Saint-Jouin-Bruneval

Saint-Jouin-Bruneval est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime dans la région Normandie. Les habitants de Saint-Jouin-Bruneval se nomment les "Saint-Jouinais et Saint-Jouinaises".

Pour les articles homonymes, voir Saint-Jouin (homonymie).

Saint-Jouin-Bruneval

La mairie.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
François Auber
2020-2026
Code postal 76280
Code commune 76595
Démographie
Gentilé Saint-jouinais
Population
municipale
1 844 hab. (2019 )
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 38″ nord, 0° 09′ 49″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 137 m
Superficie 18,82 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Octeville-sur-Mer
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Jouin-Bruneval
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jouin-Bruneval
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Saint-Jouin-Bruneval
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Saint-Jouin-Bruneval
Liens
Site web http://www.st-jouin-bruneval.fr

    Géographie

    Description

    La commune est située en bordure de la Manche et est remarquable par l'implantation du site du cap d'Antifer, important terminal pétrolier côtier, dont la construction s'est déroulée de 1973 à 1975. Ce terminal, sous la direction du Grand port maritime du Havre, est capable de recevoir des supertankers allant jusqu'à 600 000 t. C'est le second port pétrolier français.

    Saint-Jouin se trouve dans le pays de Caux.

    Le ramasseur de galets : décoration de rond-point sur le CD940.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 930 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Octeville », sur la commune d'Octeville-sur-Mer, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 796 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 80 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Le centre du bourg

    Typologie

    Saint-Jouin-Bruneval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,3 %), prairies (21 %), forêts (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), zones urbanisées (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones humides côtières (0,1 %), eaux maritimes (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    En 1823, les communes de Saint-Jouin et de Bruneval fusionnent pour devenir Saint-Jouin-Bruneval. De 1912 à 1950, la commune s'est appelée Saint-Jouin-sur-Mer.

    L'hagiotoponyme Saint-Jouin est attesté dès le XIIe siècle sous la forme latinisée Sancti Jovini. Saint Jouin (en latin Jovinus), frère de Saint Maximin, était ermite dans le Poitou[a 1].

    Le toponyme de Bruneval est attesté sous la forme Berneval en 1213 et vers 1240. La forme actuelle Bruneval n'apparaît pas avant le XVIIIe siècle. Le premier élément est l'anthroponyme francique Berno ou anglo-saxon Beorn. On le retrouve dans Bennetot (Bernetot XIIe siècle, suivi du vieux scandinave topt « terrain construit, ferme ») autre commune du pays de Caux[a 2]. Le second élément est l'appellatif -val « vallée » qui pouvait être féminin également. L'altération Berne- > Brune- est sans doute liée à l'étymologie populaire « vallée brune ». En revanche, Berneval-le-Grand est un ancien Britteneville attesté dès 750 et en 775[a 3]. Homophonie accidentelle avec Bruneval (Oise).

    Lieux-dit

    Histoire

    Seconde Guerre mondiale

    Le , dans le cadre de l'opération Biting, des parachutistes britanniques ont détruit un important radar sur La Poterie-Cap-d'Antifer, avec l'aide de membres normands de la Résistance, et ont rembarqué depuis la plage de Bruneval.

    En lien avec ce souvenir de la Résistance, Bruneval a été le lieu d'un discours[réf. nécessaire] du général de Gaulle, le .

    Politique et administration

    Politique locale

    Le conseil municipal a été dissous le [24].

    Liste des maires

    Le monument aux morts.
    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1965 Jean Aubourg    
    1965 1977 Maurice Avenel    
    1977   Joseph Delahais    
      2001 Mahieu[réf. nécessaire]    
    mars 2001   Rémy Chicot    
    mars 2008 En cours
    (au 10 août 2020)
    François Auber DVG Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2019, la commune comptait 1 844 habitants[Note 8], en diminution de 2,49 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8781 6001 7881 7531 7311 5381 5171 5081 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5351 6021 6281 5061 5071 4041 4011 4871 263
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1231 2071 2071 1871 1521 0771 1231 1271 128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9438809131 2271 4371 5761 7821 8481 872
    2019 - - - - - - - -
    1 844--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Grand marché artisanal nocturne, 1er week-end d'aout.
    • Festival de cerf-volant en avril.
    •  : 70e anniversaire de l’opération Biting et inauguration officielle du Mémorial de Bruneval.en présence du président de la République, François Mitterrand, et du prince Charles, représentant la reine d’Angleterre.

    Économie

    Panneaux de protestation contre le projet de terminal méthanier en avril 2010.

    Entre 1967, et la conquête de l'isthme de Suez par Israël lors de la guerre des Six Jours, et 1975 le canal de Suez fut fermé : la rive Ouest était occupée par les Égyptiens et la rive Est par les Israéliens. Les pétroliers devaient effectuer un détour par le cap de Bonne-Espérance pour se rendre du Moyen-Orient en Europe. Afin de rentabiliser le voyage des pétroliers de gabarit beaucoup plus important furent construits. Mais ceux-ci ne rentrant pas dans certains ports traditionnels des avant-ports en eaux profondes furent construits. Celui de Saint-Jouin-Bruneval était destiné à être l'avant-port du Havre. Dès 1975 et la réouverture du canal les pétroliers les plus importants cessèrent d'être utilisés rendant peu utiles des avant-ports comme le terminal pétrolier d'Antifer. Cela explique sa sous-utilisation. Depuis quelques années un nouveau projet est à l'étude pour transformer Antifer en terminal méthanier agrandi afin d'utiliser l'avant-port à la hauteur de ses capacités. Ce projet se heurte à une opposition virulente de nombreux riverains[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Port du Havre-Antifer
    • Château de La Marguerite (XVIIIe siècle).
    • Château du Clos des Fées (propriété privée) : construit au début du XXe siècle par Louis Besnard, maire du village, artiste-peintre, fils du peintre et académicien Albert Besnard et d'Ernestine Aubourg. Le monument a subi un grave incendie en 1990.
    • Église Saint-Jouin du (XVIe siècle).
    • Monument commémoratif du raid britannique opération Biting sur la falaise.

    Personnalités liées à la commune

    Saint-Jouin-Bruneval dans les arts

    Tournage d'une scène du film de Maurice Labro, Le Fauve est lâché en 1959, située rue Roger-Dumont à proximité de la plage de Bruneval avec Lino Ventura.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Ouvrage de François de Beaurepaire

    1. passage 137
    2. p. 53.
    3. p. 42.

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Octeville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Jouin-Bruneval et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Octeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Jouin-Bruneval et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Décret du 24 septembre 1987 portant dissolution du conseil municipal de Saint-Jouin-Bruneval.
    25. « Les maires de Saint-Jouin-Bruneval », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    26. Christophe Preteux, « Municipales 2020. À Saint-Jouin-Bruneval, François Auber brigue un troisième mandat : Maire depuis 2008, François Auber brigue un troisième mandat dans la douzième commune de la communauté urbaine avec sa liste « J’aime mon village ». Une équipe « renouvelée et pleine d’idées », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Saint-Jouin-Bruneval : François Auber réélu maire en direct : Les habitants de la commune ont pu assister à l’installation du conseil municipal grâce à la visioconférence », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « C’est la doyenne du conseil, Micheline Monville, qui a appelé les candidatures au poste de maire, et a annoncé l’élection à l’unanimité du maire, François Auber. Il entame ainsi un troisième mandat ».
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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