Tartigny

Tartigny est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Tartigny

Vue de la commune de Tartigny, avec la mairie et l'école (au premier plan à droite), l'église Saint-Martin au fond, et les premiers bâtiments du château à gauche.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Pierre Masschelein
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60627
Démographie
Population
municipale
259 hab. (2019 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 05″ nord, 2° 21′ 41″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 149 m
Superficie 6,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Breteuil
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tartigny
Géolocalisation sur la carte : France
Tartigny
Géolocalisation sur la carte : Oise
Tartigny
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Tartigny

    Géographie

    À environ km à l'est de Breteuil, le village est accessible par la route départementale 930.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 711 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tartigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Breteuil dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), forêts (19,7 %), zones urbanisées (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La commune s'est appelée « Tertiniagum » en 766[réf. nécessaire].

    Histoire

    La nécropole gauloise de Tartigny a été découverte par prospection aérienne lors de la sécheresse de [21] et a été fouillée à la fin de l'été 1983[22]. Elle est datée, par les experts, de 25 000 avant Jésus-Christ. La partie fouillée comprend quatre enclos fossoyés quadrangulaires : un premier grand fossé de 18,70 m de côté renfermait en son milieu une sépulture bouleversée par des pillages, avec une dizaine de vases et un petit objet en tôle de bronze. Un deuxième enclos, plutôt légèrement trapézoïdal est accolé au côté ouest du premier.

    Il avait en son centre une sépulture à incinération contenue dans une fosse quadrangulaire de 2,80 m sur 2,95 m. Neuf vases à offrandes étaient disposés au nord, ainsi qu'une pince à épiler trouvée au pied d'un autre vase. Deux petits fossés quadrangulaires de 6,20 m de côté, ne contenant pas de sépulture, étaient placés de part et d'autre des deux premiers enclos. Trois sépultures en fosse ont été étudiées autour des enclos. Il s'agit de petites sépultures à incinération qui contenaient aussi de nombreux vases et du matériel métallique. Trois des sépultures étaient entourées de quatre trous de poteaux, partiellement discernables sur la photo aérienne. Ils devaient supporter une structure bâtie que l'on suppose être des maisons funéraires en bois. On peut penser que ces édicules, parfois beaucoup plus complexes, dressés sur les tombes de personnages importants qui deviennent des "héros", sont peut-être à l'origine de sanctuaires indigènes.

    Le mobilier métallique est remarquable : les pièces métalliques en fer ornent un seau en bois avec anse, cerclage, crochets et charnières ; 3 forces, 6 couteaux, 2 couteaux-rasoirs-précelles, 1 bassin en tôle de bronze, 1 anneau de bronze, 3 fibules et 1 anneau d'ambre. On note l'absence d'armes dans le rituel funéraire, alors qu'elles sont abondantes dans les sanctuaires de la même région, comme à Gournay-sur-Aronde. L'ensemble des 5 sépultures de Tartigny est daté de la phase moyenne de la période gauloise, dite de La Tène II. Les spécialistes pensent que les individus incinérés dans le secteur fouillé appartiendraient à une ou à plusieurs familles de l'aristocratie bellovaque. Tout laisse penser que, à Tartigny, certaines tombes riches pourraient être celles de druides.

    La commune, instituée lors de la Révolution française, a été fugacement rattachée de 1825 à 1833 à celle de Rouvroy-les-Merles [23].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[25], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[26].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[27], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Antoine Cavé d'Haudicourt[30] Majorité ministérielle Député de l'Oise (1824 → 1827)
    avant 1945   Fernand Moreau    
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988   René Leroy    
    avant 1996   Claude Crinon   Chef d'entreprise
    mars 2001 2008 Paul Thoma   Agriculteur
    2008[31] En cours
    (au 19 octobre 2014)
    Pierre Masschelein   Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2014-2020[32]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2019, la commune comptait 259 habitants[Note 8], en diminution de 6,83 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    275274312287430302304322316
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    306294271270241257245232249
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    251226215259240242254297238
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    264298276209202229242237258
    2014 2019 - - - - - - -
    281259-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 130 hommes pour 136 femmes, soit un taux de 51,13 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    0,8 
    8,7 
    75-89 ans
    11,4 
    16,5 
    60-74 ans
    18,2 
    19,7 
    45-59 ans
    16,7 
    18,1 
    30-44 ans
    17,4 
    17,3 
    15-29 ans
    17,4 
    18,9 
    0-14 ans
    18,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés depuis 2016 à Bacouël, au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Bacouël, Tartigny, le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville.

    Ce RPI qui comptait quatre classes à Bacouël (maternelle moyenne et grande section, CP, CM1, CM2), une classe à Broyes (CE2, CM1), une classe à Plainville (CE1, CE2) et une classe à Tartigny (maternelle petite section) se transforme à la rentrée 2018-2019 en regroupement pédagogique concentré, grâce à la construction à Bacouël de nouveaux locaux où tous les enfants seront accueillis. Cette école, dite « La Malvina[Note 9] » de sept classes comprend également une restauration scolaire. Le coût de cette extension du bâtiment existant s'est élevé à 1,7 million d'euros, dont 1 M€ financé par l'Etat, 216 000  de la région et 377 000  du département. Un transport scolaire est assuré matin et soir vers chaque commune. Un accueil périscolaire à partir de 7 h 30 et jusqu'à 18 h 30[38],[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château* (XVIe et XIXe siècles) : édifice moderne dans son ensemble avec certaines parties du XVIe siècle ainsi qu'une haute tour, propriété de la famille de Baudus. Le parc avec possède un curieux potager circulaire. Le décor extérieur, la tourelle, le pavillon, le colombier et le jardin potager sont inscrits monument historique depuis 1998[40]. Le parc et le jardin peuvent être visités lors des journées du patrimoine et de Jardins en scènes[41].
    Château de Tartigny

    *Ce château est le décor d'un son et lumière produit par l'Association Culture et Co et mis en scène par Léo Dany. Ce son et lumière s'intitule Du feu à la Lumière et raconte l'histoire de France à travers celle de Tartigny et de l’Oise en partant de la préhistoire à l’ère Néolithique jusqu'à la libération de 1945, village libéré par les anglais. Joué par 80 figurants et d’une durée de 90 minutes, il est clôturé par un feu d’artifice. La première édition, le , a rassemblé plus de 800 spectateurs. Une seconde édition était programmée sur deux dates les 17 et ,mais l’association a annulé cette nouvelle édition à cause de la pandémie liée à la crise COVID. La prochaine édition est programmée le 2 juillet 2022.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    De gueules à la foi d’argent issant de deux nuées du même mouvant des flancs, soutenant trois épis de blé d’or, deux passées en sautoir et le troisième posé en pal.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean Luc Massy, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude des structures », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1, , p. 13-22 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1491).
    • Étienne Mantel, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Catalogue du mobilier », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1, , p. 23-36 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1492).
    • Patrice Meniel, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude des offrandes animales », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1, , p. 37-39 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1493).
    • André Rapin, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude de la céramique », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1, , p. 41-57 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1494).
    • André Rapin, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude du mobilier métallique », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1, , p. 59-78 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1495).
    • Luc Massy Jean, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Interprétation des structures et conclusion générale », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1, , p. 79-81 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1496).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. La Malvina est le nom d'une ancienne rivière qui coulait à Bacouël

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tartigny et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tartigny et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Breteuil », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Agache 1978, fig. 33[réf. incomplète].
    22. Massy et alii 1986, p. 13-81[réf. incomplète].
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    25. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    26. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    27. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    28. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    29. « Les maires de Tartigny », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    30. « Antoine, Claude, Jean Cavé d'Haudicourt (1781 - 1839) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    31. « Pierre Masschelein repart », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Tartigny », Cartes de France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tartigny (60627) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    38. S.G., « Bacouël : les enfants vont découvrir leur nouvelle école », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3409, , p. 24.
    39. « La Malvina a été inaugirée - L'école accueille les enfants de six communes : Bacouël : le regroupement pédagogique concentré a été inauguré le 9 juin. La nouvelle structure accueille 160 écoliers dans des conditions optimales », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3503, , p. 20.
    40. « Château », notice no PA60000010, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Sylvie Godin, « Le parc et le potager du château s’offrent à vous : Ce 3 juillet le parc et le potager du château de Tartigny s’ouvrent gratuitement au public. L’occasion de découvrir un site atypique », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3400, , p. 17.
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