Bouillé-Ménard
Bouillé-Ménard est une commune française, située dans le département de Maine-et-Loire et la région Pays de la Loire.
Bouillé-Ménard | |||||
L'église Saint-Maurille. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Segré | ||||
Intercommunalité | Anjou Bleu Communauté | ||||
Maire Mandat |
Yannick Galon 2020-2026 |
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Code postal | 49520 | ||||
Code commune | 49036 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bouilléens | ||||
Population municipale |
751 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 44′ 33″ nord, 0° 58′ 00″ ouest | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 104 m |
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Superficie | 15,79 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Segré-en-Anjou Bleu (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Segré-en-Anjou Bleu | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Ce bourg rural du Haut-Anjou était à l'origine un domaine gallo-romain. Pauvre au XVIIIe siècle, Bouillé-Ménard reste encore aujourd'hui un village dont l'activité principale est l'agriculture. On ne compte pas moins de quarante exploitations agricoles sur la commune. Le village se situe entre deux lignes de crêtes dans la vallée de l'Araize. Après avoir subi un fort exode rural au XXe siècle, la commune connait un nouvel essor démographique depuis le début du XXIe siècle.
Géographie
Localisation
La commune est située dans le Haut-Anjou à 11 km au nord-ouest de Segré, la sous-préfecture, et environ 17 km de Pouancé, le chef-lieu de canton. Elle se situe à 4 km au nord de la D775, axe reliant Rennes à Angers.
Grugé-l'Hôpital | La Boissière (Mayenne) | Chatelais | ||
Bourg-l'Évêque | N | Chatelais | ||
O Bouillé-Ménard E | ||||
S | ||||
Combrée | Noyant-la-Gravoyère | Chatelais |
Topographie, géologie, relief
Bouillé-Ménard fait partie de l'unité paysagère du Segréen, et plus particulièrement de la sous-unité paysagère du Pouancéen, qui se caractérise par un paysage vallonné, aux ondulations orientées d'est en ouest où le maillage bocager tend à se densifier au fur et à mesure que l'on descend dans les vallons[1]. Sur le plan géologique, la commune se trouve sur un terrain schisteux, de formation silurienne provenant du massif armoricain.
Le bourg de la commune se trouve pris en deux lignes de crêtes. La première se trouve au nord de la commune, culminant à 100 mètres au-dessus du niveau de la mer. L'altitude descend ensuite dans la vallée où coule l'Araize, à une altitude de 41 mètres environ. Une seconde ligne de crêtes reprend au sud de la commune, culminant à 99 mètres au lieu-dit la Chapelle aux Pies[2].
Bouillé-Ménard est une des rares communes de France métropolitaine (avec Alzon dans le Gard, et Gatteville-le-Phare dans la Manche), dont l'antipode est une terre émergée, en l'occurrence, l'île principale de l'archipel néo-zélandais des Bounty[3].
Hydrographie
La commune est traversée d'ouest en est par l'Araize, affluent de l' Oudon. La rivière est rejointe par le ruisseau de Ruthor et par plusieurs autres ruisseaux, coulant en intermittence, peuvent rejoindre la rivière. Le ruisseau de Misengrain coule au sud, formant la frontière avec la commune de Combrée[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Segre », sur la commune de Segré-en-Anjou Bleu, mise en service en 1989[10] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 714,1 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 67 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Bouillé-Ménard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Segré-en-Anjou Bleu, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,3 %), prairies (37,7 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), zones urbanisées (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %), forêts (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Histoire
Bouillé-Ménard a une longue tradition d'extraction d'ardoise et de fer qui remonte au moins au Moyen Âge, faisant partie du bassin de Segré-Nyoiseau / Noyant-Combrée, cœur du territoire de l’extraction minière fer et ardoise dans le Haut-Anjou[24]. Le Cher et la Loire à proximité ont considérablement contribué à l'extension de ces activités[25].
Préhistoire et Antiquité
Une hache polie et une agate verte ont été trouvées sur le territoire de la commune, preuve de l'existence de peuplement pendant la Préhistoire. Dans l'Antiquité, Bouillé-Ménard était un domaine gallo-romain, connu sous le nom de Bulliacum[26].
Moyen Âge
La paroisse est fondée dès le XIe siècle et devient une seigneurie au XIIe siècle. Un de ses premiers seigneurs se nomme Bernard de Bouillé. Jusqu'au XIIIe siècle, la famille seigneuriale de Bouillé relève directement d'Angers. La famille est suzeraine de la seigneurie de Pouancé. Elle fait don avant 1148 d'un terrain défriché à l'évêque d'Angers, Ulger, qui y fonda Bourg-l'Évêque. Du XIVe siècle jusqu'à la fin du XVe siècle, la famille Aménard possède le château[26].
Ancien régime et Révolution
Au XVIIe siècle, le château appartient à la famille d'Acigné, qui le vend en 1756 à Louis-Benjamin de la Mothe d'Andigné. Au XVIIIe siècle, la majorité des habitants de la paroisse sont pauvres et subsistent grâce au commerce du fil qu'ils vendent à Pouancé, Craon, Segré, ou en Bretagne. La paroisse possède un chirurgien et un poste de gabelle avec un lieutenant, dépendant du grenier à sel de Pouancé. Pendant la Révolution française, en 1790, la paroisse devient chef-lieu d'un canton qui comprend alors neuf communes. Un religieux, le curé Urbain Giron, rejoint peut-être les chouans. Les autres religieux prêtent serment, mais l'un d'eux est remplacé en 1792 après s'être rétracté[26].
Époque contemporaine
En 1804, le canton de Bouillé-Ménard est démantelé au profit des cantons de Pouancé et Segré. Bouillé-Ménard est incluse dans le canton de Pouancé. La mairie est construite en 1856, en même temps que l'école de garçons. Une école de filles est établie en 1912. La Première Guerre mondiale voit la mort de 63 habitants de la commune. Le monument aux morts est construit en 1921. L'électricité est établie en 1926. La Seconde Guerre mondiale fait neuf victimes[26].
Politique et administration
Bouillé-Ménard est située dans le canton de Pouancé, arrondissement de Segré, dans le département de Maine-et-Loire. La commune comptant moins de 1 000 habitants, son conseil municipal est constitué de 15 élus.
Liste des maires
Intercommunalité (1966-1995-2016)
La commune adhère, comme les autres communes du canton de Pouancé, à un syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVM) créé en 1966. Celui-ci devient la communauté de communes de la région de Pouancé-Combrée en 1995[29]. Le 14 décembre 2016, elle se retire de la communauté qui est dissoute le lendemain. Le 1er janvier 2017 la commune rejoint Anjou Bleu Communauté.
Population et société
Évolution démographique
Dans son Dictionnaire Historique, Géographique et Biographique de Maine-et-Loire, Célestin Port livre le compte de la population de Bouillé-Ménard sous l'Ancien Régime. La population est exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants, il faut appliquer un coefficient multiplicateur de 5. En 1720, la paroisse comptait 161 feux, pour 708 habitants. En 1790, elle comptait 908 habitants[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].
En 2019, la commune comptait 751 habitants[Note 7], en augmentation de 2,6 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 362 hommes pour 390 femmes, soit un taux de 51,86 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Bouillé-Ménard possède une école publique primaire dépendant de l'académie de Nantes (école Alfred-Clément), en RPI avec Bourg-l'Évêque, ainsi qu'une école privée mixte sous contrat (école Saint-Joseph). Les collèges se trouvent à Pouancé ou Segré et les lycées se situent à Segré.
Santé
Il n'y a pas de médecin ni d'infirmier installé à Bouillé-Ménard. Les plus proches sont basés à Châtelais, Bel-Air de Combrée ou Noyant-la-Gravoyère. L'hôpital et les cliniques les plus proches se situent à Segré, de même que le service maternité.
Sports
La commune dispose pour équipement sportif d'un terrain de football et d'un terrain de basket-ball[36]. L'Association Sportive Bouillé-Ménard Pétanque organise des concours et des jeux de pétanque tandis que l'USEP en RPI avec Bourg-l'Évêque gère les activités sportives pour les enfants[37].
Économie
Selon l'INSEE, la commune comptait en 2009, hors exploitations agricoles, onze entreprises dont quatre dans la construction et sept dans le commerce, le transport, la réparation automobile et les services divers[39].
Commerces
Une supérette dispose d'un relais Poste[36].
Agriculture
On comptait 41 exploitations agricoles en 2000[39]. Le nombre d'exploitations a diminué entre 1988 et 2000, passant de 47 à 41, de même que la superficie cultivée a, elle, augmenté dans cette période, passant de 1 476 hectares (moyenne 31 hectares par exploitation) à 1 428 hectares (35 hectares par exploitation). Vingt-trois exploitations élevaient des bovins, le nombre de tête baissant de 2 395 à 1 708 entre 1988 et 2000, et quinze de volailles, dont le nombre augmente très fortement, de 555 à 27 432 sur la même période[39].
Appellations sur le territoire
La commune possède au total une quinzaine d'appellations sur le territoire[40]:
- AOC - AOP Maine-Anjou ;
- IGP Bœuf du Maine ; Cidre de Bretagne ou Cidre breton ; Farine de blé noir de Bretagne - Gwinizh du Breizh ;
- IGP Maine-et-Loire blanc ; Maine-et-Loire rosé ; Maine-et-Loire rouge ; Val de Loire blanc ; Val de Loire rosé ; Val de Loire rouge ;
- IGP Volailles de Janzé ; Volailles de Loué ; Volailles du Maine ; Volailles d’Ancenis ; Œufs de Loué
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château de Bouillé-Ménard date du XVIe siècle environ. Il est la propriété de la famille Walsh de Serrant au XVIIIe siècle, mais ceux-ci le vendent en 1882 à Henri Brard. Le bâtiment est alors restauré. Le porche d'entrée est flanqué de deux tours circulaires encastrées dans le logis[F 1].
Le manoir de la Renazaie est un manoir du XVIe siècle, construit en schiste. La façade possède une porte en ogive et deux séries de fenêtres à meneaux et croisillons[F 1].
L'église Sainte-Maurille d'origine a été restaurée entre 1842 et 1849, puis complètement rebâtie en 1894 par l'architecte Beignet. Elle a été financée par la fabrique et un don de Mme Brard, propriétaire du château. Les statues et peintures anciennes ont disparu[F 1],[26].
Patrimoine culturel
La commune possède une bibliothèque et une salle de théâtre pour équipement culturel.
La commune est affiliée au syndicat d'initiative du Haut-Anjou pouancéen, syndicat intercommunal[41]. La Foire aux rillauds, galettes et boudins a lieu chaque année lors du week-end suivant le 3 novembre[42]. L'association Culture et Patrimoine de Bouillé organise des événements artistiques et culturels et participe à la restauration du château de Bouillé-Ménard[37].
Personnalités liées à la commune
- Paul Walsh de Serrant, né le au château de Bouillé-Ménard, décédé en 1912 à Plessé-le-Dresny, comte de Walsh-Serrant, gros propriétaire terrien, descendant d'une famille irlandaise immigrée en Bretagne au XVIIe siècle et enrichie dans le commerce maritime à Nantes. Il est évoqué, comme grand chasseur, sous le pseudonyme de comte de Kergoorlas, à de nombreuses reprises dans le livre de Frank Davies : Chasse aux loups et autres chasses en Bretagne publié en anglais en 1875[43].
- Paul Guédon (1890-1959), poète né à Bouillé-Ménard.
- Christiane Lambert (1961), agricultrice à Bouillé-Ménard et responsable d'organismes professionnels.
Pour approfondir
Bibliographie
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 33141105, lire en ligne)
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Cheminements, 2004, 398 pages, [lire en ligne], p. 35
Articles connexes
Bibliographie
- Jean-Luc Flohic (dir.), Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des communes de Maine-et-Loire, .
- p. 1019.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Atlas des paysages du Maine-et-Loire, 2003, Édition le Polygraphe, p. 164.
- « Bouillé-Ménard », sur geoportail.fr (consulté le ).
- Les coordonnées des Iles Bounty (47° 45′ S, 179° 03′ E) sont à l'opposé de celles de Bouillé-Ménard (47° 44′ N - 0° 58′ O)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Segre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- D'ardoise en minerai de fer, le Haut-Anjou minier et ses cités, sur le site de l'association pour la promotion et la conservation du patrimoine minier et ardoisier du haut-Anjou.
- La Loire – les peuples du fleuve, par Abel Poitrineau. p. 63-86, La sarabande des frets. Éd. Horvath, Saint-Étienne, 1989. (ISBN 2-7171-0639-1).
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographie et biographique du Maine-et-Loire, éd. 1996
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la Préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Bouillé-Ménard. Yannick Galon succède à Vincent Gislier », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- « Connaitre la collectivité > Fiche d’identité », sur le site de la communauté de communes de la région de Pouancé-Combrée (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bouillé-Ménard (49036) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- « Bouillé-Ménard », sur Communauté de communes de la région Pouancé-Combré (consulté le ).
- « Bouillé-Ménard », sur le site de l'association Net 1901 (consulté le ).
- Fête à Bouillé-Ménard. Encore un succès pour les rillauds, Ouest-France, édition de Segré, Bouillé-Ménard - 09 novembre 2014
- Évolution et structure de la population sur statistiques-locales.insee.fr
- Bouillé-Ménard sur le site de l'INAO - Consulté le 7 juin 2011.
- « Syndicat d'Initiative du Haut-Anjou Pouancéen », sur tourismepouanceen.wifeo.com (consulté le ).
- « La foule, malgré le temps, à la Foire aux rillauds de Bouillé-Ménard », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
- Frank Davies, Chasse aux loups et autres chasses en Bretagne, éditions des Montagnes Noires, 2012, (ISBN 978-2-919305-22-3).
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