Chapelle-Royale

Chapelle-Royale est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Chapelle (homonymie).

Chapelle-Royale

La mairie.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Thomas Blonsky (LREM)
2020-2026
Code postal 28290
Code commune 28079
Démographie
Gentilé Capellarien, Capellarienne
Population
municipale
300 hab. (2019 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 36″ nord, 1° 03′ 14″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 192 m
Superficie 9,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Chapelle-Royale
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Chapelle-Royale
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Chapelle-Royale
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Chapelle-Royale
Liens
Site web http://www.chapelle-royale.fr

    Géographie

    Situation

    La ville de Chapelle-Royale fait partie du canton de Brou et de l'arrondissement de Nogent-le-Rotrou.

    Le village le plus proche, Les Autels-Villevillon se situe à 4,9 km. D'autres communes à la limite de l'Eure-et-Loir et du Loir-et-Cher se situent à moins de 10 km de Chapelle-Royale : La Bazoche-Gouet, Moulhard, Unverre, Arrou et Le Gault-du-Perche (Loir-et-Cher). Elle fait partie, depuis le 1er janvier 2017, de la communauté de communes du Perche qui rassemble 22 communes[1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Chapelle-Royale
    Les Autels-Villevillon Unverre
    La Bazoche-Gouet
    Arrou

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière Yerre, affluent en rive droite du Loir, lui-même sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 675 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Droué », sur la commune de Droué, mise en service en 1980[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 732,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Chapelle-Royale est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brou, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,5 %), prairies (15 %), zones urbanisées (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Chapelle-Royale est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Yerre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[23],[21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chapelle-Royale.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 229 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 177 sont en en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Regia Capella vers 1070[26], Chappelle Réale en 1384, Chapelle Réal en 1540, Chappelle Royal en 1598, Chaspel Royal en 1630, Chapell sur Yerre en 1793, Chapelle-sur-Yerre en 1801[27], Chapelle-Royale en 1816.

    Histoire

    Révolution française et Empire

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Chapelle-sur-Yerre[28]. Les habitants de Chapelle-Royale se nomment les Capellariens.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 avril 2008 Mauricette Dieu    
    avril 2008 En cours Thomas Blonsky[29],[30] LREM Commerçant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Cadre de vie

    La commune a été distinguée par une fleur au concours national des villes et villages fleuris de 2016[31], puis par une deuxième en 2018[32].

    Déchèterie

    La déchèterie à laquelle est reliée la commune est celle de Charbonnières[33] ou l'une des 3 autres du sitcom de Nogent-le-Rotrou[34].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2019, la commune comptait 300 habitants[Note 8], en diminution de 4,46 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    513514520497557572642624586
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    556534484493519523536548517
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    528518516504500502503489448
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    460450430378368339357360319
    2017 2019 - - - - - - -
    307300-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les écoles primaires les plus proches sont situées à La Bazoche-Gouet et Arrou.

    Les collèges à Authon-du-Perche et à Brou.

    Les lycées à Châteaudun ou à Nogent-le-Rotrou.

    Économie

    Les commerces du villages sont réduits à une unique épicerie, à un marché le vendredi et le samedi matin et à un unique restaurant[38].

    En 2015, la commune compte 22 entreprises[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Notre-Dame.
    Le monument aux morts.

    Le plan d'eau

    L'étang du Vieux-Moulin se trouve au centre du village en bordure de la rivière Yerre. De nombreuses espèces de poissons peuplent les eaux de l'étang puisque l'on y trouve des gardons, des carpes, des brochets et d'autres populations. Les berges peuvent être également l'endroit idéal pour admirer canards et autres poules d'eau[40].

    L'association "Les Carpes dorées", implantée à La Bazoche-Gouet, prend en charge l'organisation des activités de pêche dans la commune[41].

    L'église Notre-Dame

    L'église de la Chapelle-Royale, provenant du latin Capella Regalis, est une église dont les origines remontent au VIIe siècle à l'époque mérovingienne. Selon la tradition, l'église, qui dépendait de l'abbaye Saint-Père-en-Vallée de Chartres, fut financée par la Reine Bathilde, épouse du roi Clovis II[42].

    Autres lieux et monuments

    • Le monument aux morts

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. "Site Web communauté de communes du Perche".
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Droué - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Chapelle-Royale et Droué », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Droué - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Chapelle-Royale et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Chapelle-Royale », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1506.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chapelle-Royale », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    29. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    30. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    31. « Un village fier de ses fleurs », sur http://www.lechorepublicain.fr, (consulté le ).
    32. « TOURISME ET QUALITE DE VIE A CHAPELLE ROYALE - VILLES ET VILLAGES FLEURIS », sur www.villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
    33. SICTOM, « SICTOM de Nogent-le-Rotrou (28) - Déchèteries > Les déchèteries du SICTOM et les horaires d'ouverture : Déchèterie de Charbonnières », sur www.sictom-nogentlerotrou.fr, (consulté le ).
    34. SICTOM, « SICTOM de Nogent-le-Rotrou (28) - Déchèteries : Le règlement de la déchèterie », sur www.sictom-nogentlerotrou.fr, (consulté le )
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. « Les commerces », sur www.chapelleroyale.com (consulté le ).
    39. « Chapelle-Royale (28290) - Vivre et s'installer », sur www.eterritoire.fr (consulté le ).
    40. « Site de la mairie. », sur http://www.chapelle-royale.fr, .
    41. Fédération d'Eure-et-Loir pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique.
    42. Paroisse Saint-Lubin du Perche (préf. Abbé Daniel Rambure, curé), Ces 36 églises ont quelque chose à vous dire..., , 101 p..
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