Camburat
Camburat est une commune française, située dans l'est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Limargue, une région naturelle occupant une dépression verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.
Camburat | |
L'église Saint-Saturnin. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Figeac |
Intercommunalité | Communauté de communes Grand-Figeac |
Maire Mandat |
Daniel Paget 2020-2026 |
Code postal | 46100 |
Code commune | 46053 |
Démographie | |
Population municipale |
424 hab. (2019 ) |
Densité | 53 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 38′ 38″ nord, 1° 59′ 54″ est |
Altitude | Min. 192 m Max. 400 m |
Superficie | 8,03 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Figeac (banlieue) |
Aire d'attraction | Figeac (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Figeac-1 |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Drauzou, le ruisseau de la Dournelle, le ruisseau de Planioles et par divers autres petits cours d'eau.
Camburat est une commune rurale qui compte 424 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Figeac et fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Camburatois ou Camburatoises.
Géographie
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maurs », sur la commune de Maurs, mise en service en 1992[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 176,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].
Urbanisme
Typologie
Camburat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[I 1],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Figeac, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[I 2] et 13 328 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (82,6 %), forêts (10,7 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), zones urbanisées (0,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme Camburat est basé sur l'anthroponyme gallo-romain Camburus ou Cambarius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. Ce qui donna Camburacum puis Camburac. Le passage du -ac au -at auvergnat se serait fait à l'époque romane, aux alentours du XIIIe siècle. Ce serait le nom donné par un propriétaire nord-occitan, par un gavach : une personne descendue de la montagne vers la plaine pour la repeupler[20].
Histoire
Historiquement, c'est une paroisse née dans la dépendance des seigneurs de Cardaillac. L'histoire politique de Camburat est assez confuse tout au long du Moyen-Âge. Les intérêts des deux plus puissantes familles seigneuriales de cette partie du Haut-Quercy s'y mêlent allègrement : il est même étonnant que les Cardaillac aient toléré une possession des Barasc - ne serait-ce que le patronage d'un hôpital - sans qu'aucun conflit n'éclate entre eux.
Au XVe siècle, et certainement avant, même si on n'en a pas la preuve formelle, l'unique paroisse desservie dans l'église Saint-Sernin était partagée en deux seigneuries distinctes: la plus importante était installée au chef-lieu, l'autre plus modeste à Roques. Toutes les deux restèrent tout de même dans la sphère d'influence du castrum de Cardaillac : d'abord simple paroisse relevant de ce centre politique, la seigneurie de Cardaillac ne cessa d'être la vassale des coseigneurs de Cardaillac. La commune est très pauvre en vestiges aussi bien architecturaux qu'archéologiques du Moyen-Âge. La prospection du sol s'est révélée totalement infructueuse : aucun site pré ou protohistorique ni même gallo-romain ou médiéval n'a été découvert. La nature du terrain en est certainement une des causes : beaucoup de terre cultivées se trouvent dans la vallée du Deauzou, qui a connu un alluvionnement si important que les vestiges mobiles antiques et médiévaux doivent être à une profondeur inaccessible. Le toponyme est pourtant évocateur d'une présence gallo-romaine. C'est, en effet, un ancien Camburac : au Moyen-Âge les documents parlent de Camburaco, mais l'évolution linguistique n'a pas retenu la terminaison -ac.
La documentation du Bas Moyen-Âge témoigne toutefois d'une mise en culture intense. De nombreux textes concernent des acensements de mas isolés ou groupés, aussi bien dans la moitié septentrionale (Doulan) que méridionale (Roques) de l'actuel territoire communal. Le nombre de terroirs différents - une cinquantaine - rencontrés dans les actes concernant la seigneurie de Roques en est un autre témoin.
Pour les périodes antérieures, on est obligé d'extrapoler faute de documentation suffisante. La paroisse était peut-être érigée dès le Haut Moyen-Âge si on s'en réfère à l'invocation sous laquelle est placée l'église. Camburat n'était pas non plus le seul peuplement à cette époque puisque les abords du village de Roques sont les seuls à avoir conservé le souvenir du chemin Saint-Vivien. Des deux habitats groupés, le chef-lieu était le plus important et certainement le plus précoce, mais sa forme actuelle nous masque son évolution morphologique et sa possible organisation castrale. Il semble que le tort en revienne à une importante voie de communication qui a détourné l'habitat des rives du Drauzou et dispersé ensuite le long de son passage.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2019, la commune comptait 424 habitants[Note 6], en augmentation de 4,69 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 170 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 426 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 060 €[I 7] (20 740 € dans le département[I 8]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 9] | 3,3 % | 3,6 % | 5,7 % |
Département[I 10] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 264 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (71,5 % ayant un emploi et 5,7 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 8],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 12]. Elle compte 41 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 22 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 192, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,9 %[I 13].
Sur ces 192 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 37 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 92,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
20 établissements[Note 9] sont implantés à Camburat au [I 16]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 20 entreprises implantées à Camburat), contre 13,5 % au niveau départemental[I 17].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 27 | 13 | 12 | 4 |
SAU[Note 10] (ha) | 611 | 522 | 583 | 353 |
La commune est dans la Limargue », une petite région agricole occupant une bande verticale à l'est du territoire du département du Lot[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (27 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 353 ha[28],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Saturnin de Camburat. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[29].
Personnalités liées à la commune
- Antoine César de Conquans, seigneur de Camburat. Baptisé le 4 mai 1693 à Camburat. Décédé à Camburat le 9 septembre 1751. Inhumé dans l'église du lieu en présence de toute la paroisse. il fut maintenu dans sa noblesse le 7 juillet 1716[30][pertinence contestée].
Héraldique
Blason | Coupé : au 1er d'azur à un phénix couronné d'or sur son immortalité de gueules, au 2d de sinople à une brebis passante d'argent colletée, clarinée et onglée de pourpre[31]. |
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Détails | Le phénix couronné d'or rappelle l'aigle couronnée d’or sur azur des armoiries de la famille de Conquans, originaire d’Auvergne, qui résida à Camburat aux XVIIe et XVIIIe siècle.
Il symbolise aussi la renaissance de Camburat après le drame subi lors de la Seconde Guerre mondiale où 23 maisons ont été incendiées par la 2ème DB de l'armée allemande. La brebis symbolise l'importance de l'élevage pour la commune.Création Michel Degand, adoptée le . |
Voir aussi
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Figeac » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Camburat » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Camburat » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Camburat » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Camburat » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Maurs - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Camburat et Maurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Maurs - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Camburat et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Camburat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Camburat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Camburat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 41, 108, 129.
- « Les maires de Camburat », sur francegenweb.org, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Camburat - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Saturnin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Sources : registre paroissial de Camburat.
- « 46053 Camburat (Lot) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Liens externes
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