Rouvroy-les-Merles

Rouvroy-les-Merles est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. C'est l'une des moins peuplées du département[1].

Pour les articles homonymes, voir Rouvroy et Merles (homonymie).

Rouvroy-les-Merles
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Maurice Meulin
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60555
Démographie
Gentilé Rouvroysiens, Rouvroysiennes
Population
municipale
53 hab. (2019 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 55″ nord, 2° 21′ 31″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 113 m
Superficie 4,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rouvroy-les-Merles
Géolocalisation sur la carte : France
Rouvroy-les-Merles
Géolocalisation sur la carte : Oise
Rouvroy-les-Merles
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Rouvroy-les-Merles
Liens
Site web http://www.rouvroy-les-merles.fr/

    Ses habitants sont appelés les Rouvroysiens et les Rouvroysiennes.

    Géographie

    Localisation

    Rouvroy-les-Merles est un village rural picard du département de l'Oise, limitrophe de celui de la Somme, situé à 15 km à l'ouest de Montdidier, 33 km au nord-est de Beauvais et 28 km au sud d'Amiens.

    Il est aisément accessible par l'ancienne RN 30 (actuelle RD 930).

    La ligne de Paris-Nord à Lille traverse le territoire communal, mais la gare la plus proche est celle de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Rouvroy-les-Merles
    Paillart Folleville
    Somme
    Quiry-le-Sec
    Somme
    Breteuil Rocquencourt
    Tartigny

    Hydrographie

    La commune est drainée par la rivière de Rouvroy , sous-affluent du fleuve côtier la Somme par la Noye et l'Avre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 667 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1989 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records ROUVROY-LES-MERLES (60) - alt : 94 m 49° 39′ 00″ N, 2° 22′ 12″ E
    Statistiques établies sur la période 1989-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1989 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 2,6 3,8 7,3 9,6 11,8 11,8 9,4 7,1 3,7 1,1 5,9
    Température moyenne (°C) 3,8 4,5 7 9,2 13 15,6 18,1 18,2 14,9 11,3 6,9 3,7 10,5
    Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,8 11,5 14,5 18,7 21,6 24,4 24,5 20,4 15,6 10 6,2 15,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −18,6
    07.01.09
    −12,9
    07.02.12
    −11,5
    13.03.13
    −6,6
    07.04.21
    −3,2
    03.05.21
    −2
    05.06.1991
    2,3
    04.07.1990
    2,1
    08.08.1990
    −1,3
    30.09.18
    −6,2
    28.10.03
    −10,8
    24.11.1998
    −17,2
    18.12.10
    −18,6
    2009
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,2
    27.01.03
    20
    24.02.1990
    24,3
    31.03.21
    27,1
    19.04.18
    30,8
    27.05.05
    35,9
    27.06.11
    41,5
    25.07.19
    39,7
    06.08.03
    34,3
    15.09.20
    29,2
    01.10.11
    20,1
    01.11.14
    17
    07.12.00
    41,5
    2019
    Précipitations (mm) 52,5 47,6 47,8 50,3 52 55,3 58,8 57,6 50,1 59 58 67,1 656,1
    Source : « Fiche 60555002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Rouvroy-les-Merles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), forêts (13,1 %), prairies (10,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Rouvroy devraitt son nom au chêne rouvre[1], qui y était sans doute fréquent.

    Histoire

    La commune, institué lors de la Révolution française a fugacement absorbé entre 1825 et 1833 celle de Tartigny[16].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[17], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[18], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[19].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[20], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [21].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989[22] 2014 Michel Guilluy[1]   Agriculteur
    2014 En cours
    (au 22 janvier 2020[23])
    Maurice Meulin   Agent de maîtrise à l'UTD de Saint-Just

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2019, la commune comptait 53 habitants[Note 5], en augmentation de 12,77 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    96116127107111142166181166
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    14894111161135147144150147
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    93128127138180183178166224
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    2059873564572475553
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 14,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 26 hommes pour 28 femmes, soit un taux de 51,85 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    3,8 
    90 ou +
    3,4 
    3,8 
    75-89 ans
    10,3 
    3,8 
    60-74 ans
    3,4 
    23,1 
    45-59 ans
    17,2 
    23,1 
    30-44 ans
    24,1 
    23,1 
    15-29 ans
    13,8 
    19,2 
    0-14 ans
    27,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolariés à l'école de Paillart[29].

    Le village disposait d'un centre de formation professionnelle agricole[1], fermé depuis 2009 à la suite de sérieux problèmes financiers. Cette structure a été acquise par l'association Terre de liens qui y a facilité l'implantation de deux fermiers-boulangers[30].

    Associations

    L'association Repères[31], installée à Rouvroy-les-Merles, a pu récupérer un imposant télescope, le plus grand télescope de France à appartenir à une association d'astronomes amateurs[32],[33]

    Manifestations culturelles et festivités

    En , 300 lycéens de France se sont réunis à Rouvroy-les-Merles à l'initiative du mouvement rural de la jeunesse chrétienne (MRJC) autour d'animations, de jeux, de concerts et de réflexions sur le monde et la société[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ancien prieuré Saint-Nicolas de Merle : il s'agit des restes du prieuré de l'abbaye Notre-Dame de Breteuil. L'édifice a été transformé avant 1927[35] en ferme-école de l'Assistance publique[36]. Le centre de formation agricole a fermé en 2009 à la suite de sérieux problèmes financiers, et le corps de ferme ainsi que 17 hectares de terrain ont été vendus par le département à l'association Terre de Liens en vue de l'installation de Edwin et Ewan Delasalle, deux frères fermiers-boulangers[37]. Le reste du domaine agricole a été cédé par le département à la SAFER en 2012[38].
      Reconstruit en brique, il abrite une chapelle.
    • Église Saint-Nicolas : le chœur, en pierre est plus élevé que la nef, en brique. Le clocher est couvert d'ardoise[39].
    • Chapelle, dans le cimetière attenant au prieuré de Merle.
    • Croix, à l'angle de la rue de Breteuil et du château.
    • Monument aux morts.
    • Trois arbres matérialisent la méridienne verte[1].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Jean-Luc Rechsteiner, « Rouvroy, la secrète », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Michel Guilluy, maire depuis 1989, a succédé à sa mère qui avait administré la commune pendant quarante-deux ans. ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Fiche du Poste 60555002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    18. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    19. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    20. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    21. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    22. « Les derniers vœux du Sivom », Le Courrier picard, (lire en ligne) « Michel Guilluy, élu de Rouvroy-les-Merles depuis 1989 et maire durant 25 ans (médaille d'argent), cède sa place ».
    23. « Maurice Meulin brigue une second mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3585, , p. 11 « Maurice Meulin, 60 ans, a fait deux mandats comme premier adjoint et un mandat comme conseiller municipal avant d'être élu maire il y a six ans ».
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rouvroy-les-Merles (60555) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    29. « Écoles », sur http://www.rouvroy-les-merles.fr (consulté le ).
    30. P. C., « Rouvroy-les-Merles : les fermiers-boulangers n’auront pas à déménager », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    31. [www.reperes-astro.fr Site de l'association Repères].
    32. « Le plus gros télescope amateur de France est à Rouvroy-les-Merles : Bernard Christophe, un passionné d’astronomie, a fait don à Repères de son télescope « maison ». », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    33. Vincent Gautronneau, « Rouvroy-les-Merles : un télescope géant pour faire découvrir les étoiles : Après avoir remis en état cet impressionnant équipement, les membres de l’association Repères veulent faire découvrir les étoiles au plus grand nombre. », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Rouvroy-les-Merles : 300 jeunes lycéens refont le monde », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    35. « Dans la région parisienne », Le Petit Parisien : journal quotidien du soir, , p. 3 (lire en ligne) « Le conseil général s'est réuni à la préfecture en session extraordinaire. Il a décidé l'agrandissement de la ferme-école de Rouvroy-les-Merles, la construction d'un hôpital sanatorium à Beauvais pour tuberculeux, la création d'une école ménagère et d'une colonie de vacances pour fillettes dans les anciennes casernes de cavalerie de Noyon » sur Gallica.
    36. Jacques Dumont de Montroy, Les Bazin du Mesnil-Saint-Firmin et leurs œuvres : : l'orphelinat du Mesnil, la ferme-école de Rouvroy-les-Merles, 1823-1995, Chez l'auteur, , 71 p..
    37. P. C., « Rouvroy-les-Merles : les fermiers-boulangers n’auront pas à déménager », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    38. Ilham Hajji-Fiacre, « L’association Handi aide en colère après le département », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « En 1853, Gabriel Boniface Bazin, un riche entrepreneur de la région, crée un orphelinat et une « colonie agricole » qu’il offre en donation à une congrégation religieuse qui s’engage en contrepartie à poursuivre son « œuvre d’assistance ». Après la loi sur la séparation des biens de l’Église et de l’État, le département hérite de l’œuvre de bienfaisance qu’il s’engage aussi à poursuivre. Pourtant, en 2009, après la fermeture du centre de formation agricole, le conseil général se lance dans la création d’un Centre européen de recherches sur les technologies de l’environnement et de la sécurité (Certes), abandonné dès ses débuts, en raison de « partenaires défaillants ». Aujourd’hui, à peine propriétaire, la Safer annonce à son tour une rétrocession des terrains, ainsi que des bâtiments, à « un projet local et agricole, comme le veut sa mission ».
    39. Dominique Vermand, « Rouvroy-les-Merles, église Saint-Nicolas », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
    40. « Rouvroy-les-Merles a son site internet », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3410, , p. 19.
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