Chambon-sur-Voueize
Chambon-sur-Voueize (Chambò en occitan marchois[1]) est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Chambon-sur-Voueize | |||||
L'abbatiale Sainte-Valérie et le village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Aubusson | ||||
Intercommunalité | Creuse Confluence | ||||
Maire Mandat |
Cécile Creuzon 2020-2026 |
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Code postal | 23170 | ||||
Code commune | 23045 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chambonnais, Chambonnaises | ||||
Population municipale |
868 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 11′ 24″ nord, 2° 25′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 320 m Max. 510 m |
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Superficie | 33,58 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Évaux-les-Bains | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Au confluent de la Voueize et de la Tardes, dans le pays de Combraille vallonné et verdoyant, Chambon-sur-Voueize occupe un site agréable à proximité des gorges de la Voueize. Le territoire communal est également arrosé par la Méouze, un affluent de la Tardes.
Voies de communication et transports
La ville est située à 12 kilomètres de l'aéroport de Montluçon Guéret (code OACI : LFBK), ouvert à la circulation aérienne publique et à 25 kilomètres de la gare de Montluçon (Allier) qui est la gare ferroviaire la plus proche. En outre, Chambon est desservie par la ligne de Bus TER no 12, reliant Ussel à Montluçon.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1995 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1,2 | −0,8 | 0,7 | 3,1 | 7,3 | 10,4 | 11,9 | 11,6 | 7,7 | 5,7 | 1,6 | −0,7 | 4,8 |
Température moyenne (°C) | 3 | 4,1 | 6,8 | 9,6 | 13,8 | 17,4 | 18,9 | 18,7 | 14,6 | 11,6 | 6,2 | 3,1 | 10,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,3 | 8,9 | 12,9 | 16,1 | 20,3 | 24,4 | 25,8 | 25,9 | 21,5 | 17,5 | 10,8 | 6,9 | 16,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,1 13.01.03 |
−18,5 07.02.12 |
−16,4 01.03.05 |
−7,2 08.04.03 |
−1,5 06.05.02 |
0,9 04.06.01 |
3,1 17.07.00 |
0,9 29.08.1998 |
−1,8 14.09.1996 |
−9,6 30.10.1997 |
−12,7 24.11.1998 |
−15,3 31.12.1996 |
−18,5 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,3 30.01.02 |
24,1 20.02.1998 |
25,8 16.03.12 |
30,1 30.04.05 |
33,5 27.05.05 |
38,4 27.06.11 |
37,3 26.07.06 |
40,8 18.08.12 |
34,5 04.09.05 |
30,5 02.10.11 |
23,4 02.11.11 |
20 24.12.12 |
40,8 2012 |
Précipitations (mm) | 64,6 | 57,5 | 55,6 | 74,4 | 91,8 | 78,4 | 70,6 | 67,4 | 78,8 | 69,4 | 68,2 | 66 | 842,7 |
Urbanisme
Typologie
Chambon-sur-Voueize est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), forêts (20,8 %), terres arables (2,6 %), zones urbanisées (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Une origine toponymique a été proposée par Louis Davillé en 1929 dans la Revue des Études Anciennes. Selon lui, Chambon vient du mot celtique "cambo" qui peut se traduire par "courbe de rivière". En s’appuyant sur la topographie, il observe que les lieux identifiés par ce vocable et ses dérivés se trouvent généralement à proximité d'une boucle de cours d'eau.
En 1891, la commune, alors nommée Chambon devient Chambon-sur-Voueize[15].
Les habitants sont appelés les Chambonnais.
Histoire
Capitale des Combrailles, du IXe au XIIe siècle, sous les princes de Chambon, avec le fort de la Motte, ancienne motte seigneuriale partiellement conservée au nord-est de l'église. La seconde moitié du XIIe siècle voit le rattachement de la principauté de Combraille à l'Auvergne par le mariage de Péronnelle de Chambon, fille d'Amiel III de Chambon, au comte Guy II d'Auvergne[16]. Il y eut ensuite un démembrement de cette entité : ainsi, Montaigut et la Combraille bourbonnaise furent pris en 1249 par le sire de Bourbon, dont un descendant, le duc Louis II (proche cousin des Bourbons comtes de la Marche), se fit remettre vers 1390 par Jean II d'Auvergne la Combraille restante — c'est-à-dire la Combraille creusoise qui jusque là avait continué de relever des comtes d'Auvergne.
Chambon reçut aussi une seigneurie particulière, transmise par Marie de Chambon (à la filiation imprécise ; issue d'une manière ou d'une autre des anciens princes de Chambon et de la Combraille ?) à son mari Guillaume II Rog(i)er de Beaufort, frère aîné du pape Clément VI, puis aux descendants issus de leur fils cadet Nicolas : les Roger de Beaufort vicomtes de Turenne. La vicomtesse Anne Roger, petite-fille de Nicolas, transmit en 1444 Chambon et Turenne à son mari et cousin Annet/Agnet IV de La Tour d'Olliergues (famille dite plus tard de La Tour d'Auvergne)[17].
En contrebas, un prieuré fut fondé à la fin du IXe siècle par les moines de l'abbaye Saint-Martial de Limoges. L'endroit servit à garder les reliques de sainte Valérie.
En 857 les moines de l'abbaye Saint-Martial de Limoges fondent un monastère à Chambon-sur Voueize pour mettre à l'abri des incursions normandes les reliques de sainte Valérie, dont le monastère de Saint-Martial garde seulement la tête (). Vers 985, ils font construire une chapelle pour les recevoir. L'église est construite un peu plus tard2. Elle sera rattachée à l'ordre de Cluny, elle devient abbatiale au XIIIe siècle puis paroissiale après la Révolution française. Elle fut pillée et mutilée aux XVe et XVIe siècles avant d'être remaniée au milieu du XIXe siècle.
Chambon fut aussi une des cinq châtellenies de la Combraille creusoise, avec Evaux, Auzances, Sermur et Lépaud.
En 1834, la commune absorbe celles voisines de Chambon-Campagne et de Saint-Sornin[15] ; cette dernière avait porté, durant la Révolution, le nom de Sur-Chambon[Note 4].
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2019, la commune comptait 868 habitants[Note 5], en diminution de 7,36 % par rapport à 2013 (Creuse : −3,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Manifestations culturelles et festivités
En 2010, Chambon-sur-Voueize est devenu Bouchon, le temps du tournage du téléfilm de Luc Béraud, Bienvenue à Bouchon[23].
En 2014, Chambon-sur-Voueize est désigné pour représenter le Limousin dans l'émission de France 2 Le Village préféré des Français[24] et termine à la troisième place, avec l'aide de la création d'une page Facebook par une de ses habitantes[25].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le Bourg et ses abords immédiats, ainsi que les gorges de la Voueize sont répertoriés dans les sites inscrits.
- L'ancien monastère fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [26].
- L'église abbatiale Sainte-Valérie fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[27],[28]. C'est l'une des plus importantes et intéressantes églises de style roman du Limousin. Après la fondation par l'abbaye de Saint-Martial de Limoges d'un prieuré destiné à conserver les reliques de sainte Valérie, est entreprise la construction de l'église, à la fin du XIe siècle ou au début du XIIe. Pillée et mutilée aux XVe et XVIe siècles, elle a été remaniée vers 1850.
- Le pont sur la Voueize fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [29].
- Le château de Marsat, au nord de la commune.
- Les ruines du château fort de Leyrat, dit de Barbe-Bleue, sur un promontoire dominant les gorges de la Voueize, au nord de Chambon. Détruit à la fin du XIIe siècle, il est l'un des derniers édifices représentatifs du style de construction militaire du Haut Moyen Âge.
- Les vestiges d'une ancienne villa du Haut Moyen Âge, à Las Lattas, construite sur les bords de la Voueize au Haut Moyen Âge, à proximité des ruines du château-fort de Leyrat.
- Les vestiges de Château-Guillaume, fortin détruit au XIIe siècle, situé sur les bords de la Tarde, en face du village de Thaury.
- Plusieurs maisons médiévales.
- La Fontaine Sainte-Valérie, située le long de la Voueize
- Le pont roman.
- L'abbatiale : détail des stalles du chœur.
- Chemin dans les gorges de la Voueize.
- Jardin public.
Cartes postales anciennes
Personnalités liées à la commune
- Péronnelle de Chambon, dame de Combraille et comtesse-consort d'Auvergne.
- Jean-François Barailon, (Viersat, 1743 - Chambon-sur-Voueize, 1816), homme politique.
- George Sand (1804-1876), romancière, dont les actions des romans "Jeanne" et "Le marquis de Villemer" ont pour décors Boussac et Chambon-sur-Voueize.
- Frédéric Mourlon (1811-1866), jurisconsulte, dont un buste en bronze ornait autrefois le jardin du tribunal.
- Alfred Tardif (1837-1915), homme politique français, né et décédé dans la commune.
- Alfred Grand (1860-1937), homme politique français, né dans la commune.
- Ernest Anselin (1861-1916), l'un des 42 généraux français mort au combat, né dans la commune.
- Eugénie Fougère (Chambon-sur-Voueize, 1861 - Aix-les-Bains, 1903), demi-mondaine de la Belle Époque surnommée la belle « Fou-Fou » ou « Bâton de réglisse », assassinée par le truand lyonnais Henri Bassot, avec la complicité de Victorine Giriat, sa meilleure amie et confidente attitrée, dans le simple but de lui voler ses bijoux ; Eugénie Fougère n'avait jamais oublié son village creusois où elle revenait parfois. Après le drame d'Aix-les-Bains, elle fut inhumée au cimetière de Chambon-sur-Voueize dans la chapelle de la famille Fougère.
- Paul-Louis Grenier (1879-1954), poète et écrivain de langue occitane né dans la commune.
- Paul Jacquemard (1893- 1978), juge de paix après la guerre, créateur du premier syndicat agricole de Chambon-sur-Voueize et créateur de l'Office du tourisme de Chambon sur Voueize.
- Pierre Chartier (1894-1980), peintre, décédé dans la commune.
- Yvon Le Marc'hadour (baryton) né à Chambon-sur-Voueize 19-12-1898 ; Paris, 07-11-1985).
- Albert Bonneau (1898-1967), écrivain, décédé dans la commune.
- Jean Jamot (1921-2005), enseignant à Chambon-sur-Voueize, auteur de Chambon-sur-Voueize à travers les âges (1995), monographie historique de la commune.
- Frédéric Berthet (1954-2003), écrivain qui fit l'acquisition d'une maison, située 16 rue de la Couture, au cours de l'été 1993[30].
- Ghislaine Alajouanine (1948), née dans la commune, entrepreneur et personnalité de l'action humanitaire française.
Héraldique
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Les armoiries de Chambon-sur-Voueize se blasonnent ainsi :
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Voir aussi
Bibliographie
- Farid Abdelouahab (dir.), Regards objectifs : Mieusement et Lesueur photographes à Blois, Paris, Somogy, , 183 p. (ISBN 2-85056-436-2), p. 48 — Photographie de l'église par Séraphin-Médéric Mieusement.
- Jean-Pierre Larue, Tectonique, érosion et hydrographie sur la bordure nord-ouest du Massif central.
- Jean Jamot, Chambon sur Voueize à travers les âges, Paris, Le livre d'histoire-Lorisse, 1995 (1re édition) - 2015 (réédition), 374 p
- Stéphane Bern, Le Village préféré des Français, 44 trésors incontournables, Paris, Albin Michel, , 249 p. (ISBN 978-2-226-25920-2) — Ce livre est tiré de l'émission Le Village préféré des Français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Chambon-sur-Voueize, pages 153 à 155** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.
- Louis Davillé, « Le mot celtique « cambo- » et ses dérivés en toponymie », In Revue des Études Anciennes, tome 31, 1929, n°1, p. 42-50 DOI:10.3406/rea.1929.2518
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Chambon-sur-Voueize sur le site de l'Institut géographique national.
- Office du Tourisme de Chambon-sur-Voueize.
- Chambon sur Voueize, le village préféré des Français
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Nom de l'an II d'après EHESS-Cassini[18], avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 11 (pluviôse an III).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Notes
Références
- Jean Jamot, Chambon-sur-Voueize à travers les âges, éditions Verso, (ISBN 2-903870-75-6, lire en ligne), p. 11 :
« « Au païs de Combralha O l'aspra Tarda chanta [...] La comba de Chambò e sas pradas en flor » Paul-Louis Grenier La chanson de Combraille, 1927 »
. - Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 23045001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Pierre Rigaud, « Originalité de la zone entre Berry, Bourbonnais, Marche et Auvergne : La Combraille », Médioromanie - Etudes sur la France médiane - Numéro 1 - Acte des 1ères rencontres médioromanes de Souvigny (27-28 Mai 2000), 2000 ; éd. 2001.
- « Seigneurs de la Combraille et de Chambon, p. 387-415 », sur Histoire de la Marche et du Pays de Combraille, t. Ier, par Joseph Joullietton, chez Bétoulle à Guéret, 1814.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Sornin », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Source : préfecture de la Creuse
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Un téléfilm sera tourné avec Francis Perrin, lepopulaire.fr
- https://www.lamontagne.fr/chambon-sur-voueize/television-medias/2014/05/03/village-prefere-des-francais-une-page-facebook-a-ete-creee-pour-soutenir-chambon_1990517.html 'Chambon-sur-Voueize sélectionnée pour l'émission Le Village préféré des Français sur France 2', La Montagne.fr
- https://www.lamontagne.fr/chambon-sur-voueize/television-medias/2014/05/03/village-prefere-des-francais-une-page-facebook-a-ete-creee-pour-soutenir-chambon_1990517.html
- Notice no PA23000021, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00100031, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jean Maury, Marie-Madeleine S. Gauthier, Jean Porcher, Limousin roman (collection « La Nuit des temps » n° 11), La Pierre-qui-Vire, Éditions Zodiaque, 1959, pp. 126-166.
- Notice no PA00100030, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- . Il y reçut ses amis écrivains, notamment Jean Echenoz, Michel Déon, Patrick Besson, Michel Braudeau. Chambon apparaît souvent dans le volume de ses Correspondances 1973-2003, La Table Ronde 2011. Cf. La Montagne, 18 mars 2011.
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