Beauvoir (Oise)

Beauvoir est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Beauvairois et les Beauvairoises.

Pour les articles homonymes, voir Beauvoir.

Beauvoir

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Laurent Tribout
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60058
Démographie
Gentilé Beauvairois, Beauvairoises
Population
municipale
216 hab. (2019 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 13″ nord, 2° 19′ 41″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 165 m
Superficie 10,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Breteuil
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Beauvoir
Géolocalisation sur la carte : France
Beauvoir
Géolocalisation sur la carte : Oise
Beauvoir
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Beauvoir
Liens
Site web https://villagebeauvoir60.fr/

    Géographie

    Description

    Paysage avec le cimetière, où passe la voie romaine.

    Beauvoir est un village rural du Plateau picard dans l'Oise, jouxtant au sud-est Breteuil et situé à 33 km au sud d'Amiens, 25 km au nord-est de Beauvais, 18 km à l'ouest de Montdidier. Il est desservi par le tracé initial de l'ancienne route nationale 16 (France).

    La commune est traversée par le méridien de Paris, matérialisé par la méridienne verte. Le Sentier de grande randonnée GR 124 traverse le village.

    Beauvoir est juchée a une altitude de 97 mètres ce qui lui permet d'avoir une vue panoramique assez développée sur Breteuil et bien d'autres communes.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 692 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 22 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauvoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Breteuil dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), forêts (2,6 %), zones urbanisées (2,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    La commune est composée de Beauvoir ainsi que de deux hameaux, la Folie de Beauvoir et le hameau d'Evauchaux sis à environ un kilomètre.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 118, alors qu'il était de 121 en 2013 et de 115 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 82,2 % étaient des résidences principales, 6,8 % des résidences secondaires et 11 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beauvoir en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,8 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Beauvoir en 2018.
    Typologie Beauvoir[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 82,2 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,8 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 11 7,1 8,2

    Toponymie

    Beauvoir a une étymologie qui vient peut-être du latin Bellum videre. Le nom est écrit Bellovidere en 1149, Belvoier en 1229, Bellum Videre en 1258, Beauveir vers 1270, Biauvoir en 1399, puis est devenu Belvoyer, puis Beauavoir, et enfin Beauvoir. Il n'est pourtant pas exclu que Beauvoir comme Beauvais trouve son origine dans Bello, du peuple gaulois des Bellovaques.

    Une autre étymologie proposée est le latin Belvedere, devenu Belvoyer, puis Beauavoir, et enfin Beauvoir.

    Histoire

    Selon la légende, le nom de Beauvoir serait à l'origine l'histoire d'une boutade de Jules César qui lors d'une expédition aurait vu juché du haut de Beauvoir la vallée Saint Denis en feu, là où est notamment situé le théâtre gallo-romain de Bratus Spantium, Jules César se serait alors exclamé : « Comme c'est beau à voir ! ».

    L'histoire de Beauvoir remonte bien à l'époque de Jules César : le site gallo-romain de Vendeuil-Caply, qui pourrait être l'oppidum de Bratuspantium[21], s'étend partiellement sur les communes de Beauvoir et de Saint-André-Farivillers. L'ancienne voie romaine de Saint-Just-en-Chaussée à Amiens passe près du cimetière de Beauvoir.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Breteuil[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[24], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[25].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[26], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    vers 1800   Roch Chouquet    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1989 Ernest Lelièvre    
    1989 2001 René Dieudonné    
    mars 2001 2004 René Budin    
    mars 2004 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Laurent Tribout NC Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2019, la commune comptait 216 habitants[Note 8], en diminution de 20,3 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    441452493428468493485455467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    397390355302303330346322278
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    261254251246243241220213246
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    219217169172202217269284271
    2018 2019 - - - - - - -
    225216-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 114 femmes, soit un taux de 50,67 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,9 
    7,2 
    75-89 ans
    8,8 
    11,7 
    60-74 ans
    14,9 
    29,7 
    45-59 ans
    24,6 
    18,0 
    30-44 ans
    22,8 
    15,3 
    15-29 ans
    14,0 
    18,0 
    0-14 ans
    14,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Denis : constituée uniquement de briques, elle fut érigée en 1865. Le chœur date cependant du XVIIIe siècle. L'édifice, d'une hauteur de 28 mètres et est surmonté d'un coq en métal. L'ancienne église, ne se situant pas au même endroit, se trouvait dans le cimetière communal, non loin de la vallée Saint Denis, à l'ouest de la commune.
    • Le château : Les sous-sols du château sont constitués d'un réseau de galeries souterraines encore en assez bon état. Le château construit au XVIIIe siècle a fait suite à l'éboulement d'un château fort érigé non loin de là. Il possède une chapelle. Le château a partiellement brûlé dans la nuit du 23 au 24 avril 2015 [36]. Heureusement, les propriétaires ne logeaient plus dans le château. Des travaux de reconstruction sont en cours.
    • Oratoire Saint-Denis
    • Le cimetière avec son calvaire
    • Le monument aux morts et le carré militaire

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Beauvoir », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Beauvoir et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Beauvoir et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Breteuil », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Jules César, Commentaires sur la Guerre des Gaules, Livre II, 13
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    24. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    25. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    26. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    27. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    28. « Les maires de Beauvoir », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    29. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 17 (ISSN 1144-5092).
    30. « Compte-rendu sommaire de la séance du 3 juillet 2020 du conseil municipal » [PDF], Comptes rendus du Conseil municipal, Mairie de Beauvoir (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beauvoir (60058) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    36. Mickael Guiho, Beauvoir (Oise) : un château du XVIIIe victime d'un incendie, Francetvinfo.fr, 24 avril 2015
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