Sainte-Sévère (Charente)

Sainte-Sévère est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Sévère.

Sainte-Sévère

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Séverine Caillé
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16349
Démographie
Gentilé Sévériens
Population
municipale
513 hab. (2019 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 13″ nord, 0° 14′ 14″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 31 m
Superficie 18,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Sévère
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Sévère
Géolocalisation sur la carte : Charente
Sainte-Sévère
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Sévère
Liens
Site web www.sainte-severe.fr

    Ses habitants sont les Sévériens et les Sévériennes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Sainte-Sévère est une commune de l'ouest de la Charente limitrophe avec la Charente-Maritime, située à km au nord-est de Cognac et 33 km à l'ouest d'Angoulême.

    Le bourg de Sainte-Sévère est aussi à 10 km au nord-ouest de Jarnac, chef-lieu de son canton, 14 km à l'ouest de Rouillac et 14 km au sud-est de Matha[2].

    À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 24 qui se dirige vers Cognac, la D 22 vers Jarnac, et la D 55 vers Sigogne à l'est et Mesnac à l'ouest. Ces routes se croisent au bourg[3].

    La gare la plus proche est celle de Cognac ou celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes, Royan et La Rochelle avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour Niort.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte quelques hameaux : les Buges, la Parisière, la Selle tout au nord, la Métairie de Jarnac à l'ouest, Marmounier en limite avec Bréville, ainsi que de nombreuses fermes[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Comme toute cette partie de la rive droite de la Charente, géologiquement, Sainte-Sévère est dans le Jurassique supérieur. Le terrain date du Tithonien (anciennement nommé étage Portlandien) et présente des affleurements de marnes et d'argiles. La commune est entièrement située dans la vaste plaine du Pays bas, ancienne zone lagunaire du Purbeckien (fin du Jurassique, mordant sur le Crétacé inférieur, étage Berriasien), riche en gypse[4],[5],[6].

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 31 m, situé en limite nord près de la Selle. Le point le plus bas est à 10 m, situé en limite sud-ouest. Le bourg est à 18 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Sainte-Sévère.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Soloire, le Malémont, le ruisseau du Capitaine, le Thidet, le ruisseau de la Bonnelle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    La commune est traversée du nord au sud par la Soloire. Un petit ruisseau, le Thidet, qui prend sa source dans la commune voisine de Houlette, rejoint la Soloire près du bourg de Sainte-Sévère. On trouve aussi le Capitaine, à l'ouest, le Malémont et le ruisseau de la Bonnelle, au nord-est. Tous ces ruisseaux ainsi que la Soloire sur le territoire communal sont à sec l'été[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Végétation

    La forêt dite « de Jarnac » traverse de part en part la commune de Sainte-Sévère.

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Sévère est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), terres arables (29,4 %), cultures permanentes (17 %), forêts (15,8 %), mines, décharges et chantiers (2,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté sous la forme ancienne en latin Sancta Severa (non datée, Moyen Âge)[17].

    Sainte Sévère (Severa) était une abbesse du pays de Trèves, morte en 660[18],[19],[Note 3].

    Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Fort-Sévère[20]. Elle a été créée Sainte-Sévère en 1793 du nom de la paroisse[21].

    Histoire

    Le tertre de l'Abattu pourrait être un tumulus.

    Des fossés circulaires protohistoriques ont été découverts, d'une part au Pré Rousset, d'autre part au lieu-dit les Pontrauds.

    La fortification constituée de levées de terre et de fossés située le long de la voie romaine d'Agrippa de Saintes à Lyon et nommée le « Camp romain », serait malgré son nom et son emplacement, une fortification médiévale[22]. Elle a donné le nom temporaire de la commune à l'époque révolutionnaire.

    Sous l'Ancien Régime, c'est le comte de Jarnac qui avait droit de justice sur Sainte-Sévère. Les dîmes allaient pour trois quarts au curé et un quart à l'abbé de Châtre[23]. La forêt de Jarnac était d'ailleurs le terrain de chasse des barons et comtes de Jarnac.

    À la fin du XVIIe siècle, le maréchal de Tourville a été le seigneur de Sainte-Sévère[24].

    Au XIXe siècle, la crise du phylloxéra a épargné 40 hectares de vigne, sans doute à cause de la nature du terrain du Pays bas, mais la vigne a été replantée avec succès comme dans toute la région[25].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2014 Jacques Dupays SE Contrôleur de gestion en retraite
    2014 En cours Laurence Girard    

    Fiscalité

    La fiscalité en 2007 est d'un taux de 22,53 % sur le bâti, 45,05 % sur le non bâti, et 9,80 % pour la taxe d'habitation.

    La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2019, la commune comptait 513 habitants[Note 4], en diminution de 7,07 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    484547602789739795789813847
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    846809824803792801733772729
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    706673577529545569525492466
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    474499509578550542540552516
    2019 - - - - - - - -
    513--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    D’après le recensement Insee de 2007, Sainte-Sévère compte 541 habitants (soit une diminution de 2 % par rapport à 1999).

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 270 hommes pour 246 femmes, soit un taux de 52,33 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,9 
    90 ou +
    0,8 
    5,9 
    75-89 ans
    9,8 
    26,7 
    60-74 ans
    24,8 
    24,1 
    45-59 ans
    23,6 
    15,9 
    30-44 ans
    15,4 
    17,0 
    15-29 ans
    8,9 
    8,5 
    0-14 ans
    16,7 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Commerces

    Le village possède une boulangerie tenant également lieu d'épicerie, de bureau de tabac et de dépôt de journaux. Celle-ci jouxte une importante meunerie.

    La commune accueille également le centre d'enfouissement technique des déchets ménagers, géré par Calitom, le syndicat départemental de traitement des déchets. Créé sous forme d'une usine de broyage avec mise en décharge avancée sans aucun traitement de jus gérée par le SMITOM (syndicat intercommunal d'enfouissement des déchets) avant d'être transformée en usine de broyage-compostage, elle fut ultérieurement équipée d'une presse à refus pour la mise en décharge. Actuellement, il s'agit d'un centre d'enfouissement d'ordures ménagères brutes. En 1974 avec SVDM, elle a subi des travaux pour tenter de se mettre aux normes. Malgré cela, cette usine est souvent le centre de polémiques, certains riverains y voyant une source de nuisances[réf. nécessaire].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Bréville et Sainte-Sévère. Sainte-Sévère accueille l'école maternelle, avec une classe, et Bréville l'école élémentaire. Le secteur du collège est Cognac (Félix-Gaillard)[31].

    Autres services

    Le village est équipé d'une agence postale et d'une bibliothèque municipale.

    Lieux et monuments

    Église Sainte-Sévère

    L'église Sainte-Sévère, reconstruite de 1896 à 1898.

    L'ancienne église paroissiale Sainte-Sévère appartenait à l'ancien diocèse de Saintes et dépendait de l'abbaye de Châtre. Édifiée entre le XIIe et XIIIe siècles, elle formait un vaisseau unique entièrement voûté. Faute d'entretien, elle s'est écroulée en 1892.

    Une nouvelle église a été bâtie, dans le style néo-roman, par MM. Barbaud et Bauhain, architectes, de 1896 à 1897. Sa consécration eût lieu en 1898. C'est un édifice en croix latine, comportant une nef voûtée en berceau, flanquée de deux chapelles saillantes formant un transept et terminée par une abside en hémicycle. L'ensemble est précédé d'un porche supportant le clocher, lui-même surmonté d'un dôme conique en pierre de taille, dit clocher à bulbe, encadré de quatre pinacles de même facture[32],[33].

    Camp antique

    Le camp antique, dit Camp romain, se trouve sur le bord de la voie romaine[34],[3]. Il serait, malgré son nom, une fortification médiévale[22],[35].

    Tumulus

    Le tertre de l'Abattu encore visible au bord de la Soloire, en amont du bourg de Sainte-Sévère, serait les restes d'un tumulus.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Elle n'a donné son nom qu'à une autre commune française, Sainte-Sévère-sur-Indre (Indre).
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Sainte-Sévère » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Sainte-Sévère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 444
    18. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 637.
    20. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 137
    23. Histoire de Cognac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    24. [PDF] Marvaud, Géographie de la Charente, « Jarnac, Sainte-Sévère et Bassac », (consulté le )
    25. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 349
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sainte-Sévère (16349) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    32. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., et t.IV
    33. « Église de Sainte-Sévère », notice no IA00049624, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Camp romain », notice no IA00042638, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. Voir Histoire

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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