Bréville (Charente)
Bréville est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour les articles homonymes, voir Bréville.
Bréville | |||||
Place centrale de Bréville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
Mehdi Kalai 2020-2026 |
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Code postal | 16370 | ||||
Code commune | 16060 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brévillois | ||||
Population municipale |
454 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 47′ 50″ nord, 0° 15′ 39″ ouest | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 32 m |
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Superficie | 15,39 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cognac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cognac-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.breville.org | ||||
Petite commune rurale et viticole, située au nord de Cognac dont elle retire un avantage par sa proximité géographique, Bréville se transforme progressivement en une commune résidentielle recherchée.
Ses habitants sont appelés les Brévillois et les Brévilloises[1].
Géographie
Localisation et accès
Bréville est une commune rurale située à l'ouest de la Charente dans le canton de Cognac-Nord, limitrophe de la Charente-Maritime.
Cette petite commune rurale est située à 13 kilomètres au nord de Cognac et se transforme de plus en plus en commune résidentielle, appartenant d'ailleurs à l'aire urbaine de Cognac.
Elle est aussi à 36 km d'Angoulême, 16 km de Rouillac, 15 km de Jarnac, 9 km de Matha[2].
À l'écart des grandes voies de circulation, la D 48 la relie à Cognac, la D 22 va au sud-est vers Jarnac par Sainte-Sévère. La D 188 traverse le sud-ouest de la commune. De nombreuses routes communales sillonnent la commune et relient les hameaux[3].
La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan.
Hameaux et lieux-dits
Héritant d'une économie agricole anciennement ancrée où la viticulture y occupe une place de choix, la commune possède les caractéristiques d'un habitat particulièrement dispersé typique des Charentes et du Sud-Ouest.
Ainsi, outre le chef-lieu de commune de Bréville, les hameaux de la Voûte, la Cabane, la Forêt, la Coudre sont parmi les plus importants de ce finage communal dont la superficie de 1 539 hectares en fait une commune assez étendue en Charente.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Comme toute cette partie de la rive droite de la Charente dans laquelle se situe le territoire de Bréville, la commune a des assises géologiques relevant du Tithonien, anciennement nommé étage Portlandien, et présente des affleurements de marnes et d'argiles. La commune est entièrement située dans la vaste plaine du Pays bas, ancienne zone lagunaire du Purbeckien (fin du Jurassique, mordant sur le Crétacé inférieur, étage Berriasien), riche en gypse. Des alluvions datant du Quaternaire occupent une petite zone centrale de la commune, au sud et à l'ouest du bourg[4],[5],[6].
Le point culminant de la commune est à une altitude de 32 m, situé au nord-est près de la Pierrière. Le point le plus bas est à 16 m, situé sur la Soloire en limite sud. Le bourg est à 23 m d'altitude[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Soloire, le ruisseau du Capitaine, un bras de la Soloire, la Sonnoire, le Beau Palet, le Ru, le ruisseau le Veyron et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Soloire (appelée Sonnoire en Charente-Maritime) traverse la commune, parcourant la vaste dépression du Pays bas comme l'Antenne. D'une longueur totale de 34,9 km, prend sa source dans les Charentes-Maritimes,dans la commune de Mosnac, et se jette dans la Charente à Châteaubernard, après avoir traversé 13 communes[9].
Au bourg la Soloire reçoit le Ru venant de Brie-sous-Matha et la Rouzille venant de Thors. La Soloire est à sec en été au sud du bourg sur la commune. D'autres ruisseaux intermittents traversent la commune, comme le ruisseau du Capitaine à l'ouest, et le Beau Palet, affluents de la Soloire, et le Veyron en limite nord-ouest, affluent de l'Antenne[3].
- La Soloire au bourg.
- Réseaux hydrographique et routier de Bréville
Gestion des cours d'eau
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Toponymie
Les formes anciennes sont Berovilla en 1220, Brevilla (non daté)[12].
Selon les toponymistes, il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville, au sens ancien de « domaine rural », dont le premier élément Bré- représente un nom de personne selon le cas général.
Albert Dauzat, qui ne connaît pas de forme ancienne, propose le nom de personne germanique Bladher[13], incompatible avec la forme Berovilla de 1220. D'après cette même forme, le premier élément Bré- résulte de l'évolution phonétique de Bero-. Bero est un nom de personne germanique fréquemment attesté, hypocoristique des noms commençant par Bern-[Note 1] et que l'on retrouve dans certains Berville, d'où le sens global de « domaine de Bero »[14],[13].
Les noms en -ville sont fréquents en Charente entre Barbezieux et Rouillac, ils seraient liés à des implantations franques après le VIe siècle en Aquitaine, comme au sud-est de Toulouse[15].
Histoire
Après la chute de l'Empire romain et lors des grandes invasions, il ne reste pas de traces archéologiques ou écrites connues de Bréville et, ce, jusqu'à la construction de l'église au milieu du Moyen Âge, vers le XIIe siècle.
Bréville était le siège d'une vicairie relevant de l'abbaye, puis du diocèse de Maillezais.
L'église devient cure du diocèse de La Rochelle en 1648 comme le prieuré Saint-Benoît de Bréville dont elle était la chapelle[réf. nécessaire].
Les registres de l'état civil remontent à 1635[16].
Administration
Lors de l'élection présidentielle de 2007, au second tour, il y a eu 327 votants pour 387 inscrits (84,50 %), qui ont donné 145 voix à Nicolas Sarkozy et 168 voix à Ségolène Royal et lors de l'élection législative de 2007, au second tour, il y a eu 243 votants (62,79 %) qui ont donné 128 voix à Marie-Line Reynaud la candidate socialiste qui a été élue et 109 voix à Jérôme Mouhot le maire de Cognac et candidat UMP[18].
Intercommunalité
Bréville fait partie de la communauté d'agglomération du Grand Cognac depuis sa création.
Fiscalité
La fiscalité est d'un taux de 16,70 % sur le bâti, 49,90 % sur le non bâti, et 7,65 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).
La communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.
Urbanisme
Typologie
Bréville est une commune rurale[Note 2],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].
Les 216 logements de la commune sont tous des logements individuels dont 192 sont des résidences principales, 13 des résidences secondaires et 11 sont vacants d'après le recensement de 1999. Les résidences principales ont été construites pour 1/3 avant 1949, 1/3 entre 1949 et 1975 et pour 1/3 depuis 1975.
L'assainissement se fait par un procédé écologique de passage sur roseaux.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (37 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), terres arables (23 %), forêts (7,9 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2019, la commune comptait 454 habitants[Note 4], en diminution de 12,02 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 231 hommes pour 231 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Remarques
De 1851 à 1921 Bréville a perdu 30 % de sa population, surtout par exode rural. Actuellement elle réussit par ses initiatives volontaristes à stabiliser et même augmenter légèrement sa population.
La commune comprend 220 actifs avec un taux de chômage de 10 %.
Les 198 actifs ayant un emploi sont 118 hommes et 80 femmes dont 138 sont salariés et 60 non salariés.
Économie
Agriculture
Bréville est principalement agricole et viticole, avec 378 ha de vignes situées dans la région du vignoble d'appellation d'origine contrôlée cognac. La commune est classée dans les Fins Bois[31].
Un pôle bio s'est développé avec un producteur de miel et un GAEC qui produit sur 50 ha de terres des céréales et des légumes secs (lentilles, pois cassés, pois chiches), et sur 15 ha de vignes jus de raisin, vin de pays, pineau et cognac.
Commerces
Les commerces sont représentés par un bar-restaurant.
Tourisme
La commune comporte deux gîtes ruraux.
Artisanat
Bréville développe depuis 2001 un pôle d'activité autour des métiers d'art du bois : économie, animation, tourisme et éducation. De nombreuses actions sont mises en place : création d'ateliers, installation de professionnels métiers d'art, projets pédagogiques dans les écoles, expositions… Ce pôle bois a été créé avec le soutien de la communauté de communes de Cognac, du département de la Charente, de la région Poitou-Charentes et de la SEMA.
Quatre ateliers se sont installés, la menuiserie-ébénisterie de la Soloire, l'ébénisterie d’art "Le Bois en Vôlute", l'atelier de création de jouets en bois "Le Bois Enjoué", "Poupe" un atelier de tournage d’art et un atelier de marqueterie d’art. La commune souhaite à terme accueillir une dizaine d'artistes et d'artisans d'art du travail du bois.
Toute l'année, on peut admirer les sculptures qui habillent le bourg et venir à la rencontre des artisans dans leurs ateliers.
Les temps forts des métiers d'art du bois sont une résidence d'artistes tous les deux ans[pas clair] et le festival « Art et Passion du Bois » qui se tient à Bréville tous les deux ans à la fin du mois d'août. Au programme, toute la semaine un métier est mis à l'honneur par le biais d'une exposition, de conférences, de démonstrations et de stages d'initiation. Le dernier week-end, les rues du bourg sont investies par un concours européen de tournage d'art en public, une expo-vente des métiers d'art du bois et des animations pour petits et grands. Le festival a accueilli 10 000 visiteurs en 2003 et 15 000 en 2004.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Bréville et Sainte-Sévère. Sainte-Sévère accueille l'école maternelle et Bréville l'école élémentaire[32].
Services publics
Bréville a conservé une agence postale.
Tous les autres services publics sont à Cognac.
Santé
Les équipements sont sur les communes proches et l'hôpital à Cognac.
Vie culturelle, associative et sportive
- Art et Bois à Bréville qui organise le festival annuel
- Comité des fêtes
- Société de chasse
- L'Étoile sportive
- Association des parents d'élèves
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Benoît est toujours au centre du cimetière qui doit dater du XIIe siècle. Datant des XIIe et XIIIe siècles, elle était à l'origine un prieuré-cure dont le prieuré dépendait de l'abbaye bénédictine de Maillezais. Les piles d'entrée du chœur de l'église sont du XIIe siècle, le portail et la voute du chœur du XVe siècle. Elle est de plan en croix latine, à un vaisseau et la nef a été restaurée et revoûtée en 1881. Elle possède un escalier en vis sans jour[33].
- Vue d'ensemble.
- Le porche.
Patrimoine civil et culturel
Il n'existe plus que des vestiges du moulin sur la Soloire qui figure sur la carte de Cassini. Le lavoir de la Coudre est du XIXe siècle, comme la plupart des fermes, bâtiments et porches charentais. Deux fermes à la Voûte sont du XVIIIe siècle[34].
Les sculptures monumentales décorent le village qui présente une exposition permanente d'œuvres d'art en bois et les ateliers d'art, jeux et jouets, ébénisterie d'art, tournage, marqueterie peuvent être visités. Trois sculpteurs du village québécois Saint-Jean-Port-Joli, Maurice Harvey, Denys Heppel et Clermont Gagnon, ont créé l'horloge sculptée qui est sur la place du bourg[35]. Un jumelage entre Bréville et Saint-Jean-Port-Joli est envisagé[36].
- Horloge sculptée sur la place du bourg.
Patrimoine environnemental
- L'étang de la Coulée, étang de pêche privé.
- Sentier de randonnée local.
Personnalités liées à la commune
- L'amiral Loizeau, né à Bréville (1869-1945),
- Jacques Pras, ancien coureur cycliste, né à Bréville en 1924.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Voir Bernard, etc.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Bréville » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Bréville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Sandre, « la Soloire »
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 430
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 115.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Michel Rouche, L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes (418-781), t. 2, Jean Touzot, , 776 p. (présentation en ligne), p. 135-136, fig.18
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 95
- « Calme mais pas morte », sur sudouest.fr, (consulté le ).
- site du ministère de l'intérieur
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bréville (16060) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection d'académie de la Charente
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 86
- « Bréville », base Mérimée, ministère français de la Culture
- Présentation des sculptures de plein air dans le site officiel de Bréville
- Demain.fr : commune de Bréville
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