Saint-Just-Ibarre

Saint-Just-Ibarre est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Just et Ibarre.

Saint-Just-Ibarre

Saint-Just et la vallée de la Bidouze.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
André Larralde
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64487
Démographie
Gentilé Donaixtiar
Population
municipale
206 hab. (2019 )
Densité 6,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 43″ nord, 1° 03′ 19″ ouest
Altitude Min. 172 m
Max. 1 179 m
Superficie 30,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Just-Ibarre
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Just-Ibarre
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Saint-Just-Ibarre
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Just-Ibarre

    Elle a été créée le 25 juin 1841 par la fusion des communes de Saint-Just et d'Ibarre.

    Le nom basque est Donaixti-Ibarre et le gentilé Donaixtiar ou ibartar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Just-Ibarre se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 107 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 66 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 22 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Bunus (2,1 km), Ibarrolle (3,2 km), Juxue (4,7 km), Hosta (4,7 km), Larceveau-Arros-Cibits (5,4 km), Pagolle (6,3 km), Ostabat-Asme (7,0 km), Gamarthe (7,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Just-Ibarre fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays d’Ostabarret (Oztibarre), à l’est de ce territoire[11].

    Communes limitrophes de Saint-Just-Ibarre[12]
    Bunus Juxue Pagolle
    Ibarrolle Musculdy
    Hosta Béhorléguy
    (par un quadripoint)
    Aussurucq

    Géologie, sismicité

    La région est une région essentiellement constituée de flyschs du Crétacé supérieur, très épais (plusieurs kilomètres) et à fort pendage, adossés au terrains karstiques des Arbailles[Carte 1]. De plus il existe des dépôts alluvionnaires (sables et argiles surmontés de limons) du quaternaire[13] le long de la Bidouze et de l'Ur Handia[Carte 2],[Carte 3]. Il existe un certain nombre de sources mais de débit trop faible pour des captages, inexistants sur la commune qui est alimentée par les sources Zahagui et Hastokia à Hosta et Ur Belcha à Musculdy[14].

    La région est située en zone sismique 4[15] correspondant à un risque moyen. Les évènements récents (depuis 1980) les plus importants se sont produits en 1982 et 2010. Situés à 5 km de profondeur, leurs magnitudes étaient ML=3.9 et ML=3.8, respectivement[16]. Ils ont donc été ressentis par la population mais n'ont pas créé de dommages.

    Hydrographie

    La commune est drainée par la Bidouze, Ispatchoury erreka, Hosta ur Handia, Babatzeko erreka, Chorizako erreka, Ihityko erreka, Larramendiko erreka, Netheko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[17],[Carte 4].

    L'hydrographie de la commune entraîne la présence de 19 ponts ou passerelles[18].

    La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq à la limite de la commune de Saint-Just-Ibarre et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[19]. Sa source constitue une exsurgence du poljé d'Elsarre (Eltzarreordokia)[20] qui est à cheval sur les communes d'Hosta et d'Aussurucq[Carte 5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[22].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 595 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[26] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 49 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[30], à 14,3 °C pour 1981-2010[31], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[32].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[34],[Carte 6] :

    • le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[35] ;
    • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[36] ;

    et une au titre de la « directive Oiseaux »[34],[Carte 7] :

    • la « Haute Soule : forêt des Arbailles », d'une superficie de 7 114 ha, présentant une grande diversité de milieux à des altitudes moyennes fournissant gîte et couvert pour la faune ornithologique pyrénéenne[37].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[38],[Carte 8] : la « forêt des Arbailles » (6 283,64 ha), couvrant 9 communes du département[39] et trois ZNIEFF de type 2[Note 9],[38],[Carte 9] :

    • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[40] ;
    • le « massif des Arbailles » (14 782,04 ha), couvrant 13 communes du département[41] ;
    • le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[42].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Just-Ibarre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[43],[44],[45]. La commune est en outre hors attraction des villes[46],[47].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,8 %), prairies (2,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[48].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 10].

    Lieux-dits et hameaux

    Ibarre et sa vallée.
    • Arlacondo ;
    • Ametzague ;
    • Donaïki ;
    • Ibarre ;
    • Ordokia ;
    • Saint-Jaime ;
    • Saint-Just.

    Histoire

    La D 918 entre Larceveau et Mauléon s'est appelée RD 2 jusqu'en 1933. Devenue nationale, elle a été déclassée dans les années 70.

    Le tronçon Cibits - col d'Osquich a été entièrement modifié à la fin du XVIIIe siècle[49].

    En 1881 une ligne de tramway à voie métrique est envisagée entre Saint-Palais et Saint-Jean-Pied-de-Port avec un embranchement à Larceveau vers Saint-Just[50]. En 1912 la ligne est déclarée d'intérêt public et les expropriations commencent en 1914. La première guerre mondiale provoquera l'arrêt du projet.

    Actuellement

    Saint-Just-Ibarre est desservie par la route départementale D 918 Musculdy-Larceveau, ainsi que par la D 68 et la D168 vers Hosta.

    La gare TER la plus proche est celle de Saint-Jean-Pied-de-Port à 21 km (ligne Saint-Jean-Pied-de-Port - Bayonne). La gare TGV la plus proche est celle d'Orthez à 54 km (ligne Tarbes - Paris Montparnasse).

    L'aéroport le plus proche est celui de Biarritz-Pays Basque à 65,1 km.

    96,8 % des ménages ont au moins une voiture et 52,6 % en ont deux ou plus en 2018[51]. Les transports utilisés en 2018 pour se rendre au travail sont les suivants[52] :

    Moyen de déplacement
    pas de déplacement12,6 %
    marche, roller, patinette7,4 %
    vélo (y compris VAE)0
    2 roues motorisées1,1 %
    voiture77,9 %
    transport en commun1,1 %

    Toponymie

    Mentions anciennes

    Le toponyme Saint-Just apparaît sous les formes S(an)c(tu)s Jacobus, ostau de sent jagme (1365), S(an)c(tu)s justus de eq(ui)se[53], Sent-Just deu pays d'Ostabares (1477[54], contrats d'Ohix, feuillet 48[55]), Sant-Just (1513[54], titres de Pampelune[56]).

    Le toponyme Ibarre apparaît sous les formes ybarola (1167)[57], yvarra (1350)[57], Nostre-Done d'Ibarre (1472[54], notaires de Labastide-Villefranche, n° 2, feuillet 22[58]) et Ibarren (1513[54], titres de Pampelune[56]).

    Le lieu-dit Ametzague, ancien fief vassal du royaume de Navarre, est mentionné en 1863[54] sous la forme Amexague.

    Le lieu-dit Saint-Jaime (Donaiki, Saint-Jacques), issu de la maison éponyme, est mentionné sous la forme lostau de sent jagme (1365) et lostau de s(ant) yacube (1412)[57].

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Donaixti-Ibarre[1].

    Au XIXe siècle, on trouve les formes Donisti-Ibarre[54], Donaxti-Ibarre[59] et Donaisti-Ibarra[60].

    Histoire

    Au Moyen Âge Saint-Just était sur le passage d'une voie secondaire des chemins de Compostelle passant par la commanderie d'Ordiarp et le col de Napale ou celui d'Ehüsa (ou Ehutsa)[Carte 11]. Les pélerins allaient alors à Saint-Jean-Pied-de-Port soit en rejoignant le camino navarro par Cibits et Utxiat, soit par Ibarrolle, le col d'Azkonzabal et Saint-Jean-le-Vieux. Le prieuré-hôpital qui les accueillait, situé dans le quartier Arlakondo, dépendait de l'abbaye Saint-Jean de Sorde[61],[Note 11].

    Une première délimitation du sud de la commune d'Ibarre et donc de celle de l'Ostabarret en 1765 entraîne la création d'une région de quint : le Quinto d'Ostibar-Garaci, de faible extension dans cette partie du territoire[62]. Il s'agit d'une zone de terres communes indivises. C'est une réminiscence des fasceries du Moyen Âge scellant les accords d'exploitation des régions entre deux vallées. La délimitation définitive aura lieu en 1830.

    La commune actuelle a été créée le [63] par la réunion des communes de Saint-Just et d'Ibarre, à l'instar de nombreuses communes des Basses-Pyrénées dans la période 1841-1842.

    Le XIXe siècle voit un exode massif des basques vers l'Amérique, particulièrement l'Argentine. En 1910 dans ce pays les familles dont le nom est à consonance basque représentent 10 % de la population et détiennent 80 % de l'économie. Pour Saint-Just-Ibarre le consulat de France à Buenos Aires enregistre 48 noms entre 1830 et 1900[64]. L'un d'entre eux, fameux pour sa réussite, est Pierre Luro.

    La Première Guerre mondiale entraîne une hécatombe d'hommes jeunes puisque 27 d'entre eux meurent. Cela représente environ un tiers des hommes de la tranche 21-49 ans susceptibles de porter une arme[65],[66].

    Lors de la seconde guerre mondiale la France est coupée en deux par la ligne de démarcation qui suit la RN133. Saint-Just-Ibarre est en zone libre, proche du contrôle des passages à Cibits d'une zone à l'autre, coupée des villes proches Saint-Palais et Saint-Jean-Pied-de-Port. Au cours de cette guerre trois jeunes hommes meurent[65].

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Garicoïts, né en 1797 à Ibarre et décédé en 1863, est un prêtre, fondateur des prêtres du Sacré-Cœur de Jésus, canonisé en 1947.
    • Pierre « Pedro » Luro, né le 10 mars 1820 à Saint-Just, fils de métayer, émigre en Argentine vers 1837. Il y fait fortune comme gaucho. De retour en France il fait construire la villa Juliette à Cambo-les-Bains, devenu l'hôtel d'Angleterre[67] (fermé en 2004). Il meurt à Cannes le 28 février 1890. Il existe un monument à son nom à Mar del Plata[68].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé au 1 d'azur au pèlerin marchant vêtu et capuchonné le tout d'argent s'appuyant de la main senestre sur un bourdon de sable à la gourde d'argent, cantonné en chef à senestre d'une coquille Saint-Jacques d'or et à dextre d'un cœur croisé le tout du même ; au 2 d'or à une montagne de sinople montante d'une rivière d'argent en pointe ; au 3 d'or au hêtre arraché de sinople fruité d'or et futé au naturel ; au 4 d'azur à une brebis passante au naturel accornée d'or posée en pointe et une palombe volante d'argent posée en chef[69].

    Politique et administration

    Administration

    Pour la période antérieure à 1841 les maires de la commune de Saint-Just et les maires de la commune d'Ibarre sont données dans les articles correspondants.

    Liste des maires successifs[70]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1841 1846 Dominique Yribarne    
    1846 1900 Sauveur de Saint-Jayme[71]   Notaire, juge de paix, conseiller général
    1901 1914 Jean Etcheberry    
    1914 1935 Jacques Bidegainberry    
    1935 1959 Pierre Iribarne    
    1960 1965 Jean-Baptiste Etcheberry    
    1965 1995 Pierre Uhart    
    1995 2008 Antoine Cabanne[72] DVG Ingénieur
    2008 2014 Jean-Pierre Vigneau    
    2014 En cours André Larralde   Professeur

    Intercommunalité

    Saint-Just-Ibarre appartient à six structures intercommunales[73] :

    • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
    • le syndicat AEP de l'Ostabaret ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
    • le syndicat pour le fonctionnement des écoles d'Ostibarret.

    La commune accueille le siège du syndicat pour le fonctionnement des écoles d'Ostibarret.

    Population et société

    Démographie

    Le recensement[74] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé sur ordre de Charles III de Navarre[75], comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[76], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Ibarre la présence de 5 feux, le second de 13 feux. Saint-Just n'apparaît qu'au dénombrement de 1551 avec 13 feux.

    Avant 1841 : Saint-Just et Ibarre

    179318001806182118311836
    Saint-Just438445465565573654
    Ibarre148168173160176146
    Total586613638725749800

    Après 1841 : Saint-Just-Ibarre

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[77]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[78].

    En 2019, la commune comptait 206 habitants[Note 12], en diminution de 11,59 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    438445465565573654827830694
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    704648634653603611564524545
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    543555557502538531554491420
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    400404374304292255235226239
    2014 2019 - - - - - - -
    231206-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[79] puis Insee à partir de 2006[80].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Logement

    En 2018 les 141 résidences se partagent en 119 maisons (84,7%) et 21 appartements (14,6%). Le nombre moyen de pièces est de 5,9 pour les maisons et 3,7 pour les appartements[52].

    Logements en 2018
    nombrepourcentage
    résidences141---
    principales9970,4
    secondaires2719,3
    vacantes1510,3
    Date de construction des résidences principales
    nombrepourcentage
    avant 19194748,9
    1919-194577,6
    1946-197066,5
    1971-19901515,2
    1991-20051010,9
    2006-20151010,9

    Emploi et revenus

    En 2019 le revenu médian par unité de consommation est de 20 890 [52] contre 22 040  pour l'ensemble des Français[81].

    En 2018 les résidents occupent 99 emplois dont 46 sont situés sur la commune. Ces emplois se répartissent de la façon suivante[52] :

    Type d'emploi
    salarié54fonction publique, CDI43
    CDD9
    Intérim1
    Emploi aidé---
    apprentissage, stage1
    non-salarié44indépendant26
    employeur18
    aide familial---

    Économie

    L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique bâtie en 1907et d'une ikastola nommée Manex Erdozaintzi-Etxart[82].

    Historiquement, deux écoles de garçons existent en 1809 à Saint-Just et Ibarre. Une école de filles est créée en 1859. En 1949 une école intercommunale Saint-Just / Musculdy est créée dans le quartier Arlacondo en 1946. Elle fonctionnera jusqu'en 1968. À cette date tous les enfants sont regroupés dans le bâtiment actuel. En 1987 un accord intercommunal avec Bunus entraîne le partage des élèves entre ces deux communes en fonction de l'âge des élèves, les plus jeunes étant scolarisés à Saint-Just[83].

    Au début des années 50 le collège catholique Saint-Michel fondé par les Filles de la Croix prépare les filles au CAP agricole. Il devient un établissement d'éducation primaire en 1967 puis secondaire (jusqu'à la 4e) en 1969. Les effectifs diminuant avec la création du ramassage scolaire vers Saint-Palais l'établissement ferme en 2009[83].

    Équipements

    La commune possède deux frontons, l'un à Saint-Just (1944), un autre à Ibarre (1932), ainsi qu'un mur à gauche abrité dans l'ancien collège Saint-Michel.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine naturel

    • La source de la Bidouze sur un site à cheval avec la commune d'Aussurucq est une exsurgence alimentée par un poljé sur la commune d'Aussuruq[20]. Il s'agit d'un site protégé[84].
    • La grotte Artzean harpea dans le massif du Belchou est une exsurgence (comme la source de la Bidouze) dans laquelle on a trouvé des ossements d'ours datés de 8000 à 9000 ans avant notre ére.

    Patrimoine civil

    • La ferme Senimenea[85] ou Donaikia date du XVIe siècle. C'est la maison de la famille Saint-Jayme remontant à Guillaume-Arnaud né vers 1315[86].
    • La fermes Etxeparea date de 1642. La maison franche (casa mayor) d'Etcheparea est citée en 1412[87],[88].
    • La ferme Ordokia date du XVIIe siècle. Elle est citée comme maison franche en 1350 (ordoquigoyen)[89].
    • La maison Ametzaga date de 1656. Elle est citée en tant que maison noble (ametçaga en 1350, la salle d'ametçague en 1412)[88].
    • La maison Ibarbeheiti (ou Ibargoitia) comporte des éléments différemment datés. Elle est citée comme maison noble en 1365 (salle ibarty) et en 1412 (la sal(le) divarrbeheyti)[88].
    • Il a existé de nombreux moulins à eau sur la Bidouze, le Hostia ur Handia et le Corizako erreka[90],[Carte 12] ;
      • certains on disparu comme celui de Saint-Jaime, les deux moulins à Ordokia alimentés par un même canal de dérivation et le Kurutxetako Eyhera bâti au début du XIXe siècle, ainsi que l'Ibargoitiko Eyhera à Arlacondo,
      • d'autres subsistent en assez bon état dans la vallée d'Arla : le Bidarteko Eyherak avec son annexe, l'Arlako Eyhera et le Aguntxaco Eyhera. Il y a également un moulin dans le bourg, le Carteyako Eyhera dans une ancienne maison de donat, avec meule et trémie.
    • Il existe également un petit patrimoine constitué de fours à chaux et lavoirs[91].

    Patrimoine religieux

    • La chapelle de l'Assomption de la Sainte Vierge, Sanctus Maria de ivarre[95],[96], à Ibarre, date du XVe siècle.
    • L'église Saint-Just-et-Bon-Pasteur[97], à Saint-Just, date de 1751.
    • L'église Saint-Sauveur (S(anct)us salvador de iriundo) à Saint-Just citée sur le cartulaire de Dax[53] a disparu. Elle figure déjà comme chapelle ruinée sur la carte de Cassini[Carte 13].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[33].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. Des documents de l'assemblée capitulaire de Sorde mentionnent un don de Pierre d'Uhart et de Loup d'Ainhice en 1135 et la présence d'un prieur-hospitalier à Saint-Just en 1146.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
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    2. « Alluvions de l'Adour et de l'Echez, l'Arros, la Bidouze et la Nive »
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    11. « Carte IGN », sur Géoportail
    12. « Cadastre napoléonien : Saint-Just-Ibarre »
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    Références

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    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
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    93. Paul Badiola, « Les monuments protohistoriques », Jakintza, no 73,
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    95. « la chapelle de l'Assomption de la Sainte Vierge », notice no IA64000788, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    96. « Liste des églises du diocèse de Dax donnée dans l’acte n° 174 du Liber rubeus »
    97. « l'église Saint-Just et Bon Pasteur », notice no IA64000787, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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