Cannectancourt
Cannectancourt est une commune française située dans le nord-est du département de l'Oise et au centre de la région Hauts-de-France. Elle se trouve près de Noyon et à une centaine de kilomètres au nord de Paris.
Cannectancourt | |||||
La mairie-école | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays des Sources | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Knauss 2020-2026 |
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Code postal | 60310 | ||||
Code commune | 60126 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cannectancourtois, Cannectancourtoises | ||||
Population municipale |
502 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 66 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 33′ 03″ nord, 2° 54′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 46 m Max. 182 m |
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Superficie | 7,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Thourotte | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://cannectancourt.over-blog.com/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Cannectancourtois[1].
Géographie
Description
Cannectancourt, est un village picard du Noyonnais sitié à 8 km au sud-ouest de Noyon, 16 km au nord de Compiègne, 26 km au sud-est de Montdidier et 43 km au sud-ouest de Saint-Quentin, niché au creux d’un petit vallon, formé par la colline de Loermont à l’ouest et le plateau d’Attiche au sud.
Il est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 32 (actuelle RD 932).
Le sentier de grande randonnée Sentier de grande randonnée 123 traverse le territoire communal.
Au milieu du XIXe siècle, le territoire communal était décrit comme occupant « la vallée aquatique située entre les coteaux de Thiescourt et les collines boisées sur lesquelles le canton de Lassigny fa sa limite méridionale. La Divette sépare au nord-est cette commune de celle d'Evricourt. Le ruisseau de l'Ecassy travere presque tout le territoire[2] »
Communes limitrophes
Évricourt | ||||
Thiescourt | N | Ville | ||
O Cannectancourt E | ||||
S | ||||
Chevincourt | Machemont | Ribécourt-Dreslincourt |
Hydrographie
La Divette, un affluent de l'Oise en rive droite et donc sous-affluent de la Seine, constitue avec ses marais la limite nord du territoire communal.
Le Ru d’Orval est un ruisseau traversant le village, qui prend sa source dans le Marais de l’Écassy et rejoint la Divette entre Évricourt et le Moulin d’Épinoy.
Le Ru des Aulnes constitue, lui, la limite ouest du territoiore communal et conflue dans la Divette près de quatre étangs.A l'est du territoire se trouve un ruisseau intermitant, ke Ru des Prés Faconet
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[9] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 37 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Cannectancourt dispose d'une mare aménagée par la commune près de l’église, riche de sa biodiversité où prolifèrent insectes, oiseaux et amphibiens[16].
Urbanisme
Typologie
Cannectancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,7 %), terres arables (35,7 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (6 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Lieux-dits, hameaux et écarts
On peut noter :
- La Montagne d’Attiche, située au sud du village de Cannectancourt. Son sommet culmine à 188 m d’altitude. Autrefois s’y trouvait une ferme, détruite pendant la Première Guerre mondiale. Son plateau d’une centaine d’hectares est encore largement cultivé.
- Loermont, petit promontoire boisée s’avançant entre les communes de Cannectancourt et de Thiescourt.
- La Carmoye, ferme à l’écart du village sur un plateau voisin de la Montagne d’Attiche.
- Orval. Il formait autrefois un hameau du village ; une rue de la commune porte aujourd’hui ce nom.
- Place du Barlet : Place principale du village, traversée par le ru d’Orval. On y trouve une salle des fêtes.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 219, alors qu'il était de 215 en 2013 et de 213 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 4,1 % des résidences secondaires et 4,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,5 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cannectancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,1 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Cannectancourt[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 91,3 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,1 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,6 | 7,1 | 8,2 |
Toponymie
La localité a été dénommée Cannectancourt, Canettancourt (Canetuncurtis)[2]
Le nom de la commune provient du latin cannetum (lieu couvert de roseaux) + curtis (ferme, domaine rural, village) et signifie jardin de roseaux[24].
Histoire
Cannectancourt était occupé dès la préhistoire, puisqu'on a trouvé sur son territoire des silex taillés du Néolithique[25].
Louis Graves indiquait « Canectancourt est un lieu fort ancien ; la seigneurie en fut acquise en 952 par Valbert, évêque de Noyon, pour être donnée aux chanoines de sa cathédrale,qui la possédaient encore en 1790[2] ».
L'église est construite en 1315, mais est en partie détruite puis globalement remaniée, et le clocher renversé par la foudre en 1750 a été reconstruit pour former un clocher-porche[25]
Le chanoine de Haussy, ancien curé de la paroisse, donne à Cannectancourt en 1768, une maison d'école[25].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait du bailliage, de l'élection de Noyon et de l'intendance de Soissons. Pour l'église catrholique, elle dépendait du doyenné et du diocèse de Noyon. Le chapitre de la Cathédrale Notre-Dame de Noyon était le gros décimateur et avait toule justice[25].
En 1850, la commune est propriétaire d'une fontaine publique, d'un jeu d'arc, d'un jeu de tamis et quelques arpents de friches. Le territoire communal compte alors trois moulins à eau ainsi que des carrières de pierre de taille et de grès[2]..
La carrière de la Botte est une exploitation de pierre calcaire exploitée avant la Première Guerre mondiale[24]
Première Guerre mondiale
Dès le début de la Première Guerre mondiale, Cannectancourt est occupée par l'armée allemande le pendant une trentaine de mois, pendant lesquels les habitants ont été contraints d'y rester, subissant une importante présence militaire, les privations et les bombardements français. La carrière de la Botte est aménagée et fortifiée à partir de [24].
Le village est libéré par les Alliés en , mais est partiellement détruit, notamment près de la Divette.
Il est à nouveau occupé de juin à , et est alors l'objet de violents combats[26],[27].
Le cimetière allemand a été transféré en celui de Thiescourt. Le reste des pierres de la clôture a servi à ériger le monument aux morts de Cannectancourt[24]
- L'église et le cimetière en mars 2017
Noter la présence du soldat indien. - Intérieur de l'église.
- Monument en souvenir des tués de la ferme de Carmoy.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[28] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [29].
Jusque dans les années 1950, on a cultivé les fruits rouges sur la commune et dans les environs. Un marché aux fruits rouges se déroulait à Cannectancourt à la mi-juin et un autre à Suzoy. On dit que les moines de l’Abbaye de Chiry-Ourscamp ont rapporté de leurs différents voyages des graines qu’ils ont ensuite cultivées. Les agriculteurs de la région ont beaucoup cultivé les fruits rouges : les cerises, framboises, groseilles, fraises[24].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lassigny[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
Cannectancourt est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
Distinctions et labels
La commune est arrivée première au concours départemental des villes et villages fleuris, dans la catégorie des communes de 500 à 999 habitants en 2019 puis a obtenu en 2021 deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris. Cette distinction récompense le travail réalisé notamment avec la création d'un « village nature », avec ses vieilles machines agricoles données par des habitants, et sa serre de 40 m2, le « Jardin du partage », ouvert à tous, l’aménagement de la mare, près de l’église, avec des matériaux et végétaux de récupération, ou l’abandon de l’utilisation de produits phytosanitaires par les agents communaux dès 2017[33],[34].
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux d’Évricourt et de Thiescourt au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal, doté depuis la rentrée 2021 d'un accueil périscolaire à Évricourt[35].
Culture
Une bibliothèque a été ouverte en 2019 en mairie grâce aux dons de livres des habitants[36].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2019, la commune comptait 502 habitants[Note 8], en diminution de 5,46 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 255 hommes pour 251 femmes, soit un taux de 50,4 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
L’AS Cannectancourt est un club d’athlétisme et école du sport créé en 1999[42].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Mairie-école
- Église Notre-Dame de la Nativité, partiellement reconstruite et, pour les parties anciennes, restaurée au XIXe siècle puis après les importantes destructions de la Première Guerre mondiale. La façade conserve un petit portail dont le décor à volutes du linteau en batière est datable du XVIIe siècle, et un gable en façade dans une composition néoclassique du XIXe siècle.
Son mobilier sculpté, remontant principalement au XIIIe siècle, est remarquable et comprend notamment une cuve baptismale à fût cylindrique et cuve carrée, dont deux des angles sont encore décorés d’une tête humaine sous une feuille avec crochets richement sculptés, accompagnée par deux statues en pierre représentant un évêque et, peut-être, un apôtre[43] - Monument aux morts, érigé en 1923 en hommages aux victimes civiles et militaires morts durant la guerre de 1914-1918[44].
- Ancien cimetière : situé près de l’Église ; malgré l’érosion du temps, on peut encore y trouver la tombe d’Étienne Poix, soldat sous le Premier Empire. Il participa au début du XIXe siècle aux grandes conquêtes menées par Napoléon Ier.
- Nouveau cimetière : implanté au milieu des années 1950, il est situé à la sortie du village en direction de Ville.
- La croix Vignon : calvaire.
- Des souterrains, normalement inaccessibles, existent toujours. Ils ont été creusés par les Allemands en 1916/1917 lors de la Première Guerre mondiale pour rejoindre leurs lignes de défense, sur des kilomètres de galeries qui s'enfoncent jusqu'à 18 m de profondeur par endroits. Des bureaux y avaient été aménagés, ainsi que des salles de repos et, aux murs, des dessins d'anges, de femmes ont été gravés par des soldats du 53e régiment de la Landwehr[45],[46],[47].
- Blockhaus d'observation allemand de la Première Guerre mondiale, sur le bord de la route de Thiescourt à Ribecourt. Situé sur la première ligne allemande, il offre une vue parfaite sur le No Man’s land qui les séparent des français[48].
- L'église
- Monuments aux morts.
- La Carmoye.
Héraldique
Blason | Taillé: au 1er d'or à deux cerises de gueules, tigées et feuillées d'une pièce de sinople, au 2e d'or au roseau à massette de sinople fruité d'une pièce de tenné; au comble d'or chargé de quatre feuilles de houx de sinople, celles du centre ployées et posées en chevron renversé, celle de dextre posée en bande et celle de senestre en barre. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Cannectancourt (601126) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Cannectancourt », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Cannectancourt » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Cannectancourt » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cannectancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cannectancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- habitants.fr - Nom des habitants des communes françaises
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 47-48, sur Google Books.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cannectancourt et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cannectancourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « La mare de Cannectancourt dévoilée au public samedi 19 juin », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cannectancourt », Les 48 communes, sur https://www.cc-pays-sources.fr (consulté le ).
- , Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 188-189, sur Gallica.
- « Cannectancourt pendant la Grande Guerre », Libre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
- Alexis Bisson, « Cannectancourt revêt ses habits de ville martyre de la Grande Guerre », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 18 février 1918, p. 2098.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Cannectancourt », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Cannectancourt », Cartes de France (consulté le ).
- « Cannectancourt remporte le concours des villages fleuris », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Cindy Cresson, « Le Jardin du partage verdit le village de Cannectancourt : La commune a obtenu un label à deux fleurs au concours régional des Villes et villages fleuris, jusqu’en 2023, alors qu’elle n’en visait qu’une. Le jury semble avoir apprécié le « village nature » mis en place, autour d’une serre et de matériel agricole ancien, avec l’aide des habitants », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « À Évricourt, le jeune accueil périscolaire prend de la vitesse », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Une bibliothèque ouvre grâce aux dons à Cannectancourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cannectancourt (60126) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « À Cannectancourt, l’école du sport a besoin du renfort des parents », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Vermand, « Cannectancourt, église de la Nativité Notre-Dame : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- Jean-paul Knauss, « Cannectancourt (60310) », Les monuments aux morts - France-Belgique-Autres pays, (consulté le ).
- Clémence de Blasi, « Carrière de la Botte, soixante pieds sous guerre : dans les souterrains allemands de la Der des Ders. A Cannectancourt, Bruno De Saedeleer redonne de la couleur aux galeries occupées par les soldats en 14-18 », sur http://surlalignedefront.fr/, (consulté le ).
- « La grotte de la Grande Guerre pourrait être inscrite à l'Unesco », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les souterrains de Cannectancourt à découvrir de nuit », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Blockhaus allemand à Cannectancourt (France – Oise) », Traces, Trace d'histoire - Le passé partout pour tous (consulté le ).
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