Chepoix

Chepoix est une commune française située dans le département de l'Oise et la région Hauts-de-France.

Chepoix

L'église Saint-Léger et le cimetière.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Jacques Taveau
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60146
Démographie
Gentilé Chepoisiens, Chepoisiennes
Population
municipale
455 hab. (2019 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 21″ nord, 2° 22′ 56″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 155 m
Superficie 8,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chepoix
Géolocalisation sur la carte : France
Chepoix
Géolocalisation sur la carte : Oise
Chepoix
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Chepoix
Liens
Site web http://www.chepoix.fr/

    Ses habitants sont appelés les Chepoisiens et les Chepoisiennes.

    Géographie

    Descrioption

    Paysage du village.

    Chepoix est un village-rue agricole du Plateau picard. Situé à 29 km au nord-est de Beauvais, à 33 km au sud d'Amiens et à 40 km au nord-ouest de Soissons, il est aisément accessible par les anciennes routes nationales RN 30 (actuelle RD 930) et RN 16 (actuelle RD 916).

    Le territoire communal constitue une vaste plaine traversée du sud au nord par un vallon ramifié qui descend vers la vallée de la Noye[1].

    Il est traversé par la ligne de Paris-Nord à Lille, mais la gare la plus proche est celle de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 670 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Chepoix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85 %), forêts (11 %), zones urbanisées (4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Vue sur le hameau de Petit-Chepoix.

    La commune compte plusieurs hameaux :

    • Warmaise, située sur la route de Bonvillers, est une dépendance de Chepoix.
    • Petit Chepoix, situé au sud-est du village.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 193, alors qu'il était de 185 en 2013 et de 165 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 82,9 % étaient des résidences principales, 5,2 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,1 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chepoix en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Chepoix en 2018.
    Typologie Chepoix[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 82,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,2 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 11,9 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été connue sous les noms de Sepoix , Chépoy , Chepois , Chepoi , Cepoix (Chepeyum en 1302, Cepoium en 1190, Chepcium en 1280, Cepeium. en 1165)[1]

    Histoire

    Les sires de Chepoix eurent une importante forteresse au village pendant le Moyen Âge était en ruine en 1431 et a été détruite sur ordre de Charles VII[1], dont il ne reste malheureusement rien. Elle aurait été remplacée par un autre édifice au hameau de Warmaise, qui existait encore en 1862 et était flanqué de deux tours[22].

    Au Moyen Âge toujours, la paroisse dépendait de la commanderie d’Ivry-le-Temple de l'ordre de Malte[23].

    Selon Louis Graves[1], « Chepoix avait de l'importance ou moyen-âge. Philippe-le-bel exempta les habitons des subsides qu'il leva sur le royaume à son avènement au trône, à cause des terres dont il était possesseur sur leur territoire, en compagnie de religieux qu'on croit être des templiers ».

    L'église médiévale est détruite pendant la Guerre de Cent Ans[23].

    La commune de Bacouël a été détachée de celle de Chepoix par une loi du [24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Breteuil[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[27], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[28].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[29], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 mars 2008 Alain Fauqueux DVD  
    mars 2008[31] avril 2014 Dominique Boutin   Médecin
    avril 2014 En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Jacques Taveau   Chef d'entreprise retraité
    Vice-président de la CC de l'Oise Picarde (2020 → )
    Réélu pour le mandatr 2020-2026[32],[33]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2019, la commune comptait 455 habitants[Note 7], en augmentation de 15,19 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    831847928859907900904957986
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9851 014966448448411418409433
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    417401384411341335328330359
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    327287259271297302357373395
    2018 2019 - - - - - - -
    447455-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La baisse de la population constatée en 1866 est liée à la création de Bacouël, détachée de Chepoix en 1865.

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 218 hommes pour 229 femmes, soit un taux de 51,23 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,9 
    6,9 
    75-89 ans
    5,7 
    13,3 
    60-74 ans
    16,2 
    13,3 
    45-59 ans
    10,0 
    23,9 
    30-44 ans
    27,1 
    16,1 
    15-29 ans
    12,7 
    26,6 
    0-14 ans
    27,5 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Manifestations culturelles et festivités

    Chepoix est réputée pour ses illuminations et les décorations de ses maisons lors de la période de noël[39],[40].

    Culture locale et patrimoine

    Intérieur de la chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère.

    Lieux et monuments

    • Chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère : construite de la deuxième moitié du XXe siècle dans l'art contemporain de l'époque, elle fut réalisée par Gérard Ansart (mosaïste) et Pierre Ansart (architecte, décorateur). Elle est classée monument historique depuis 2011[41].
    • Église Saint-Léger, du XVIe siècle : L'édifice appartenait à l'ordre de Malte. Le clocher à flèche date du XVIe siècle. Au-dessus du portail, dans une niche, se trouve une statue de saint Léger mitré, crossé, tenant une palme.
      À l'intérieur, retable de la Vierge à l'Enfant, chaire datant de 1739 et vitrail du début du XVe siècle représentant une pietà. On trouve également un ensemble de deux statues de saint Léger et de saint Jean-Baptiste. Les verrières et ces statues sont classées monuments historiques[42],[23].
      Une statue en pierre polychrome représentant une pieta a été retrouvée le , dissimulée sous l’autel de la Vierge et cachée sous un tas de gravats depuis plus de 200 ans. Elle a été déposée au musée de Vendeuil-Caply[43],[44].
    • Croix de chemin, au hameau de Warmaise.

    Personnalités liées à la commune

    La famille de Chepoix, d'ancienne chevalerie (souvent dite de Sépoix), originaire du Santerre, eut des alliances avec les Coucy, Lannoy, Ongnies, Renty, Rubempré, Saveuse, etc. :

    Cette illustre maison s'éteignit par la mort de Robert de Chepoix, gouverneur de Saint-Quentin et bailli du Valois, à la fin du XVIe siècle[48].

    Les Boulainvilliers[49], dont Perceval et Henri, furent aussi seigneurs de Chepoix[50].

    Héraldique

    Les armes de Chepoix se blasonnent ainsi :
    d'or, à cinq châteaux maçonnés de sable. les tourelles et portails de gueules, 2, 2 et 1.

    Le blason du village de Chepoix, visible sur la tour du clocher de l'église Saint-Léger, est celui de la famille de Chepoix[48].


    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Chepoix », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152 p. (lire en ligne), p. 65-67.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Chepoix et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Chepoix et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise : rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 213 p. (lire en ligne), p. 75, lire en ligne sur Gallica.
    23. Dominique Vermand, « Chepoix, église Saint-Léger », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
    24. « Loi du 19 juin 1865 qui érige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de Chépoix (Oise) », Bulletin des Lois, no 1500, , p. 761-762 (lire en ligne) sur Google Livres
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    27. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    28. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    29. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    30. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    31. Source : Hebdomadaire Le bonhomme picard du 2 avril 2008
    32. « Jacques Taveau y retourne à Chepoix », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Taveau, le maire sortant, est candidat à sa propre succession. Cet ancien chef d'entreprise et ses colistiers ont travaillé à l'amélioration de l’accès au numérique, avec la fibre optique, du matériel informatique et de projection pour l'école. Il y a également eu les travaux des places, l'accessibilité aux lieux administratifs et les trottoirs ».
    33. « Chepoix 60120 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chepoix (60146) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. Patrick Caffin, « Découvrez les merveilleuses décorations de Noël », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    40. « CHEPOIX Rencontre avec ceux qui créent la magie de Noël : En remontant le soir la rue principale de Chepoix, on ne peut rester indifférent à la féerie de lumières qui illumine bon nombre d’habitations », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    41. « Chapelle funéraire de la famille Joseph Bellemère », notice no PA60000061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Les objets classés de l'église Saint-Léger sur la base Palissy
    43. « Une pietà était cachée sous l’autel de la Vierge de l’église de Chepoix : La découverte remonte à quelques semaines. La statue a depuis été mise à l’abri », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    44. Jean-Claude Crépin, « Aux petits soins pour la pietà de Chepoix : Les élus se sont rendus au musée de Vendeuil-Caply ce samedi pour admirer la sculpture, découverte dans leur église il y a quelques semaines », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    45. Général Claude Marion, Chronologie des machines de guerre et de l'artillerie, depuis Charlemagne jusqu'à Charles X, Doullens, Imprimerie de Quinquempoix, , 40 p. (lire en ligne), p. 8.
    46. Jean Le Féron, Catalogue des nobles admiraulx de France, depuis le roy Philippes de Valois jusques à... Henry deuxième, Paris, impr. de M. de Vascosan, , 10 ff (lire en ligne), p. 3f, lire en ligne sur Gallica.
    47. Yann Fossurier, « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? : Plus de 6000 combattants français ont péri il y a 600 ans lors de la bataille d'Azincourt, dans le Pas-de-Calais. Mais seuls 500 noms nous sont parvenus. Parmi eux, peut-être, un de vos ancêtres ou le seigneur de votre commune », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne, consulté le ).
    48. Paul Roger, Noblesse et chevalerie du comté de Flandre, d'Artois et de Picardie, Amiens, impr. de Duval et Herment, , 400 p. (lire en ligne), p. 233, sur Gallica.
    49. « Maison de Boulainvilliers, p. 2 et 6-8 », sur Racines & Histoire.
    50. De Flavigny-Renansart, Paris, Impr. de E. Duverger, , 32 p. (lire en ligne), p. 9.
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