Camou-Cihigue

Camou-Cihigue est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Camou (homonymie) et Cihigue (homonymie).

Camou-Cihigue

L'église Saint-Pierre de Camou.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Charles Anicet Leurgorry
2020-2026
Code postal 64470
Code commune 64162
Démographie
Gentilé Gamerear
Population
municipale
101 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 02″ nord, 0° 54′ 17″ ouest
Altitude Min. 208 m
Max. 1 009 m
Superficie 10,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Camou-Cihigue
Géolocalisation sur la carte : France
Camou-Cihigue
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Camou-Cihigue
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Camou-Cihigue

    Le gentilé est Gamerear[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Camou-Cihigue se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 69 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 36 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 14 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Alçay-Alçabéhéty-Sunharette (2,3 km), Alos-Sibas-Abense (2,5 km), Ossas-Suhare (3,0 km), Trois-Villes (3,1 km), Tardets-Sorholus (3,5 km), Lichans-Sunhar (3,7 km), Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut (3,8 km), Etchebar (3,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Camou-Cihigue fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.

    Paysages

    Cihigue.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Camou-Cihigue.

    La commune est drainée par Ossinague erreka, Péko Ibar erreka, le ruisseau Guéchala et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[13],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 536 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Licq-Atherey », sur la commune de Licq-Athérey, mise en service en 1970[19] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 507,1 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 50 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[23], à 13,4 °C pour 1981-2010[24], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[25].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[27],[Carte 2] :

    • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[28] ;
    • le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[29] ;

    et une au titre de la « directive Oiseaux »[27],[Carte 3] :

    • la « Haute Soule : forêt des Arbailles », d'une superficie de 7 114 ha, présentant une grande diversité de milieux à des altitudes moyennes fournissant gîte et couvert pour la faune ornithologique pyrénéenne[30].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[31],[Carte 4] : les « bordures méridionale et orientale de la forêt des Arbailles » (2 763,19 ha), couvrant 4 communes du département[32] et la « forêt des Arbailles » (6 283,64 ha), couvrant 9 communes du département[33] et une ZNIEFF de type 2[Note 9],[31],[Carte 5] : le « massif des Arbailles » (14 782,04 ha), couvrant 13 communes du département[34].

    Autres milieux naturels

    À la fin du XIXe siècle, la forêt des Arbailles couvrait en partie le territoire de la commune ainsi que ceux d'Aussurucq, Béhorléguy, Musculdy, Ordiarp et Saint-Just-Ibarre.

    Urbanisme

    Typologie

    Camou-Cihigue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[35],[36],[37]. La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), prairies (13,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    Quatre quartiers composent la commune de Camou-Cihigue[41] :

    Camou
    • Gamere (Camou en français)
    Cihigue
    • Kharrika
    • Hiriondo
    • Sobe

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Camou était aussi appelée Camou-Soule[42] pour la différencier de Camou-Mixe en pays de Mixe.

    Le toponyme Cihigue apparaît sous la forme Cihiga (1520[42], coutume de Soule[43]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Gamere-Zihiga[1].

    Histoire

    Camou et Cihigue ont été réunis par ordonnance royale du 7 janvier 1831.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 2014 Jean-Baptiste Aguer DVD  
    2014 2020 Jean-Philippe Petit    

    Intercommunalité

    La commune fait partie de neuf structures intercommunales[44] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

    En 2019, la commune comptait 101 habitants[Note 11], en augmentation de 4,12 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    171143129160363371337349351
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    345325321312298306300286280
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    271268253238222200209212167
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    171148140133119114107106101
    2017 2019 - - - - - - -
    101101-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    La grotte des lamiñak (ou Lamiñen ziloak en basque) est très connue dans ce village. Elle se situe près de la maison Eiezkia et à 400 mètres de l'église. Elle se présente sous la forme de trois ouvertures desquelles sort de l'eau salée ; une de ces résurgences jaillit à 34 °C, appelée localement guesala. On lui attribue des propriétés curatives.

    Pastorale 2007

    En 2007 (29 juillet et 5 août), Camou-Cihigue a organisé la pastorale sur le thème d'Eñaut d'Elizagarai, lieutenant général des armées royales sous Louis XIV et natif d'Armendarits.

    Patrimoine civil

    Des peintures rupestres ornent les parois de la grotte Etcheberriko-Kharbia[49], datant du Paléolithique supérieur. Le site a été classé aux monuments historiques en 1952. À voir aussi le gouffre de Bechanka (Bexanka en basque).

    Patrimoine religieux

    L'église romane Saint Pierre[50], située à Camou et dont les origines remontent au milieu du Moyen Âge, a été remaniée aux XIXe et XXe siècles.
    L'église romane Notre-Dame[51], sise à Cihigue et dont les origines remontent également au milieu du Moyen Âge, a été rénovée en 1828.

    Camou, vitrail saint Bernard.
    Camou, vitrail saint François d'Assise.
    Camou, vitrail sainte Bernadette.
    Camou, vitrail Jeanne d'Arc

    Équipements

    La commune dispose d'une école primaire. Sa fermeture a été fixée à la fin de l'année scolaire 2008/2009, mais les villageois refusant sa fermeture et se battant pour la maintenir ouverte, en cette rentrée 2009 elle devient un symbole de « la lutte contre la mort programmée des services publics en milieu rural ». L'école a, à la suite des mouvements politiques récents, dû fermer peu après les vacances de la Toussaint. Jusque-là, c'était des bénévoles qui faisaient la classe aux enfants.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Camou-Cihigue » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Camou-Cihigue », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type I sur la commune de Camou-Cihigue », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Camou-Cihigue », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Camou-Cihigue », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Camou-Cihigue et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Camou-Cihigue et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Camou-Cihigue et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Camou-Cihigue », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    12. Carte IGN sous Géoportail
    13. « Fiche communale de Camou-Cihigue », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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    20. « Orthodromie entre Camou-Cihigue et Licq-Athérey », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    22. « Orthodromie entre Camou-Cihigue et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    27. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Camou-Cihigue », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « site Natura 2000 FR7200752 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « site Natura 2000 FR7212004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « Liste des ZNIEFF de la commune de Camou-Cihigue », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    34. « ZNIEFF le « massif des Arbailles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    41. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    42. Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
    43. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    48. Ministère de la culture, base Mérimée - Fiche sur la grotte Etcheberriko-Kharbia
    49. Ministère de la culture, base Mérimée - Fiche sur l'église Saint-Pierre
    50. Ministère de la culture, base Mérimée - Fiche sur l'église Notre-Dame
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