Châteauredon
Châteauredon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Châteauredon | |||||
La chapelle Saint-Michel de Cousson, emblématique de la région. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Sandrine Nebes 2020-2026 |
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Code postal | 04270 | ||||
Code commune | 04054 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Châteauredonnais | ||||
Population municipale |
74 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 00′ 55″ nord, 6° 12′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 573 m Max. 1 511 m |
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Superficie | 10,53 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Digne-les-Bains (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Riez | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le nom de ses habitants est Châteauredonnais[1].
Géographie
Le village est situé à 613 m d’altitude[2].
Les communes limitrophes de Châteauredon sont Entrages, Beynes, Mézel, Le Chaffaut-Saint-Jurson et Digne-les-Bains.
Relief
Sommet de Cousson : 1 516 m
Hydrographie
La commune est traversée par l’Asse.
Voies routières
La commune est desservie par la route nationale 85.
Lignes régionales
Châteauredon est desservie par une ligne express régionale LER Provence-Alpes-Côte d'Azur (bus)[3] qui sont les suivantes :
Ligne | Tracé |
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31 | Nice ↔ Châteauredon ↔ Digne-les-Bains ↔ Sisteron ↔ Grenoble[4] |
Lignes départementales
Le village est aussi reliée par une ligne départementale[5] :
Ligne | Tracé |
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D2 | Riez ↔ Estoublon ↔ Digne-les-Bains |
Transports ferroviaires
La commune partage avec Mézel la gare de Mézel-Châteauredon, où le train de la ligne de Nice à Digne a un arrêt[6].
Ligne | Tracé |
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CP | Nice ↔ Mézel-Châteauredon ↔ Digne-les-Bains |
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Mézel auquel appartient Châteauredon est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Châteauredon est également exposée à trois autres risques naturels[8] :
- feu de forêt,
- inondation (dans la vallée de l’Asse),
- mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[9].
La commune de Châteauredon est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[10]. La route nationale 85 et la départementale RD907 (ancienne route nationale 207) peuvent être empruntées par les transports routiers de marchandises dangereuses[11].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] et le Dicrim n’existe pas non plus[12].
Le tremblement de terre qui a été ressenti de la manière la plus sensible dans la commune est celui du 19 juin 1984, avec une intensité macro-sismique de V sur l’échelle MSK et Aiglun pour épicentre[13].
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes au XVIe siècle (Castèl Redon). Le nom actuel est une francisation de l’occitan signifiant village fortifié, de forme ronde[14].
Urbanisme
Typologie
Châteauredon est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,3 %), forêts (36,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Histoire
Le sommet du Cousson était occupé par une communauté de bergers au VIIe siècle. En 1035, Almerad, le prêtre de cette communauté, fait don de la chapelle Saint-Michel de Cousson à l’abbaye Saint-Victor de Marseille[22].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIe siècle (Castrum Rotundum)[2]. L’ancien village est au lieu-dit Cornette, et s’est déplacé progressivement au pied du château[2],[23].
La communauté de Sueilles[2], Suye[24] ou Sullia, comptait 23 feux en 1315. Son église Saint-Martin relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, qui percevait les revenus qui y étaient attachés[23]. Elle est fortement dépeuplée par la crise du XIVe siècle (peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle de Châteauredon au XVe siècle[24]. Le fief correspondant est lui aussi réuni à celui de Châteauredon[23]. Les deux communautés relevaient de la viguerie de Digne[23].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[25]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Belair[26].
Comme de nombreuses communes du département, Châteauredon se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[27]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[28], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent la commune[29] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Châteauredon sont régulièrement scolarisées.
Le premier train entre en gare de Mézel-Châteauredon le 15 mai 1892, lors de l’inauguration du deuxième tronçon de la ligne de Nice à Digne, tronçon allant de Mézel à Saint-André-les-Alpes[30]. Le tunnel de la Colle est achevé en 1903, et la totalité de la ligne entre Saint-André et Nice est inaugurée du 5 au 7 août 1911 en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics[30].
La Libération de Châteauredon est marquée par le passage d’une colonne de la 36e division d’infanterie (US), le matin du 19 août 1944, venant de Riez et se dirigeant sur Digne via le col de l'Orme[31]. Cette colonne progresse presque sans opposition, mais à Châteauredon, elle est accrochée à l’endroit où la voie de chemin de fer traverse la route allant à Mézel. Au moment où la colonne blindée s’approche, les Allemands tirent de leurs positions surplombant la route. Ils décrochent ensuite vers le village où ils sont pris à partie par les canons des blindés. Certains sont faits prisonniers dans le village, d’autres dans la chapelle. D’autres se replient vers la Clue de Chabrières et engagent le combat avec des résistants[32].
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Châteauredon. Le vin produit était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[33].
Héraldique
Blasonnement : |
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 55 personnes, dont 8 chômeurs[35]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (86 %)[36] et travaillent majoritairement hors de la commune (86 %)[36].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait deux établissements agricoles actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et aucun emploi salarié[37].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est trop faible et couvert par le secret statistique, depuis 2000[38] ; il n’en restait que quatre en 1988[39].
L’olivier n’était pas présent dans la commune au début du XIXe siècle. Actuellement, il occupe quelques surfaces restreintes avec une oliveraie qui compte moins de 1000 pieds[40].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait cinq établissements, employant huit salariés[37]. La carrière de la Blache, exploitée par Negro[41], est un de ces établissements.
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services, administrations, secteur sanitaire et social et enseignement), comptait six établissements salariant deux personnes[37].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est peu importante pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant[42]. La seule structure d’hébergement à finalité touristique de la commune était, en 2007, un hôtel non classé[43],[44].
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Châteauredon a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2019, la commune comptait 74 habitants[Note 3], en diminution de 1,33 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
L’histoire démographique de Châteauredon, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période se prolonge de 1831 à 1891. L’exode rural intervient tardivement, mais n’en provoque pas moins un mouvement de baisse de la population rapide et de longue durée. Dès 1921, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[53]. Après une période de stabilisation dans l’après-Seconde Guerre mondiale, la population se remet à croître, triplant en un demi-siècle, et repassant au-dessus de ce niveau de 50 % du maximum historique.
Lieux et monuments
Un bâtiment imposant, résidence seigneuriale du XVIIe, domine le village et est appelée « château »[54]. La balustrade de l’escalier intérieur est en gypserie[55].
L'église paroissiale est consacrée à Saint-Maxime[24] (XIXe siècle).
La chapelle Saint-Michel-de-Cousson est fondée en 1010 ou avant, et est consacrée par l’évêque de Digne et celui de Toulon. Son prieuré relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille[23]. But de plusieurs pèlerinages[23], elle est restaurée en 1983 ; une sculpture mérovingienne est encastrée dans son mur extérieur[56]. Elle abrite un chancel, inscrit aux monuments historiques[57]. Son site exceptionnel (au bord d’un escarpement vertigineux, à 1 560 m d’altitude) en fait une des chapelles les plus signalées par les guides touristiques[58].
Personnalités liées à la commune
- Saint Maxime de Riez, abbé de Lérins puis évêque de Riez (434-460/462)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Hélène Vésian en collaboration avec Évelyne Falvard et Claude Gouron, Châteaux et bastides en Haute Provence aux XVIe siècle, XVIIe et XVIIIe siècles, Avignon, Aubanel, , 166 p. (ISBN 2-7006-0145-9)La bastide de Châteauredon, p.139
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Roger Brunet, « Canton de Mézel », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Info LER PACA.
- Horaires et tarifs LER Ligne 31, sur info-ler.fr.
- Réseau départemental des lignes de transport des A.H.P.
- Chemins de fer de Provence, Horaires Nice - Annot- Digne-les-Bains, consulté le 22 juin 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 9 juillet 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 9 juillet 2011
- BRGM, « fiche 40176 », Sisfrance, consulté le 9 juillet 2012
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 26656, p 1465
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Christophe Labadie, Des Anges, Musée départemental d’art religieux, catalogue de l’exposition à la cathédrale Saint-Jérôme (5 juillet-30 septembre 2013), 2013, (ISBN 978-2-86004014-3), p. 31.
- Daniel Thiery, « Châteauredon », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 20 décembre 2010, consulté le 9 juillet 2012
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 170
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Deux siècles d’activités préfectorales », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012
- Henri Julien (directeur de publication), Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994, (ISBN 2-909800-68-7), p. 126
- Guy Reymond, Ça sentait la liberté et l’espérance, Les Petites affiches, 1993, p. 80
- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
- Insee, Dossier local - Commune : Châteauredon, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 15
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- Réparaz, op. cit., p. 58
- Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement, « Liste des carrières dans les Alpes de Haute Provence », mise à jour le 31 décembre 2011, consultée le 28 septembre 2012
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 13
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- Jean-Pierre Karche est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Gérard Schivardi (PT) à l’élection présidentielle de 2007, Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De La Bréole à Corbières (liste 2), consulté le 7 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 267
- Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe – XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, (ISBN 2-909717-22-4), p 42
- Collier, op. cit., p 456
- Arrêté du 2 septembre 1988, Notice no PM04000075, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 3 novembre 2008
- Serge Panarotto, Chapelles de Provence : chapelles rurales et petits édifices religieux, Édisud, Aix-en-Provence, 2007, collection « Patrimoines », (ISBN 978-2-7449-0817-0), p. 145
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