Cany-Barville
Cany-Barville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Barville.
Cany-Barville | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Côte d'Albâtre (siège) |
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Maire Mandat |
Jean-Pierre Thévenot 2020-2026 |
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Code postal | 76450 | ||||
Code commune | 76159 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Canycais | ||||
Population municipale |
3 046 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 224 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 47′ 19″ nord, 0° 38′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 10 m Max. 126 m |
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Superficie | 13,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Cany-Barville (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Cany-Barville (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Valery-en-Caux | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | cany-barville.fr | ||||
Géographie
Localisation
Cany-Barville est une commune de Normandie à 10 km de la Côte d'Albâtre, située dans la vallée de la Durdent, fleuve côtier qui prend sa source à Héricourt-en-Caux et se jette dans la Manche à Veulettes-sur-Mer.
Communes limitrophes
- Carte de la commune de Cany-Barville.
- Entrée du hameau de Haut-Barville.
- La Durdent à Barville.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 60 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Cany-Barville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cany-Barville, une unité urbaine monocommunale[17] de 3 052 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cany-Barville, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,3 %), forêts (20,9 %), zones urbanisées (10,7 %), prairies (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Commune formée en 1827 de la réunion des anciennes paroisses de Cany et de Barville[24].
Cany : le nom est attesté sous la forme Caneio vers 1150[25],[26], Cani vers 1240, In parr. de Cany en 1248, Sancti Martini de Caneio en 1249, eccl. de Cany en 1269, Sancti Martini de Caneyo en 1290 (Arch. S.-M. 7 H), Cani en 1319 (Arch. S.-M. G 3267), Sancti Martini de Canyaco en 1468, Ec. Sancti Martini de Caniaco en 1570 (Arch. S.-M. E Etat-civil), Cany en 1715 (Frémont)[27].
D'un type gaulois ou gallo-roman hypothétique *Caniacum, nom de lieu en -(i)acum suffixe locatif et de propriété d'origine gauloise. Il est précédé du nom de personne Canius[26].
Barville : le nom est attesté sous la forme Barevilla en 1177 et en 1178[25],[26], Ecc. Beate Marie de Barevilla en 1261 (Bonnin 415), Ecc. de Barvilla en 1270, Barville en 1319 (Arch. S.-M. G 3267), Barvilla en 1337,
Barville, 1431 (Longnon, 28, 89), Notre-Dame de Barville en 1674 (Arch. S.-M. G 1670, 738), Barville-sur-Cani en 1740 (Duplessis I, 316), Barville en 1715 (Frémont)[28].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », dont le premier élément Bar- représente un anthroponyme conformément au cas général[29],[30]. Il peut s'agir du nom de personne scandinave Badr[29] (comprendre Bárðr[31], qui convient d'ailleurs mieux car ð (th) et -r des anthroponymes et noms communs se sont régulièrement amuïs, de sorte qu'ils ne sont pratiquement jamais notés dans les formes anciennes) ou encore germanique continental Baro[26],[30], Barulfus ou Baroldus[26].
Remarque : il existe un nom de personne vieux norrois Bároðr / Bárøðr[31]. Il existe également un nom de personne norrois Bari[32], qui se superpose directement à Baro, et qui pourrait expliquer aussi la Barre-y-Va (Seine-Maritime, Caudebec-en-Caux, Barival 1597); Bariville (Seine-Maritime, Longueville-sur-Scie, Hamel de Bariville XVe siècle); Bariville (Seine-Maritime, pays de Caux, les Loges, Bariville au XVe siècle); Barimare (Fécamp, pays de Caux, Barimare 1336)
Histoire
Cany et Barville étaient autrefois deux villages indépendants qui ont décidé de s'unir pour former la commune de Cany-Barville. La commune fut chef-lieu du district de Cany de 1790 à 1795.
Cany est occupée par un château normand dès 1130[33]. Il est alors un fief du roi d'Angleterre. Il passe à la couronne française en 1204[33].
La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIᵉ siècle, Cany est un bourg situé entre les deux bras de la Durdent, traversé par une route empierrée menant à Dieppe. Au sud, Barville est une paroisse indépendante avec sa chapelle Notre-Dame qui existe encore actuellement. Le territoire de Barville a été rattaché à Cany en 1827 pour former la commune de Cany-Barville.
Barville, qui devait être un bourg très prospère au XVIIIè siècle, n'est plus qu'un simple hameau à l'heure actuelle.
Quatre moulins à eau sont représentés par une roue dentée sur la carte entre Canty et Barville. Ils faisaient partie des 33 moulins à eau fonctionnant encore sur la Durdent au XVIIIe siècle. Comme le montre l'Arrêt du Conseil d’État du Roi du 18 avril 1736 [34], ces moulins servaient surtout au blanchiment des toiles.
Sur la rive gauche est dessiné le château de Cany, inscrit Aux Monuments Historiques depuis 1930. Avant la Révolution, le puissant marquis de Cany-Canyel avait une droit de haute-justice sur ses terres
[35].
Sur cette même rive sont représentés trois hameaux :Infrainville, Maudrouard et Auqueville qui se nomment maintenant Vinfrainville, Hocqueville et Le Maudrouard.
Sur la rive droite, les hameaux de Caillevaille et Vicquetuis existent encore sous le nom de Cavaille et Vicquetuit.
Les hameaux de Chaufour, Bas Commanville et la Grange des Fontaines sont disparus.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
- Élections municipales de 2020 : 68,70 % (876 voix) pour la liste « Agir ensemble pour Cany-Barville » de Jean-Pierre Thévenot (PS, maire sortant), 31,29 % (399 voix) pour la liste « Demain avec vous, un nouveau cap pour Cany-Barville » de Xavier Batut (LREM), 63,92 % de participation.
- Élections municipales de 2014 : 62,47 % (999 voix) pour la liste « Agir pour Cany-Barville » de Jean-Pierre Thévenot (PS, maire sortant), 30,51 % (488 voix) pour la liste « Ensemble pour Cany » de Martine Decool (DVD), 7,00 % (112 voix) pour la liste « citoyenne associative indépendante » de Jérôme Stalin (DVG), 72,74 % de participation.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[36].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].
En 2019, la commune comptait 3 046 habitants[Note 8], en diminution de 0,39 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Monuments religieux
- Église Saint-Martin de Cany, inscrite monument historique[44].
- Chapelle Notre-Dame de Barville, lieu de pèlerinage dédié à saint Siméon, qui rappelle, elle, l'existence du village éponyme. Elle a été construite en 1527, comme l'indique l'inscription sur le linteau de la porte. Elle est sise sur une île de la rivière, à mi-chemin du château et du centre-ville.
- Chapelle Saint-Gilles-et-Saint-Leu (Caniel).
- Église Saint-Martin de Cany.
- Porche de l'église Saint-Martin.
- Chapelle Notre-Dame de Barville.
Monuments civils
- Le château de Cany est une grande demeure privée installée sur la rivière. Elle rappelle l'existence du village éponyme[45].
- Le manoir de Caniel, à Barville, fait l'objet d’un classement au titre des monuments historiques[46].
- Le manoir de Commanville (1re moitié XVIe siècle), recensé à l'Inventaire général du patrimoine culturel[47]. Le manoir est depuis le XVIIIe siècle une dépendance de Cany[48].
Monuments et lieux touristiques
- L'écomusée du moulin Saint-Martin expose une collection d'objets, de jouets et d'outils.
- La commune est traversée par la véloroute du lin (une voie verte) et la véloroute Vallée de la Durdent (une route touristique fléchée).
- Le village est décoré des trois fleurs du concours des villes et villages fleuris.
- Véloroute du lin.
- Véloroute vallée de la Durdent.
- Château de Cany.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste-Michel Cherfils, né le 14 novembre 1737 à Bosville (Seine-Maritime) et décédé le 28 juillet 1807 à Cany. Procureur du roi à Cany, il est député du tiers état aux états généraux de 1789 pour le bailliage de Caux. Il a été l'un des 5 commissaires chargés de proposer la division de la province Normandie en 5 départements.
- Louis-Hyacinthe Bouilhet, né à Cany-Barville le 27 mai 1822, mort à Rouen le 18 juillet 1868. Filleul de Hyacinthe Antoine Pessey, régisseur du château de Cany après avoir connu une heure de gloire en tant qu'auteur de nombreux vaudevilles, de qui il reçut le goût de l'écriture. Écrivain et poète, grand ami de Flaubert. Sa pièce, Madame de Montarcy, fut jouée au théâtre de l’Odéon à Paris. La ville de Cany-Barville remet une récompense à un poète primé par la société des Écrivains Normands. Sa maison natale est sur la place Daniel-Pierre.
- Daniel Pierre, né à Ouainville le 17 février 1891 : cet athlète de 1,90 m, titulaire du club de football de Cany-Barville, fut champion de France du lancer de poids et du lancer de javelot. Il fut sélectionné pour trois Jeux olympiques, Stockholm (1912), Anvers (1920), Paris (1924). Il n’ira pas à Paris, déclarant préférer assurer les moissons dans sa ferme. La salle des fêtes municipale de Cany-Barville et la place qui l’entoure portent son nom.
- Jules, Marie-Léontine et Marie-Thérèse Annet sont reconnus Justes parmi les nations pour avoir caché une enfant juive à Cany-Barville pendant la Seconde Guerre mondiale.
Héraldique
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Les armes de la commune de Cany-Barville se blasonnent ainsi : Écartelé : au 1er d'argent à un pommier de sinople fruité de gueules sur une terrasse isolée de sinople, surmonté de deux gerbes de blé du même, au 2e d'azur au cheval d'argent surmonté d'un mouton du même, au 3e d'azur au brochet soutenu d'une anguille, tous deux contournés d'argent, au 4e d'argent au versant de colline de sinople, mouvant du flanc senestre, abaissé à dextre, arboré de sept pièces du même, posé sur une rivière ondée en fasce du champ soutenue d'une terrasse de sinople.
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Voir aussi
Bibliographie
- Max Lemaitre, Françoise et Raymond Hervieux, Cany-Barville 1950-2010, soixante années en images, 2011.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Note de type "N"
- Une place du bourg porte le nom de ce maire.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cany-Barville et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cany-Barville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Cany-Barville », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cany-Barville », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, 24 H.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 188.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 46.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 56a.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 926 (lire e, ligne)
- Bárðr sur le site de Nordic Names (lire en anglais)
- Bari sur le site de Nordic Names (lire en anglais)
- Véronique Baud, Le château de Cany-Barville, Éditions des falaises, novembre 2010.
- « Arrêt du conseil d'Etat qui ordonne que l'un des inspecteurs des toiles de la généralité de Rouen et le commis préposé à la marque des toiles au bureau de Bolbec seront tenus de se transporter une fois par mois dans les blanchisseries établies dans les bourgs et paroisses de Vittefleur, Crosville, Herville, Saint-Messon, Saint-Requier, Saint-Denys d'Héricourt, Cany et Grainville, pour y visiter et marquer les toiles qui y auront été apportées pour être blanchies », sur Gallica, (consulté le ).
- « Notice sur Bosville (Canton de Cany). Première partie, Bosville avant 1789 / par C. Romain », sur Gallica, (consulté le ).
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Les anciens maires : Liste des maires depuis 1789, sur cany-barville.fr
- [PDF] « Ils nous ont quittés : Madame Jeannine Jourdain », La Gazette de Cany-Barville n°12, , p. 8
- Gilles Anthoine, « Cany-Barville. Municipales : maire sortant contre député : Pour les élections municipales, deux candidats se sont manifestés à Cany-Barville : Jean-Pierre Thévenot, le maire sortant, et Xavier Batut, le député de la circonscription », Tendance Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- Éléonore Sinoquet, « Municipales 2020. À Cany-Barville, Jean-Pierre Thévenot élu face au député Xavier Batut : Le maire sortant Jean-Pierre Thévenot rempile pour un 3e mandat consécutif. Réaction après son élection dès le premier tour », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « On peut dire sans se tromper que Jean-Pierre Thévenot, maire sortant, a remporté haut la main ces élections municipales face au député Xavier Batut. Avec sa liste « Agir ensemble pour Cany », l’homme de 65 ans a obtenu le très beau score de 68,71 % contre 31,29 % pour la liste opposée ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Église de Cany », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Cany », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir de Caniel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 226.
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