Cébazat
Cébazat (/se.ba.za/) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.
Cébazat | |||||
Beffroi de Cébazat. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Clermont-Ferrand | ||||
Intercommunalité | Clermont Auvergne Métropole | ||||
Maire Mandat |
Flavien Neuvy 2020-2026 |
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Code postal | 63118 | ||||
Code commune | 63063 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cébazaires[1] | ||||
Population municipale |
8 805 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 879 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
274 141 hab. (2019) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 49′ 56″ nord, 3° 06′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 320 m Max. 518 m |
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Superficie | 10,02 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Clermont-Ferrand (banlieue) |
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Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cébazat (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | www.cebazat.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Cébazaires[1].
Géographie
Localisation
Cébazat est située au nord de Clermont-Ferrand, à la limite de la plaine de la Limagne, située à l'est, et à proximité de la chaîne des Puys à l'ouest.
Quatre communes sont limitrophes[2] :
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 002 hectares ; son altitude varie entre 320 et 518 mètres[3].
Climat
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0 | 1 | 3 | 5 | 8 | 12 | 14 | 14 | 11 | 8 | 3 | 2 | 6,75 |
Température maximale moyenne (°C) | 7 | 9 | 13 | 15 | 20 | 23 | 26 | 26 | 22 | 18 | 11 | 8 | 16,42 |
Précipitations (mm) | 19,9 | 16,5 | 15,4 | 37,4 | 46,6 | 48,6 | 37,1 | 38,7 | 44,3 | 34,8 | 29,7 | 19,7 | 32,39 |
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. |
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Record de froid (°C) date du record |
−23,1 1971 |
−29 1929 |
−21,3 1931 |
−7,1 2003 |
−3,6 1976 |
1 1975 |
1 1925 |
2,4 1980 |
−3 1928 |
−9,2 1997 |
−11,8 1993 |
−25,8 1933 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,1 2002 |
25,9 1960 |
26,6 1981 |
31,3 1949 |
33 1945 |
37,4 1950 |
40,7 1983 |
39,6 1947 |
36,8 1987 |
29,7 2004 |
24,1 1970 |
21,9 1925 |
Record de vent (km/h) date du record |
112 2004 |
108 1990 |
115 1986 |
101 2003 |
94 2006 |
101 1990 |
97 2000 |
94 1994 |
101 1982 |
104 1987 |
130 1982 |
158 1999 |
Record de pluie en 24 h (mm) date du record |
49 1982 |
25,2 1994 |
26,8 1977 |
60,8 1998 |
63,4 1934 |
57,6 1990 |
51,2 1979 |
76,8 1939 |
54,2 1992 |
66,6 1979 |
57,2 1994 |
43,2 1957 |
Urbanisme
Typologie
Cébazat est une commune urbaine car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-Ferrand, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[9] et 274 141 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (52,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (41,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (33,5 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,8 %), terres arables (11,3 %), forêts (6,3 %), cultures permanentes (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
En 2013, la commune comptait 3 400 logements, contre 3 260 en 2008. Parmi ces logements, 92,9 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,1 % des appartements[a 1].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 75,2 %, en baisse sensible par rapport à 2008 (76 %). La part de logements HLM loués vides était de 7,5 % (contre 6,7 %)[a 2].
Planification de l'aménagement
Le plan local d'urbanisme a été approuvé par une délibération du conseil métropolitain du et a été révisé depuis[C 1].
Projets d'aménagement
La commune, en association avec l'Ophis Puy-de-Dôme, aménage un écoquartier : la ZAC des Trois Fées, s'étendant sur 31 hectares[15]. 1 000 logements sont prévus sur trois zones : la Chavance, la Couchet et les Quartières, la majorité des logements seront construits sur cette dernière zone (5 000 m2 de bureaux). Des espaces verts occuperont un tiers de la ZAC. Le recours à l'intermodalité se fait avec le développement des transports doux. Déjà, depuis début 2014, certaines courses de la ligne 31 reliant les Vignes à Châteaugay sont déviées par cette ZAC en desservant deux arrêts.
Les seize premiers logements locatifs labellisés BBC ont été livrés au deuxième trimestre 2012[16].
Voies routières
La commune bénéficie d'une bonne accessibilité routière avec la route métropolitaine 2009 (ancienne route nationale 9) qui possède le statut de voie express entre Riom au nord et Clermont-Ferrand au sud. Deux échangeurs à l'est de la commune la desservent : une sur la route métropolitaine (M) 402, une autre sur la M 2.
D'autres routes métropolitaines traversent la commune :
- la RM 2, reliant Blanzat à l'ouest et Gerzat à l'est en contournant le centre-ville par le nord ;
- la RM 2B, passant par le centre-ville ;
- la RM 21, reliant au nord Châteaugay et le quartier Croix-de-Neyrat au sud (direction Clermont-Ferrand) ;
- la RM 402, desservant le parc logistique de la commune, à cheval avec la commune de Gerzat ;
- la RM 763, délaissé partiel de la route nationale 9 (il existe une RD 763B) ;
- la RM 764, sur quelques mètres en direction de Blanzat.
Transports urbains
La ville est desservie par trois lignes du réseau de transports en commun de l'agglomération clermontoise (T2C)[17] :
- la ligne 21 relie le CHR Nord au quartier Croix-de-Neyrat, au stade Gabriel-Montpied à Clermont-Ferrand et à Aubière, de 6 h 30 à 21 h environ, du lundi au samedi (correspondance avec le tramway à Croix-de-Neyrat) ;
- la ligne 24 relie Blanzat à Champratel, de 5 h 10 à 22 h 23 h les dimanches et jours fériés, tous les jours (correspondance avec le tramway à Croix-de-Neyrat ou Champratel) ;
- la ligne 31 dessert le quartier des 3 Fées uniquement du lundi au vendredi et en harmonie avec les heures d'entrée et de sortie des écoles (correspondance avec le tramway et la ligne 3 aux Vignes).
Du fait du prolongement de la ligne de tramway jusqu'au quartier des Vergnes, fin 2013, la ligne 3 ne dessert plus Cébazat.
Aménagements cyclables
Des aménagements cyclables existent, par exemple, le long de la route métropolitaine 2 entre Cébazat et Gerzat. On en retrouve également, le long de l'avenue de la République.
- Cours des Perches.
- Route de Châteaugay.
- Rue de Blanzat.
Risques naturels et technologiques
La commune est soumise à quatre risques[18] :
- inondation : les crues du Bédat peuvent être provoquées par une montée excessive du niveau du cours d'eau ou une crue torrentielle[C 2] ;
- mouvements de terrain : ceux-ci sont caractérisés par « la présence de sables argilo-calcaires sur le substratum basaltique[C 2] » ;
- séisme (zone de sismicité de niveau 3) ;
- transport de matières dangereuses (la route départementale 2009).
Deux plans de prévention des risques naturels inondation ont été prescrits[18] :
- pour le Bédat (prescription le 27 décembre 1999, approbation le 6 mars 2002) ;
- pour divers cours d'eau (prescription le 24 juillet 2014).
La commune fait partie d'un territoire à risque important d'inondation (TRI de CLERMONT-FERRAND - RIOM)[18].
Plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle ont été déclarés pour la commune :
- tempête en 1982 (arrêté du 18 novembre 1982, JO du 19) ;
- inondations et coulées de boue à trois reprises en mai et juin 1992 (arrêtés du 4 février 1993, JO du 27) ;
- mouvements de terrain différentiels sur les périodes allant du au 31 décembre 1996 et de 1998 à 2000 (arrêté du 15 novembre 2001, JO du ) ;
- inondations, coulées de boue et mouvements de terrain à la fin de l'année 1999.
Histoire
Préhistoire
Le site fut habité dès le Paléolithique. Des fouilles archéologiques menées sur les coteaux de Chanturgue et de Châteaugay, ainsi que dans la vallée du Bédat, ont « mis au jour l'existence de silex taillés [ou] d'ossements d'animaux domestiques », ainsi que d'autres objets datés du Néolithique datés de « 5 500 à 1 800 ans avant notre ère »[C 3].
Antiquité
À la fin du Ier siècle av. J.-C., le village nommé Sabascum devient un bourg de première importance. En effet, le village est situé sur une voie romaine très fréquentée menant de Clermont-Ferrand à Bourges. Plusieurs dizaines de mètres de chaussée ont notamment été découverts au lieu dit Les Vergnes. Le bourg a prospéré grâce à cette position stratégique et l’effervescence économique est confirmée par la multitude des découvertes archéologiques (vases, médailles et figurines) réalisés au XIXe siècle[C 3].
Des fouilles archéologiques menées à l'occasion du chantier de construction du parc d'activités des Montels III en 2015 attestent de l'existence d'une voie romaine, de « bâtiments antiques maçonnés » développés « de part et d'autre d'un chemin de terre », ainsi que des sections d'aqueduc[21].
Moyen Âge
Au XIIe siècle, la cité cébazaire dépendait du comté d'Auvergne. Une charte est accordée par Alphonse de Poitiers en 1270. Les De La Roche, résidant au château de Tournoël, jouissent de la seigneurie pendant deux siècles, de 1398 à 1598[C 4].
La cité a connu d'importants dégâts lors du séisme de Limagne de 1490[22].
Époque moderne
Pendant les guerres de religion (fin du XVIe siècle), Cébazat « choisit le parti de la Ligue catholique » et est acquis en 1592 par les royalistes. Le patrimoine médiéval tombe à l'abandon à la fin du XVIIe siècle[C 5].
Révolution française
Aux débuts de la Révolution, Cébazat était totalement à l'écart des événements de la Bastille. Le 22 décembre 1789, elle est chef-lieu d'un canton de trois communes (avec Blanzat et Sayat)[C 5], avant d'être rattachée en 1801 au canton de Clermont-Ferrand-Est[23].
La place des Perches, renommée « place de la Fraternité », fut le lieu de cérémonies et de fêtes, comme le défilé de la garde nationale en 1790[C 5].
Époque contemporaine
Le XIXe siècle fut une période calme. Les deux guerres mondiales ont engendré une baisse de la population et Cébazat va connaître un exode urbain. Malgré le développement de l'industrie, le vignoble n'a pas disparu[C 6].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Cébazat est membre de la métropole Clermont Auvergne Métropole[24], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le (en tant que communauté d'agglomération Clermont Communauté, devenue communauté urbaine le et métropole depuis le ) dont le siège est à Clermont-Ferrand. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[25].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Clermont-Ferrand en 1801[23], à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[24]. Chef-lieu de canton jusqu'en 1801, elle faisait partie du canton de Clermont-Ferrand-Est jusqu'en 1982 puis au canton de Gerzat de 1982[23] à 2015.
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Cébazat pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[24], et de la première circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[26].
Élections de 2020
Le conseil municipal de Cébazat, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[27], pour un mandat de six ans renouvelable[28]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 29[29]. Les vingt-neuf conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 44,26 %[30], se répartissant en : vingt-six élus issus de la liste du maire sortant Flavien Neuvy et trois élus issus de la liste de Gabriel Fenaille[30].
Les deux sièges attribués à la commune au sein du conseil métropolitain de Clermont Auvergne Métropole sont issus de la liste de Flavien Neuvy[30].
Le conseil municipal élu en 2020 est composé de 29 membres, dont sept adjoints, dix-huit membres de la majorité et trois membres de l'opposition[C 7].
Chronologie des maires
Autres élections
Les résultats des élections depuis 2000 ont donné (au second tour) :
Élection | Année | Élu(e) | Battu(e) | Participation | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Présidentielle | 2002 | Jacques Chirac (UMP) | 88,91 % | Jean-Marie Le Pen (FN) | 11,09 % | 79,42 %[33] |
2007 | Nicolas Sarkozy (UMP) | 47,63 % | Ségolène Royal (PS) | 52,37 % | 85,05 %[34] | |
2012 | François Hollande (PS) | 60,63 % | Nicolas Sarkozy (UMP) | 39,37 % | 81,04 %[35] | |
Législatives | 2002 (1re circ.) | Odile Saugues (PS) | 52,02 % | Anne Courtillé (UMP) | 47,98 % | 60,28 %[36] |
2007 (1re circ.) | Odile Saugues (PS) | 59,05 % | Anne Courtillé (UMP) | 40,95 % | 60,41 %[37] | |
2012 (1re circ.) | Odile Saugues (PS) | 63,17 % | Jean-Pierre Brenas (UMP) | 36,83 % | 53,25 %[38] | |
Européennes (deux meilleurs scores) |
2004 | Catherine Guy-Quint | 40,20 % | Brice Hortefeux | 21,41 % | 43,22 %[39] |
2009 | Jean-Pierre Audy | 28,90 % | Henri Weber | 24,99 % | 40,06 %[40] | |
2014 | Liste UMP | 21,64 % | Liste FN | 19,72 % | 44,74 %[41] | |
Régionales | 2004 | Pierre-Joël Bonté | 56,14 % | Valéry Giscard d'Estaing | 43,86 % | 63,87 %[42] |
2010 | René Souchon | 64,68 % | Alain Marleix | 35,32 % | 52,19 %[43] |
Aux élections cantonales de 2008, dans le canton de Gerzat, Bernard Auby (PS) a recueilli 60,06 % des voix et Jean-Marc Balaguer (UMP) 19,35 %. 62,99 % des électeurs ont voté[44].
Aux élections municipales de 2014, le maire sortant ne s'est pas représenté ; Flavien Neuvy (UDI) a été élu au premier tour avec 63,63 % des voix et acquiert 24 sièges au conseil municipal dont deux au conseil communautaire ; Pascal Guittard a été battu avec 36,36 % des voix et n'acquiert les cinq sièges restants au conseil municipal. La participation à cette élection était de 67,15 %[45].
Budget municipal
Pour l'année 2022, le budget municipal s'est élevé à plus de 18 millions d'euros :
Fonctionnement | Investissement | Total |
---|---|---|
12 310 172,14 € | 6 382 742,14 € | 18 692 914,28 € |
Les taux d'imposition sont les suivants : foncier bâti 36,11 %, foncier non bâti 106,77 %[C 8].
Jumelages
Cébazat est jumelée avec Gerstetten, commune du Land de Bade-Wurtemberg, en Allemagne, depuis le 27 juin[réf. souhaitée] 1992[C 9].
Le contrat de jumelage avec une ville allemande de la Bavière et du Bade-Wurtemberg fut décidé dès 1989. Il est signé le . Le jumelage a permis, par exemple, de créer des échanges avec Gerstetten[C 10].
Équipements et services publics
Enseignement
Cébazat fait partie de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère deux écoles maternelles et deux écoles élémentaires publiques (groupe scolaire Jules-Ferry et Pierre-et-Marie-Curie) ; il existe aussi une école élémentaire privée Sainte-Cécile[46].
Les collégiens sont scolarisés à Gerzat[47]. Les lycéens se rendent à Clermont-Ferrand, au lycée Ambroise-Brugière pour les filières générales et STMG ou aux lycées Lafayette ou Roger-Claustres pour la filière STI2D[48].
En 2012, l'université d'Auvergne a ouvert une antenne de la faculté de médecine, l'Institut universitaire de formation en ergothérapie. Cet institut se situe dans l'hôpital Nord de Cébazat, 25 ergothérapeutes diplômés d'État en sortent chaque année.
École de musique
L'école de musique a été créée en 1980 par Bernard Auby, maire de la commune. Dominique Fusciello en fut le directeur à sa création.
Elle est actuellement dirigée par Yann Maniez.
D'abord située dans les locaux du groupe scolaire Jules-Ferry, elle a été transférée au Sémaphore à sa construction.
Depuis peu, elle a pris une dimension intercommunale puisqu'elle s'est étendue aux communes de Blanzat, Châteaugay, Durtol et Nohanent ce qui a permis d'augmenter le nombre d'instruments enseignés et d'obtenir une place plus importante au sein de la métropole clermontoise.
Justice
La commune dépend de la cour administrative d'appel de Lyon, de la cour d'appel de Riom, de la cour d'assises du Puy-de-Dôme à Riom, des tribunaux administratif, judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[49].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].
En 2019, la commune comptait 8 805 habitants[Note 4], en augmentation de 17,86 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,3 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 159 hommes pour 4 568 femmes, soit un taux de 52,34 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
TriNa Orchestra
En 2011 s'est déroulé le premier épisode d'une série de rencontres entre jeunes musiciens des villes de Cébazat, de Gerstetten (Allemagne) et de Pilisvörösvár (Hongrie), afin de former un orchestre européen, le TriNa Orchestra[55].
La première rencontre s'est déroulée en Allemagne du 25 avril au 2 mai 2011 avec un concert donné le 30 avril à Heldenfingen[56] ; la deuxième en France du 8 au 15 avril 2012 avec un concert donné le 14 avril au Sémaphore[57] ; la troisième en Hongrie du 20 au 28 juillet 2013 avec un concert le 26 juillet à Pilisvörösvár[58]. La quatrième (« Trina 4ever ») a eu lieu à Gerstetten les 30 et 31 mai 2014[59].
La deuxième saison se déroule en 2015 à Gerstetten[60], en 2016 à Pilisvörösvár[61] et en 2017 à Cébazat.
Sports
La ville dispose d'un complexe sportif avec quatre terrains de football gazonnés, un gymnase, de deux salles pour la pratique des arts martiaux, un tennis couvert ainsi que quatre courts extérieurs.
Ailleurs dans la ville, on retrouve également un street park ouvert aux jeunes, équipé d'un terrain pouvant se prêter à la pratique du basket-ball ou du football.
De nouvelles infrastructures de football ont été créées dans le domaine de la Prade depuis son rachat par la ville.
Économie
La zone industrielle de Ladoux, située à l'écart de la ville, sur une colline à l'est de la voie express qui relie Clermont-Ferrand à Riom, constitue la principale source de revenus de la commune grâce à la contribution économique territoriale.
De grandes entreprises y sont présentes. On peut citer, par exemple, le centre d'études et les pistes d'essais de Michelin, T.F.E., Fenwick-Linde, etc.
Michelin est installé sur le site de Ladoux depuis 1965 ; progressivement, les équipes de recherche et de recherche et développement du groupe, ainsi que des unités de haute technologie, se sont établies sur ce site et de nouveaux bâtiments ont été construits. En 2013, le centre de Ladoux emploie 3 300 personnes et occupe 150 hectares ; les pistes destinées aux essais des pneumatiques, situées en contrebas des bâtiments, ont un développement de 41 km. En décembre 2013 est posée la première pierre du futur Campus RDI (Recherche, développement et industrialisation) comprenant un bâtiment de 67 000 m2, prévu pour 1 600 postes de travail[62][réf. incomplète].
Revenus de la population
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 33 225 €, ce qui plaçait Cébazat au 10 385e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[63].
Emploi
En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 4 426 personnes, parmi lesquelles on comptait 68,4 % d'actifs dont 61,8 % ayant un emploi et 6,6 % de chômeurs[a 3].
On comptait 5 550 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 2 751, l'indicateur de concentration d'emploi est de 201,7 %, ce qui signifie que la commune offre plus de deux emplois par habitant actif[a 4].
La répartition des 5 684 emplois par catégorie socio-professionnelle et par secteur d'activité est la suivante :
Échelle | Agriculteurs exploitants | Artisans, commerçants, chefs d'entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers |
---|---|---|---|---|---|---|
Commune[a 5] | 0,1 % | 3,2 % | 23,8 % | 30,5 % | 16,3 % | 26,2 % |
Département[64] | 2,4 % | 6,5 % | 15,3 % | 24,7 % | 28,3 % | 22,8 % |
France[65] | 1,7 % | 6,5 % | 17,2 % | 25,6 % | 28,1 % | 20,8 % |
Les professions intermédiaires sont plus nombreuses, c'est l'un des trois indicateurs supérieurs aux moyennes départementale et nationale.
Échelle | Agriculture | Industrie | Construction | Commerce, transports, services divers |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale |
---|---|---|---|---|---|
Commune[a 6] | 0,5 % | 10,5 % | 6,7 % | 66,2 % | 17,1 % |
Département[64] | 3,3 % | 16,1 % | 6,8 % | 41,3 % | 32,5 % |
France[65] | 2,8 % | 12,7 % | 6,8 % | 46,1 % | 31,6 % |
2 488 des 2 751 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 90,4 %) sont des salariés[a 7]. 77,2 % des actifs travaillent hors de la commune de résidence[a 8].
Entreprises
Au , Cébazat comptait 332 entreprises : 29 dans l'industrie, 57 dans la construction, 196 dans le commerce, les transports et les services divers et 50 dans le secteur administratif[a 9].
En outre, elle comptait 410 établissements[a 10].
Au 31 décembre 2013, elle comptait 530 établissements actifs (6 819 postes salariés), dont la répartition est la suivante :
Secteur d'activité | Agriculture | Industrie | Construction | Commerce, transports, services divers |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale |
---|---|---|---|---|---|
Établissements actifs[a 11] | 1,7 % | 6,2 % | 13,6 % | 62,5 % | 16,0 % |
Postes salariés[a 12] | 0,3 % | 10,0 % | 5,8 % | 67,9 % | 16,0 % |
Quatorze entreprises avant plus de cinquante salariés, dont cinq émanaient du secteur du commerce, des transports ou des secteurs divers[a 11].
Agriculture
La viticulture a été pratiquée à Cébazat[66]
Au recensement agricole de 2010, la commune comptait neuf exploitations agricoles. Ce nombre est en nette diminution par rapport à 2000 (16) et à 1988 (28). La commune était orientée dans la polyculture et le polyélevage[67].
La superficie agricole utilisée sur ces exploitations était de 234 hectares en 2010, dont 15 ha sont alloués aux cultures permanentes. Aucune surface n'est « toujours en herbe »[67].
Industrie
Cébazat est le site retenu pour héberger un successeur de Luxfer pour la fabrication de corps creux, en l’occurrence des bouteilles en aluminium capables de contenir des gaz haute pression. Cette unité se nommera Les Forges de Gerzat, et sera portée par l'entreprise Europlasma[68].
Commerce et services
La base permanente des équipements de 2015 recense vingt-cinq commerces : trois supermarchés, deux épiceries, cinq boulangeries, deux boucheries-charcuteries, une librairie-papeterie-journaux, deux magasins de vêtements, un magasin d'équipements du foyer, un magasin de chaussures, trois magasins de meubles, trois fleuristes, un magasin d'optique ainsi qu'une station-service[69].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Quatre tours (Dherment, du lac, des Martres et du Seigneur) cernaient la ville au XVe siècle[C 4]. Elles deviennent des pigeonniers à la fin du XVIIe siècle[C 5]. La tour de l'Horloge, ou « Porte des Farges », a été reconstruite en 1754.
- L'église (XIIe siècle) est l'édifice le plus ancien de la commune. Son existence est attestée au XIe siècle. Le clocher, du XIXe siècle, remplace celui détruit pendant la Révolution[C 11].
- La lanterne des morts daterait du XVe siècle[C 12].
- Le château de La Mallarée.
- La place de la Halle a disparu ; seule subsiste la fontaine.
- Le parc Pierre-Montgroux, d'abord nommé « parc Chamerlat » (nom de la dernière famille propriétaire du domaine), a ensuite été renommé en l'honneur de l'ancien maire. D'une superficie de cinq hectares, il est décoré de nombreuses fleurs et possède un étang, où vivent des cygnes et des canards. Au fond du parc, on peut voir des paons, et le parc devient un vaste endroit de détente et d'amusement. Les enfants disposent d'une aire de jeux.[réf. nécessaire] Il a été racheté en 1980 par la mairie[C 13]. Un agrandissement du parc est prévu pour ouvrir en 2013, avec entre autres un plan d'eau de plus de 6 000 m2 ainsi que de nombreuses espèces végétales et animales.[Passage à actualiser]
- Le domaine de la Prade, qui fut un centre de formation EDF-GDF dès les années 1970, a été acquis en 2006 par la mairie. Il accueille des événements d'entreprises depuis 2011. Il est ouvert au public uniquement le week-end[C 14]. La ville réfléchit à un projet autour des 4 000 m2 de bâtiments.[Passage à actualiser]
- Maison du Peuple : De nos jours, la maison du Peuple est une des annexes de la caserne de pompiers.
- Mairie.
- Tour de l'Horloge ou beffroi.
- Église vue de la place de la Halle.
- Église et lanterne des morts.
- Château de La Mallarée.
- Place de la Halle.
- Château de la Prade.
- Maison du Peuple.
La place de la Commune-1871
Un marché a lieu sur la place de la Commune-1871 le jeudi et le dimanche. Elle accueille également le bal pour les festivités du 14-Juillet.
Le reste du temps, elle sert de parking en plein centre de la ville.
Sémaphore
Sémaphore est une salle de concerts, de théâtre et de danse. Elle a été inaugurée le 31 janvier 1998 en présence de la ministre de la culture de l'époque Catherine Trautmann.
Cette salle est composée d'un gradin amovible (de 314 places) et d'un balcon fixe (238 places). Sémaphore peut aussi accueillir des congrès dans ses nombreuses salles de réunion.
La salle a été dirigée depuis son ouverture et jusqu'en 2020 par Jacques Madebène. Elle est dirigée depuis par Hervé Lamouroux[70]
Le nombre d'abonnés a toujours augmenté d'une année sur l'autre. Sémaphore accueille en moyenne 35 à 40 spectacles par saison.
Tous les ans au mois de novembre se déroule un festival de chanson française : « Sémaphore en chanson », dont le vingtième anniversaire a été célébré en 2019[71]. Ce festival se présente sous la forme d'un concert sous chapiteau puis de deux concerts dans la grande salle.
Sémaphore est aussi utilisé comme salle municipale mise à disposition des associations de la ville et des entreprises[72].
Récompenses
Ville fleurie : trois fleurs[73].
Personnalités liées à la commune
- Pierre de Cébazat, architecte français ayant vécu au XIVe siècle, probablement né à Cébazat.
- Jean Tourlonias (1937-2000), peintre né à Cébazat et y ayant passé toute sa vie. Connu pour ses peintures de bolides dédicacées à des personnalités.
- Didier Ollé-Nicolle, ancien entraîneur du Clermont Foot 63, ayant résidé à Cébazat.
- Alexandre Lapandry, troisième-ligne de l'ASM Clermont Auvergne, résidant à Cébazat.
- Davit Zirakashvili, pilier franco-géorgien de l'ASM Clermont Auvergne, résidant à Cébazat, habite désormais à Châteaugay.
- Wesley Fofana, ailier français de l'ASM Clermont Auvergne, résidant à Cébazat, habite désormais à Châteaugay.
Voir aussi
Bibliographie
- Cébazat : d'hier et d'autrefois, Fusium, , 160 p. (ISBN 978-2-9529539-1-7)
- Élie Jaloustre, Étude sur les noms de terroirs de la commune de Cébazat, près Clermont, Imprimerie de G. Mont-Louis,
- Francine Mallot, Cébazat (1440-1676) ou l'emprise d'un chapitre sur une communauté,
- André-Georges Manry et Jean-François Aleil, Histoire des communes du Puy-de-Dôme, vol. 1, Horvath, , p. 243 et suiv.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Membre du bureau communautaire de la communauté d'agglomération Clermont Communauté de 2014 à 2016, puis de Clermont Auvergne Métropole depuis 2017.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Insee
- LOG T2 – Catégories et types de logements.
- LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 – Emploi et activité.
- EMP T7 – Emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2013.
- EMP T8 – Emplois par secteur d'activité.
- ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
- ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
- DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
- DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
- CEN T1 – Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2012.
- CEN T2 – Postes salariés par secteur d'activité au 31 décembre 2012.
- TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
- TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
- TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .
Site de la mairie
- « Plan Local d'Urbanisme » (consulté le ).
- « Connaître et prévenir les risques majeurs » [PDF] (consulté le ).
- « Origines » (consulté le ).
- « L'époque médiévale » (consulté le ).
- « L'époque moderne » (consulté le ).
- « La ville du XXe siècle » (consulté le ).
- « Les élus » (consulté le ).
- « Budget municipal » (consulté le ).
- « Jumelage » (consulté le ).
- « Historique », Jumelage (consulté le ).
- « Eglise » (consulté le ).
- « Lanterne des morts » (consulté le ).
- « Grilles du Parc Pierre-Montgroux » (consulté le ).
- « Le domaine de La Prade » (consulté le ).
Autres sources
- « Cébazat (63118) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
- Carte de Cébazat sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le ). Couches « Limites administratives », « Carte iGN » (opacité 50 %) et « Photographies aériennes » activées.
- Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [télécharger].
- Relevés météorologiques de Cébazat sur meteo.msn.com (consulté le 3 octobre 2010).
- Records de la station de Clermont-Ferrand sur lameteo.org (consulté le 3 octobre 2010).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site de l'écoquartier des Trois Fées.
- Calendrier du chantier de l'écoquartier des Trois Fées.
- SMTC et T2C, Guide horaires valable du 13 janvier au 29 juin 2014 [lire en ligne (page consultée le 23 mai 2014)], p. 155-161, 168-181 et 188-191.
- « Résultat de la recherche : Cébazat », sur macommune.prim.net (consulté le ).
- (oc) Josiane Guillot, Tiène Codert, Daniel Brugès, Parlem ! Vai-i qu'as paur ! : Revista trimestrala auvernhata, t. 18 : Los iganauds en Auvèrnha, Clermont-Ferrand / Thiers, Institut d'études occitanes, (lire en ligne).
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- Résultats de l'élection présidentielle de 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
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- Résultats des élections législatives de 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2012 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2004 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2009 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2014 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
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- « Bouteilles d’oxygène: Luxfer renaît de ses cendres », sur LEFIGARO, (consulté le )
- « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
- Frederic MESGUICH, « Une équipe », sur Sémaphore (consulté le )
- « Ville de Cébazat - Le festival Sémaphore en chanson fête ses 20 ans ! », sur www.cebazat.fr (consulté le )
- « Les Espaces », sur Sémaphore (consulté le )
- Palmarès des villes et villages fleuris (consulté le 3 octobre 2009).
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