Châtillon-Saint-Jean
Châtillon-Saint-Jean est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Châtillon et Saint-Jean.
Châtillon-Saint-Jean | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Daniel Barruyer 2020-2026 |
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Code postal | 26750 | ||||
Code commune | 26087 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Châtillonnais, Châtillonnaises | ||||
Population municipale |
1 316 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 149 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 20″ nord, 5° 07′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 192 m Max. 343 m |
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Superficie | 8,82 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Romans-sur-Isère (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Romans-sur-Isère | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Châtillonnais(es).
Géographie
Localisation
La commune de Châtillon-Saint-Jean est située à sept kilomètres au nord-est de Romans. Elle est limitrophe, à l’est, du département de l’Isère.
Geyssans | Saint-Michel-sur-Savasse | Parnans | ||
Triors | N | Saint-Lattier (Isère | ||
O Châtillon-Saint-Jean E | ||||
S | ||||
Génissieux | Saint-Paul-lès-Romans | Saint-Lattier (Isère) |
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :
Climat
La commune bénéficie d'un climat continental avec une influence méditerranéenne :
- Les hivers sont froids (minimales : 0 à −5 °C).
- Le printemps est généralement précoce (fin mars, mi-avril) avec des températures comprises entre 15 et 20 °C. La floraison est rapide.
- L'été est relativement chaud (30 à 35 °C). Le record de chaleur a été de 40 °C en .
- L'automne est doux (15 à 20 °C).
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1 | 2 | 4 | 7 | 11 | 15 | 17 | 17 | 13 | 10 | 5 | 2 | 9 |
Température moyenne (°C) | 4 | 5 | 9 | 12 | 16 | 20 | 23 | 22 | 18 | 14 | 8 | 5 | 13 |
Température maximale moyenne (°C) | 7 | 9 | 14 | 17 | 21 | 25 | 28 | 28 | 23 | 18 | 11 | 8 | 17 |
Les précipitations sont assez rares, surtout en hiver. Elles s'intensifient de la mi-juillet jusqu'en octobre. Elles sont parfois violentes et provoquent des inondations et des dégâts importants (la catastrophe de en est un exemple)[réf. nécessaire].
Voies de communication et transports
- L'entrée principale du village se fait au sud par la départementale 123 qui relie Châtillon aux villages environnants et à Romans-sur-Isère.
- Les autres entrées du village sont à l'ouest et à l'est (départementale 112).
- Une déviation, construite en 1999, contourne le village.
Urbanisme
Typologie
Châtillon-Saint-Jean est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,7 %), terres arables (29,5 %), forêts (9,9 %), zones urbanisées (6 %), cultures permanentes (3,8 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Beuvert
- Bochinard
- Bramefaim
- Chapoize
- Châtillon
- Côte Rousse (nord)
- Côte Rousse (sud)
- Croix Haute
- Gillons
- la Croisette
- la Croix de Juzan
- la Croix Mane
- la Déserte
- la Guiguière
- la Pierrela
- le Château
- le Châtelar
- le Clot
- les Barges
- les Flottes
- les Guilhomonts
- les Marais
- les Molhens
- les Plantards
- les Sables (nord)
- les Sables (sud)
- les Volays
- le Truchet
- Montjuvin
- Peroux
- Palaye
- Saint-Izier
- Tancot
Projets d'aménagement
Depuis 2007, de nombreuses rues ont été aménagées pour permettre aux habitants de se déplacer plus aisément : trottoirs plus larges, nouveaux passages-piétons, nouvelle signalisation routière.
En 2009, de nouveaux lampadaires ont été installés dans plusieurs rues. Cependant, à des fins d'économie et de diminution de la pollution lumineuse, l'éclairage public est éteint la nuit.
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[8] :
- 1100 : Sanctus Johanes ab Altevedone (cartulaire de Romans, 146).
- 1104 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis de Altaveione (cartulaire de Romans, 178).
- 1150 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Johannis de Auteveone (cartulaire de Romans, 316).
- 1217 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis d'Auteveun (cartulaire des Hospitaliers, 49).
- 1220 : mention de la paroisse : la gleisa Sain Johan (cartulaire des Hospitaliers, 25).
- 1220 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis d'Auteveon (cartulaire de Léoncel, 86).
- 1248 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Johannis d'Authaveon (cartulaire de Romans, 375).
- 1361 : Sanctus Johanes Alteveonis(archives de la Drôme, E 3584).
- 1393 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Johannis Alteveyonis (cartulaire de Romans, 2289).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Sancti Johannis de Altaveone (pouillé de Vienne).
- 1449 : Sanctus Johannes Alteveyronis sive Alteveyans (terrier de Vernaison).
- 1521 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis Altabernis (pouillé de Vienne).
- 1788 : Saint-Jean d'Octavéon (alman. du Dauphiné).
- 1891 : Châtillon-Saint-Jean, commune du canton de Romans.
Voir la commune de Romans-sur-Isère pour l'archiprêté de Romans appelé archiprêté d'Octavéon (800 : archipresbyteratus Altavensis, id est de Romanis (Charvet, Hist. de Vienne, 242))[8].
Étymologie
Châtillon dérive du bas latin castellum, diminutif de castrum, avec le suffixe -ionem. Castrum a d'abord désigner tous les types de forteresse, du simple donjon à l'enceinte urbaine. Il s'est par la suite spécialisé au sens de « château fort » puis à celui de « grande maison de plaisance »[réf. nécessaire].
Histoire
Préhistoire
Découverte de la plus ancienne faune avec renne connue en France[9].
Antiquité : les Gallo-romains
Découverte de médailles et d'antiquités romaines près du village[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
L'Ager Etelvensis (cartulaire de Romans, 30) ne comprenait, avec la commune de Châtillon-Saint-Jean (Drôme), que celles de Montagne, de Bessins, de Saint-Apollinard et de Chevrières (Isère)[8].
La terre est disputée entre les dauphins et les religieux de Romans[9].
La seigneurie[8] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) est un fief du chapitre de Romans. Elle était plus connue sous le nom de Châtillon (voir ce nom) à cause du château de ce nom qui en était le chef-lieu.
- Possession des Bressieu.
- La terre passe aux Clermont-Chatte.
- 1438 : elle est vendue aux Vinay.
- 1590 : passe (par mariage) aux Montchenu.
- 1686 : passe aux Béatrix-Robert.
- Vers 1720 : passe aux Moret de Bourchenu.
- 1730 : passe (par héritage) aux Bally, derniers seigneurs (une autre version la fait passer des Bailly de Montcarra aux Grattet du Bouchage[réf. nécessaire]).
La communauté de Saint-Jean-d'Octavéon comprenait deux paroisses : celle de Saint-Jean-d'Octavéon et celle de Gilles[réf. nécessaire].
Avant 1790, Saint-Jean-d'Octavéon était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait une paroisse du diocèse de Vienne. Son église était dédiée à saint Jean-Baptiste. Les dîmes, qui avaient appartenu au chapitre de Romans, échurent vers la fin du XVIIe siècle au chapitre métropolitain de Vienne qui présenta dès lors à la cure[8].
Châtillon
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[10] :
- 1070 : Castellonium (cartulaire de Romans, 18 bis).
- 1080 : mention du mandement : mandamentum Castellionis (cartulaire de Romans, 178)
- 1150 : Chasteillo (cartulaire de Romans, 315).
- 1203 : de Chastellon (cartulaire des Hospitaliers, 32).
- 1204 : Chasteillun (cartulaire des Hospitaliers, 63).
- 1210 : Chastilon (cartulaire des Hospitaliers, 66).
- 1211 : Chastilo et Chastillo (cartulaire des Hospitaliers, 67).
- 1212 : de Castellione (cartulaire des Hospitaliers, 69).
- 1215 : Chastelon (cartulaire des Hospitaliers, 76).
- 1216 : Chasteillon (cartulaire des Hospitaliers, 84).
- 1390 : locus Chastillionis (choix de documents, 197).
- 1891 : Châtillon, hameau de la commune de Châtillon-Saint-Jean.
Ancien château dont le mandement, comprenant à l'origine les paroisses de Saint-Jean-d'Octavéon, de Triors et de Saint-Paul-lès-Romans, fut limité par la suite à la seule paroisse de Saint-Jean-d'Octavéon qui devint, en 1790, la commune de Châtillon-Saint-Jean[10].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13].
En 2019, la commune comptait 1 316 habitants[Note 3], en augmentation de 1,23 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Services et équipements
En 2014, une micro-crèche a été ouverte dans la zone artisanale Les Flottes[réf. nécessaire].
Enseignement
La commune compte deux établissements scolaires :
- l'école maternelle intercommunale Étienne Jean Lapassat qui accueille les élèves de toute petite, petite et moyenne sections de Châtillon-Saint-Jean, mais aussi de Triors et Parnans[16] ;
- l'école élémentaire des Trois Platanes qui accueille les enfants de la commune, de la grande section au CM2[17].
Santé
- Centre médical : plusieurs médecins, des infirmières, deux kinésithérapeutes, une pédicure podologue, une orthophoniste, une sage-femme, des dentistes[réf. nécessaire].
- Pharmacie[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
Les événements de l'année sont indiqués sur le panneau d'affichage de la commune (près de la mairie). Ils se déroulent généralement à la salle des fêtes du village[réf. nécessaire].
- Juin (le 24) : la Saint-Jean d'été est la fête patronale[9].
- La fête locale est célébrée le [9].
- Août (dernier dimanche) : lors de la fête communale[9], une brocante est organisée dans le village par l'orchestre d'harmonie (fanfare) de Châtillon Les enfants de la Joyeuse. Ce vide-grenier attire beaucoup de gens. Le même jour, diverses animations sont proposées à côté de la salle des fêtes[réf. nécessaire].
- La foire du Dauphiné se déroule à l'extérieur du village[réf. nécessaire].
- L'animation « De fermes en fermes » est très populaire[réf. nécessaire].
Loisirs
- Pêche et chasse[9].
- Paintball, VTT, beach-volley, escalade, musique, etc.[réf. nécessaire].
- Les enfants se rendent à la salle des fêtes pour y faire du sport, ou bien sur la place de la Mairie. Cette même place rassemble une balançoire, des jeux pour enfants, des tables ainsi que des cages de football[réf. nécessaire].
- La commune fait partie du programme « Anim de Prox » qui rassemble les jeunes (12 à 17 ans) de la commune et des villages voisins, et propose des activités très variées[réf. nécessaire].
- Depuis 2009, une discothèque s'est installée près du village[réf. nécessaire].
- Randonnées
Économie
L'économie de la commune vient essentiellement du secteur primaire (agriculture). Le secteur secondaire s'est développé grâce aux industries installées sur la commune et le secteur tertiaire propose de nouveaux services. Malgré sa petite taille, Châtillon prolonge ainsi l'activité économique du canton de Romans-sur-Isère 2, avec la zone artisanale les Flottes[réf. nécessaire].
Agriculture
En 1992 : céréales, vignes, vergers, tabac, aviculture[9].
Commerce
La commune possède un restaurant, un bar, un buraliste, une boulangerie, une pizzeria-kebab[réf. nécessaire].
Le village est très proche de la zone industrielle de Saint-Vérant, à environ quatre kilomètres. On y trouve un centre commercial et différentes boutiques[réf. nécessaire].
Tourisme
- Des gîtes assurent l'hébergement[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- motte castrale : fortification médiévale située au nord-est de la commune, dans le secteur de la maison forte de Clérivaux. Elle est actuellement recouverte de bois et de taillis. le château semble avoir été érigé avant l'an 1000 et ce dernier appartenait probablement à l'abbé de Romans Leger[réf. nécessaire].
- Maison forte de Clérivaux (privée) de la fin du XIIIe siècle[réf. nécessaire].
- Château du XVe siècle[9].
- Château Bady (privé) du XVe siècle[réf. nécessaire].
- Église Saint-Jean de Châtillon-Saint-Jean du XIXe siècle : une pieta[9].
- Chapelle romane de Gillons[9].
- Église Saint-Théobald de Gillons : église romane (XIIe siècle) restaurée. Elle fut l'église paroissiale jusqu'à la Révolution[réf. nécessaire].
- Le prieuré de Gillons a été fondé par des moines bénédictins et il dépendait du diocèse de Vienne. Son église romane fut d’abord désignée sous le vocable de Sainte-Marie puis elle a été placée sous le celui de Saint-Theobald[réf. nécessaire].
- Une statue de la Vierge domine le village[9].
- Un château érigé en 1848 (privé)[réf. nécessaire].
Patrimoine naturel
- Grottes (Chapoize, le Châtelar)[1].
Héraldique, logotype et devise
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Châtillon-Saint-Jean possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.
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Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Châtillon-Saint-Jean sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/ Site Géoportail (carte IGN).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 81 (Châtillon-Saint-Jean).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Châtillon-Saint-Jean.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 80 (Châtillon).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « École maternelle - Châtillon-Saint-Jean - Site officiel de la commune ».
- « Ecole élémentaire - Châtillon-Saint-Jean - Site officiel de la commune ».
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