Cheilly-lès-Maranges
Cheilly-lès-Maranges est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
Cheilly-lès-Maranges | |||||
La commune et ses vignes. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chalon-sur-Saône | ||||
Intercommunalité | Le Grand Chalon | ||||
Maire Mandat |
Marc Labulle 2020-2026 |
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Code postal | 71150 | ||||
Code commune | 71122 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cheillais[1], Cheillyssois[2] | ||||
Population municipale |
557 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 80 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 53′ 46″ nord, 4° 40′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 216 m Max. 400 m |
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Superficie | 7 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Chagny | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | cheilly-les-maranges.fr | ||||
Géographie
La commune de Cheilly-lès-Maranges est située dans la vallée des Maranges, dans le département de Saône-et-Loire à la limite du sud de la Côte-d'Or.
Villages, hameaux, lieux-dits, écarts
Mercey (hameau distant de 2,5 km, situé à l'ouest de la commune).
Accès et transport
Cheilly-lès-Maranges est située à moins d'un kilomètre du département de la Côte-d'Or, Santenay est située à deux kilomètres et Chagny est située à sept kilomètres. La commune comprend le village de Cheilly ainsi que le hameau de Mercey, et est traversée par les routes départementales D 133, D 143, et D 974.
La halte SNCF de Cheilly-lès-Maranges est desservie par des trains régionaux à destination de Chagny et Chalon-sur-Saône d'une part, Saint-Léger-sur-Dheune et Montchanin d'autre part.
Géologie et relief
Village viticole, dans un paysage vallonné. Les coteaux du village (exposé sud/sud-est) ne suivent pas l'alignement de la Côte de Beaune, mais ils en possèdent la même origine et nature géologique[3]. Les sols sont de type argilo-calcaire et plus particulièrement légers et caillouteux[3].
Hydrographie
La commune est traversée au nord par la rivière de la Cozanne qui se jette dans la Dheune à l'est de la commune. Le canal du Centre traverse aussi la commune à l'entrée du village.
Climat
Climat tempéré à légère tendance continentale avec des étés chauds et des hivers froids[4], avec une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogène sur l'année, avec un mois de mai le plus pluvieux de l'année. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise.
Valeurs climatiques de Dijon et Mâcon, car Cheilly-lès-Maranges est située entre ces deux villes.
- Dijon
Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'à 1990 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1 | 0,1 | 2,2 | 5 | 8,7 | 12 | 14,1 | 13,7 | 10,9 | 7,2 | 2,5 | −0,2 | 6,3 |
Température moyenne (°C) | 1,6 | 3,6 | 6,5 | 9,8 | 13,7 | 17,2 | 19,7 | 19,1 | 16,1 | 11,3 | 5,6 | 2,3 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,2 | 7 | 10,8 | 14,7 | 18,7 | 22,4 | 25,3 | 24,5 | 21,3 | 15,5 | 8,6 | 4,8 | 14,8 |
Précipitations (mm) | 49,2 | 52,5 | 52,8 | 52,2 | 86,3 | 62,4 | 51 | 65,4 | 66,6 | 57,6 | 64,2 | 62 | 732,2 |
- Mâcon
Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,6 | 0,7 | 2,5 | 5,2 | 8,9 | 12,3 | 12,4 | 13,9 | 11,1 | 7,5 | 2,9 | 0,1 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 2,1 | 4 | 6,8 | 10 | 13,9 | 17,5 | 20,1 | 19,4 | 16,4 | 11,7 | 6 | 2,7 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,9 | 7,3 | 11,1 | 14,8 | 18,9 | 22,8 | 25,7 | 24,9 | 21,7 | 15,9 | 9,1 | 5,3 | 15,2 |
Précipitations (mm) | 66,3 | 60,9 | 58,7 | 69,4 | 85,9 | 74,7 | 58,1 | 77,1 | 75,7 | 71,7 | 72,7 | 70,4 | 841,4 |
Communes limitrophes
Sampigny-lès-Maranges | Dezize-lès-Maranges | Santenay) (Côte-d'Or) |
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Saint-Sernin-du-Plain | N | Chassey-le-Camp Chamilly | ||
O Cheilly-lès-Maranges E | ||||
S | ||||
Dennevy | Saint-Gilles |
Urbanisme
Typologie
Cheilly-lès-Maranges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,2 %), terres arables (20,7 %), prairies (16,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), zones urbanisées (5 %), forêts (3,8 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Toponymie
L'origine du nom de Cheilly est dérivée de la forme gauloise du « sol pierreux », kal-jo, qui a donné en français caillou, mais aussi la chaille. Cette racine chaille apparait par ailleurs dans les noms de Chailly-sur-Armançon en Côte-d'Or ou Chailley dans l'Yonne, ainsi que dans les nombreux dérivés du type Chaillou ou Chailleuse fréquents en Bourgogne occidentale[14]. De ce fait, les différentes dénominations de Cheilly ont été par le passé Chesly, Chailly, Chailley , cheeillyo, Chaeilleyo, chaaliaco, Chaulleio, Chaaillei, chailleum en latin, conservant avec d'autres villages la forme écrite ou sonore « y », « ey », « é », témoin d'un passé celtique et gallo-romain où la villa rustica a donné naissance à un bourg ou un hameau.
Le , le conseil municipal de Dezize, commune des Maranges, demande à changer son nom en Dezize-lès-Maranges, au motif d'éviter la confusion avec Decize situé dans la Nièvre[15].
Le changement de nom d'une commune est du ressort du Conseil d'État sur proposition du ministre de l'Intérieur, sur la base d'un dossier constitué de la demande du conseil municipal, de l'avis du sous-préfet, de l'avis du conseil général, et enfin du rapport détaillé du préfet[16]. L'administration a donc demandé l'avis du conseil municipal de Cheilly.
Le conseil municipal de Cheilly, par délibération du , émit un avis défavorable au motif que la plus grande partie des Maranges est située sur la commune de Cheilly[15]. Par lettre du , le sous-préfet d'Autun a alors demandé au conseil municipal de Cheilly de bien vouloir reconsidérer sa décision.
Finalement, dans sa séance du , le conseil municipal de Cheilly donna un avis favorable à la condition expresse que Cheilly prenne également le nom de Cheilly-lès-Maranges[15]. Ainsi l'autorisation fut donnée le , pour les communes de Cheilly et Dezize, avec avis favorable du Conseil d'État, par le président de la République Émile Loubet.
Quelques semaines plus tard, le conseil municipal de Sampigny, commune située aussi dans les Maranges, fit sa demande le et a été autorisé, par décret du à prendre le nom de Sampigny-lès-Maranges[15].
Histoire
Préhistoire et antiquité
L'occupation de la région proche est très ancienne et date au moins de la période néolithique. À deux kilomètres, sur le plateau de Chassey-le-Camp, on retrouve des traces d'installations sédentaires de paysans venus du Midi de la France. La production culturelle de cette population a donné son nom à une culture du néolithique moyen, le chasséen.
Moyen Âge et Renaissance
En 954, l'existence de Cheilly est avérée par un acte de Lothaire, avant-dernier roi carolingien, qui exempte d'impôt un dénommé Willenco (Guilain) et ses fils Widoni (Guy) et Norduino (Nordin) sur des biens dans le hameau de « Cheilly sur la Dheune[17] ».
En 1253, Gautier, sire de Chaulleio, chevalier, tient en fief du duc Hugues IV de Bourgogne ce qu'il a aux villes de Cheilly et de Santenay et dépendances, tant en forteresses qu'en justice[15].
En 1291, Pernel de Montenteaume, damoiseau, fils de Pierre de Montenteaume, chevalier, tient en fief du duc Robert II de Bourgogne, la maison forte de Marceium (Mercey), paroisse de Cheilly[15].
En 1300, Robert Fusot, baron de Chaudenay, fait une fondation en faveur de l'église de Chagny, mais meurt dans l'année. Il laisse tous ses biens à son beau-frère Jean Pitois, seigneur de Monthelie, Couchet, Chaudenay, Chassagne, Cheilly et Cromey. La maison forte de Cheilly lui appartient. Il s'en dessaisit en faveur de Guillaume de Sampigny qui devient ainsi seigneur de Cheilly[15].
En 1366, Guillaume de Sampigny, écuyer, tient du duc Philippe II le Hardi ce qu'il a à Santenay, ainsi que la moitié de la muraille de la maison forte avec ses dépendances et droits de justice, l'autre moitié de la muraille et dépendances de la Motte de Cheilly est tenue en fief par Marguerite de Navilly, dame de Tailly, à cause de son douaire et au nom de ses enfants, Robert et Jehan de Bichey[15].
De même, Étienne dit Ruffin, damoiseau, tient du duc sa maison fortifiée située à Marceyo (Mercey), paroisse de Cheilly.
En 1372, Guillaume de Sampigny vend terre et droits à la grand-mère de Nicolas Rolin qui ultérieurement en héritera. Après lui les terres et droits de Cheilly et autres lieux, vont se transmettre aux descendants par les femmes. Seront successivement seigneurs des lieux, les familles d'Épinac, de Pernes, Touloujon, et enfin Choiseul[15].
Le , un accord est passé entre les héritiers de Nicolas Rolin pour sa succession, et Guillaume Rolin, sire de Beauchamp, reçoit ainsi les maisons et seigneuries de Cheilly[15].
Période moderne
Sous l'Ancien Régime, Cheilly faisait partie du bailliage de Beaune, de l'archiprêtré de Couches et du diocèse d'Autun.
Le , la commune fit partie du canton de Dezize, sous le nom de Cheilly Mussey et le Moulin. Elle fut rattachée au canton de Couches le 17 frimaire an X ()[15].
Période contemporaine
S'il y avait autrefois une activité économique diversifiée notamment composée d'une bonnèterie et d'une usine à plâtre, mais aussi de plusieurs bouchers, de boulangers, de charbonniers, de charrons, d'épiciers, d'un perruquier, de sabotiers, de tailleurs de vêtements et de fabricants de tissus, ainsi que de maçons, charpentiers, menuisiers, scierie, tonnellerie, ferronnerie et nombre de cafés, la ville ne comptait plus à la fin du XXe siècle qu'une unique boucherie-charcuterie, un boulanger, et une épicerie.
Cheilly comptait aussi quelques fermes qui ont toutes disparu désormais.
Héraldique
Blason | Parti : au 1er de gueules à la clé d'or, au 2e d'or à la grappe de raisin de gueules tigée et feuillé de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Listes des maires
Canton et intercommunalité
La commune fait partie du Grand Chalon.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2019, la commune comptait 557 habitants[Note 2], en augmentation de 4,31 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La commune possède une école maternelle et une école primaire. Le collège se trouve à Chagny.
Santé
Médecin, infirmière et pharmacie les plus proches se trouvent à Santenay (21). L'hôpital se trouve à Chalon-sur-Saône.
Sports
Le rugby à XV par l'intermédiaire du club de rugby de la commune qui évolue en promotion d'honneur du championnat de Bourgogne et le tennis peuvent être pratiqués dans la commune. Le village possède un terrain de rugby et des courts de tennis.
Cultes
Catholique à l'église du village.
Vie associative
Il y a 14 associations dans le village : Blaise et Compagnie, Association pour l'histoire de Cheilly, Bibliothèque, La joyeuse pétanque, OCCM Rugby, Club de l'amitié Cheilly/Santenay, Société de secours mutuel Saint-Vincent, Société de secours mutuel Saint-Louis, Société de chasse, Comité des fêtes, Tennis Club et Vieilles soupapes des Maranges.
Économie
Il y a dans cette commune : un bureau de Poste, un café, une boucherie et quelques gîtes. Le village possède quelques artisans : une entreprise de géothémie-aérothermie-clim, un jardinier-paysagiste et un plombier. La principale activité dans cette commune est représentée par la viticulture, avec la présence d'une dizaine de viticulteurs :
Domaine France Dessauge | Domaine Christian Roy |
Domaine Philippe Roy | Domaine Sandrine Beauvais |
Domaine Berger-Rive Gérard & Fils | Domaine Jean-François Bouthenet |
Domaine Marc Bouthenet | Domaine Pierre Bresson |
Domaine Château de Mercey | Domaine Chevrot et Fils |
Vignoble
Ce village fait partie de l'appellation Maranges créée le , comprenant en tout 162 hectares dont 83 en appellation premier cru[23] et exploité presque exclusivement en vin rouge (cépage pinot noir).
La production viticole sur 122 ha dont 42 ha classés en premier cru comprend aussi les AOC bourgogne hautes côtes de beaune, bourgogne aligoté, et crémant de bourgogne.
Bien que l’aire de production soit située dans le département de Saône-et-Loire, Cheilly-lès-Maranges fait partie intégrante de la Côte de Beaune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Civils
- la maison forte de Mercey ;
- la Forteresse de Cheilly, propriété au XVe siècle du chancelier de Bourgogne Nicolas Rolin (qui en hérita par sa grand-mère), avant qu'elle ne passe, successivement, aux familles d'Épinac, de Pernes, de Toulongeon et, finalement, de Choiseul[24] ;
- le lavoir de la fontaine Saint-Pierre (1880), inscrit à l'inventaire général des Monuments historiques le ;
- le lavoir de Saint-Pierre (1891), inscrit à l'inventaire général des Monuments historiques le ;
- la salle de fêtes.
- Religieux
- l'église paroissiale Saint-Pierre du XIIIe siècle, interdite en 1830. On y voit plusieurs litres aux armes des Choiseul du XVIIIe siècle, seigneurs du lieu: « d' azur à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même », recensement à l'inventaire général des Monuments historiques le .
Personnalités liées à la commune
- Nicolas Rolin, chancelier de Philippe le Bon, duc de Bourgogne (XVe siècle).
- Guillaume Rollin, sire de Beauchamp, descendant de Nicolas Rolin (XVe siècle).
- Marius Roux (1883-1972), enseignant qui s'installa à Cheilly et y fut peintre amateur (il y exécuta quantité de dessins au pastel entre 1960 et 1970)[25].
- Jeanne-Marie Reuillon (1898-1992) qui, après des études de lettres en Sorbonne et un séjour aux États-Unis, devint journaliste et écrivain sous le pseudonyme de Marie-Jeanne Viel ou de Jean Viel, spécialiste de littérature américaine et d'histoire politique française[26].
- Paul Pauliat (1922-2008), né dans la commune, professeur agrégé de russe au Lycée Voltaire (Paris).
Pour approfondir
Bibliographie
- Le Figaro et La Revue du Vin de France : Les vins de France et du monde (20 volumes), no 11 (Côtes de Beaune), 96 pages, Édité par La société du Figaro, Paris 2008, (ISBN 978-2-8105-0054-3)
- Histoire de Cheilly et Mercey, Édité par l'Association pour l'Histoire de Cheilly, mars 2002.
- Pierre-Eric Mounier-Kuhn, Le canton de Couches au XIXe siècle, mémoire de Maîtrise d’Histoire, université Paris X-Nanterre (dir. Pr. Philippe Vigier), 1981, 298 p.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
- habitants.fr
- Site du BIVB : Maranges
- André Dominé : Le vin, « La Bourgogne », p. 181.
- Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990)
- Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990)
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Gérard Taverdet, Noms de lieux de Bourgogne, Editions Bonneton, Paris, 1994 ( (ISBN 2862531634)).
- Page sur l'histoire de Cheilly-lès-Maranges (Association pour l'histoire de Cheilly)
- Circulaire ministérielle du no 469, pour l'application de la loi municipale du .
- M.G. Delannoy, « Saint Loup de la Salle Histoire d'un village bourguignon », dans Trois Rivières, no 54, 2000, Groupe d'études historiques de Verdun-sur-le-Doubs.
- Passion vin : Page sur les Maranges
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Le Figaro et La revue du vin de france (2008) : Vins de France et du monde (Bourgogne : Côte de Beaune), page sur L'appellation, p. 18
- « Cheilly-les-Maranges », article d'Alain Dessertenne paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 151 de septembre 2007 (pages 6 à 9).
- Source : Promenade à Cheilly, sur les pas de Marius Roux, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 192 (décembre 2017), pp. 20-21.
- Parmi beaucoup d'articles et de chapitres d'ouvrages historiques, citons Jean Viel,Paul Reynaud (Librairie Plon, 1940), Marie-Jeanne Viel, Histoire d'une reine: Queen Mary (Amiot-Dumont. 1953),Colette au temps des Claudine (Publications essentielles, 1985)
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