 
    16,3 
    15-29 ans
    12,2 
    17,9 
    0-14 ans
    23,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Économie

    Le village est le siège du fabricant d'accessoires de tennis de table, Cornilleau, créé en 1946 dans la commune et qui serait le leader mondial du secteur[43],[44],[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Nicolas, fondée en tant qu’église du prieuré cure, au début du XIIe siècle par l’abbé de Breteuil Guillaume II. Elle dotée de trois chœurs et d'une nef du XVIe siècle.
      L'un des chœurs, celui du prieuré, est dédié à Saint Nicolas, le second , datant du XVIe siècle est dédié à Saint Joseph, et le troisième, paroissial est consacré à Notre-Dame[46],[47].
      Le faux transept, de style Renaissance, et la rose datent de 1570. Le clocher à tour carrée date du XIIIe siècle. L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1997[48].
      Le coq du clocher a été restauré et béni à nouveau en février 2021[49]
    • Vestiges du prieuré Saint-Nicolas : Il est parfois qualifié d'abbaye. Une porte du XVIe siècle accole le mur du cimetière entourant l'église Saint-Nicolas. Ce porche fait l'objet d'une inscription au titre monuments historiques depuis 1998[50].
    • Motte féodale : Mesurant de 30 m de haut, elle est aujourd'hui le seul élément subsistant de l'ancien château. Le site, dont la mise en valeur a commencé depuis peu d'années (élagage et fauchage), a commencé à être fouillé en 2007.
    • Chapelle Saint-Roch : Construite en 1733 en mémoire de l'épidémie de peste qui affecta le village de 1668 à 1669, elle se trouve dans le cimetière communal. Les pestiférés étaient isolés dans une rue fermée par une barrière et qui porte aujourd'hui le nom de « rue de la Barre ». La chapelle est le lieu d'un pèlerinage annuel célébré en souvenir de ce fléau et au dévouement de Nicolas Choart de Buzenval, évêque de Beauvais.
    • Ancienne usine de velours, rue de l'Usine

    La fanfare

    La fanfare de Bonneuil-les-Eaux, créée en 1842 par l’instituteur du village, Jean-Louis Piat, est la plus ancienne association de la commune avec ses 175 ans en 2017[51],[52].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 40-44.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bonneuil-les-Eaux et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bonneuil-les-Eaux et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Hebdomadaire Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers du .
    24. Didier Quenehen, « Le site castral de Bonneuil-les-Eaux (Oise) », Revue archéologique de Picardie, nos 1-2, , p. 109-118 (ISSN 2104-3914, DOI https://doi.org/10.3406/pica.2005.2414, lire en ligne, consulté le ), sur Persée.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    27. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    28. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    29. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    30. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    31. S. G., « Bonneuil-les-Eaux : Disparition - Jean Lefèvre, ancien maire », Le Bonhomme picard, no 3136, , p. 19.
    32. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 19.
    33. Sylvie Godin, « Bonneuil-les-Eaux : un nouveau mandat pour Nicole Cordier », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ).
    34. Jean-Claude Crépin, « L’assainissement de Bonneuil-les-Eaux, c’est parti : Le chantier, attendu depuis une douzaine d’années, va commencer. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    35. « La station d’épuration de Bonneuil-les-Eaux inaugurée : Les foyers sont raccordés porgressivement au nouvel équipement, qui utilise des roseaux pour filtrer l’eau », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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    43. « Cornilleau, leader du tennis de table », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    44. Sylvie Godin, « Le Made in Picardie s'exporte bien : Cornilleau, leader européen de la table de ping-pong : L'entreprise créée en 1946 n'a jamais quitté Bonneuil-les-Eaux, d'où partent des tables de ping-pong livrées dans 80 pays. Prochain objectif : conquérir les USA. », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3432, , p. 40.
    45. Carlos Da Silva, « Le Made in France booste l’activité de Cornilleau à Bonneuil-les-Eaux : Le leader mondial de la table de ping-pong a enregistré une hausse de ses ventes supérieure à 20 % en 2020 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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    48. « église Saint-Nicolas », notice no PA60000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Le coq du clocher de Bonneuil-les-Eaux béni comme il y a 44 ans : Les fidèles se sont réunis dans l’église Saint-Nicolas de Bonneuil-les-Eaux, tout en respectant les gestes barrières », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    50. « Prieuré Saint-Nicolas », notice no PA60000013, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « La fanfare de Bonneuil résonne depuis 1842 », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3477, , p. 18.
    52. « La fanfare de Bonneuil a fêté ses 175 ans : Plusieurs de ses membres ont été également récompensés pour leur longévité musicale », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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