Bacouël
Bacouël est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bacouëlois et les Bacouëloises.
Pour les articles homonymes, voir Bacouel.
Bacouël | |||||
La mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Bernard Pelou 2020-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60039 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bacouëlois, Bacouëloises | ||||
Population municipale |
487 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 89 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 37′ 10″ nord, 2° 23′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 81 m Max. 149 m |
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Superficie | 5,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.bacouel.fr/ | ||||
Géographie
Description
Bacouël est une commune rurale picarde du Santerre, situé à 13 km à l'ouest de Montdidier et à 7 km à l'est de Breteuil.
La commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille et est l'origine de la courte ligne de Breteuil-Embranchement à Breteuil-Ville Au hameau de Bacouël se trouve la Gare de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.
Bacouël se trouve au centre d'une dépression dont le fond argileux était jadis le passage d'une petite rivière que Louis Graves, dans son précis statistique sur le canton de Breteuil (Oise), arrondissement de Clermont (Oise)[1], note comme étant la Malvina, et qui rejoignait Rouvroy-les-Merles pour approvisionner la Noye, d'autres sources parlant du ru de Rouvroy (petit cours d'eau de Rouvroy-les-Merles).
Sur les hauteurs, au nord-est, l'on peut voir le bois Robinson où, selon une légende locale, des soldats allemands de la Première Guerre mondiale auraient été enfermés dans un ancien four à chaux.
À l'ouest, vers Tartigny, l'on peut apercevoir le bois du Quesnoy.
Bacouël compte de nombreuses mares dont quatre sont encore en fonction.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 26 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Bacouël est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), zones urbanisées (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), forêts (2,9 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La commune est constituée par deux hameaux distants d'un kilomètre environ, celui de Bacouël et celui de Breteuil-Embranchement où se trouve la gare de Breteuil-Embranchement et qui est desservi par la route départementale 930.
Le lieu-dit des Masures a donné son nom à l'une des rues du village et fait maintenant partie intégrante de la commune.
- La gare de Breteuil-Embranchement.
- Rampe sud d'accès au passage à niveau à Breteuil-Embranchement
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 232, alors qu'il était de 204 en 2013 et de 210 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 82,8 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bacouël en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Bacouël[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 82,8 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,6 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 12,5 | 7,1 | 8,2 |
Toponymie
Le lieu s'est appelée Bascoel en 1180[22].
Pour Bacouël deux explications toponymiques sont suggérées :
- soit un nom gaulois Bascos+ialos "la clairière de Bascos" (Bascos prénom celte).
- ou, plus vraisemblablement, du picard basche au sens de creuset ou de dépression dérivée du gaulois "bascauda" bassin[23].
La gentilé des habitants de Bacouël est Bacouëlois et Bacouëloise[22].
Histoire
Ronds funéraires : en 1960, Roger Agache découvrit par Archéologie aériennesur le territoire de Bacouël deux ronds funéraires datant de la période gallo-romaine[24].
Les circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime étaient en 1789 : l'élection de Montdidier ; la coutume de Montdidier ; le bailliage de Montdidier ; l'Intendance d'Amiens ; le grenier à sel d'Amiens ; le Gouvernement de Picardie ; et le Parlement de Paris[réf. nécessaire].
Bacouël a été détachée de la commune de Chepoix par une loi du [25]. Ses habitants ont fêté les 150 années de la commune le et un arbre commémoratif a été planté[26].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis sa création en 1867 du canton de Breteuil[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[29], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[30].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[31], cette intercommunalité, dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [32].
Liste des maires successifs
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés jusqu'en 2018 au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Bacouël, Tartigny, le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville.
Ce RPI qui comptait quatre classes à Bacouël (maternelle moyenne et grande section, CP, CM1, CM2), une classe à Broyes (CE2, CM1), une classe à Plainville (CE1, CE2) et une classe à Tartigny (maternelle petite section) se transforme à la rentrée 2018-2019 en regroupement pédagogique concentré, grâce à la construction à Bacouël de nouveaux locaux où tous les enfants seront accueillis. Cette école, dite « La Malvina[Note 7] » de sept classes comprend également une restauration scolaire. Le coût de cette extension du bâtiment existant s'est élevé à 1,7 million d'euros, dont 1 M€ financé par l'Etat, 216 000 € de la région et 377 000 € du département. Un ramassage scolaire est assuré matin et soir vers chaque commune. Un accueil périscolaire à partir de 7 h 30 et jusqu'à 18 h 30[37],[38].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 487 habitants[Note 8], en augmentation de 4,96 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 255 hommes pour 234 femmes, soit un taux de 52,15 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle Saint-Éloi : Au XVIIe siècle une chapelle à la dédicace de saint Éloi est érigée dans un champ, sur la commune. Lors de la fête patronale, le 1er décembre[44], la tradition voulait que les chevaux des environs fassent trois fois le tour de la chapelle avant d'être bénits par le prêtre, cela pour leur éviter de tomber malade[45],[46].
- La chapelle Saint-Éloi.
- Calvaire situé à l'intersection des rues Yves-Maréchal et du Pont-Papillon.
- Le monument aux morts.
- Plaque Michelin.
- Pont-rail.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Bacouël (60039) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Bacouël », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Bacouël » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La Malvina est le nom d'une ancienne rivière qui coulait à Bacouël
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bacouël » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bacouël - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bacouël - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152 p..[réf. incomplète].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bacouël et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bacouël et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Bacouël », Syndicat Mixte de l’Oise Picarde (consulté le ).
- Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-265-7), p. 32.
- « L'archéologie aérienne dans la France du Nord : Historique - Les fous volants », sur ministère de la Culture (consulté le ).
- « Loi qui érige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de Chépoix (Oise) », Bulletin des Lois, no 1500, , p. 761-762 (lire en ligne).
- « Merci à l'Empereur : Bacouël, indépendante depuis 150 ans : Bacoël était autrefois un hameau de Chepoix. Le 19 juin 1867, Napoléon III signe le décret d'application de la loi votée quelques mois plus tôt, qui érige Bacouël en commune indépendante de plein droit . 150 ans après on a fêté l'événement le 14 juillet », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3455, , p. 19.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
- « Les maires de Bacouël », FranceGenWeb (consulté le ).
- Lucien Djani, « Dominique Cordelle, maire de Bacouël, ne se représente pas », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller municipal en 1977, maire depuis 2003, Dominique Cordelle a décidé de ne pas se représenter ».
- Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Quotidien Le courrier picard - édition Région d'Amiens du 5 avril 2008
- « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 8.
- S.G., « Bacouël : les enfants vont découvrir leur nouvelle école », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3409, , p. 24.
- « La Malvina a été inaugirée - L'école accueille les enfants de six communes : Bacouël : le regroupement pédagogique concentré a été inauguré le 9 juin. La nouvelle structure accueille 160 écoliers dans des conditions optimales », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3503, , p. 20.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bacouël (60039) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Abbé Christian-Philippe Chanut, « Saint-Éloi », sur Missel (consulté le ).
- Guide de la Ligne du Nord, de Paris à Cologne et de Paris à Londres avec tous les embranchements, Paris, Paulin et Le Chevalier, (lire en ligne), p. 21-22.
- Dominique Vermand, « Bacouël, église Saint-Eloi : Diocèse : Amiens », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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