Cires-lès-Mello
Cires-lès-Mello est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France ,
Cires-lès-Mello | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | CC Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Alain Guerinet 2020-2026 |
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Code postal | 60660 | ||||
Code commune | 60155 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cirois - Ciroise | ||||
Population municipale |
3 996 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 239 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 16′ 26″ nord, 2° 21′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 149 m |
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Superficie | 16,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Cires-lès-Mello (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montataire | ||||
Législatives | 3e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.cires-les-mello.fr | ||||
Géographie
Description
La commune, traversée par le méridien de Paris matérialisé par la Méridienne verte, est située à l'ouest de Montataire sur l'ancienne route nationale 329 (actuelle RD 929).
Elle est traversée par le Sentier de grande randonnée GR11.
La gare de Cires-lès-Mello est desservie par les trains qui effectuent des missions entre les gares de Creil et de Beauvais.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est limitée à l'est par le Thérain et ses importantes zones de marais[1] et ses étangs.
Le Thérain est un affluent de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine.
- Le Petit Thérain
- Lavoir en béton armé
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Cires-lès-Mello est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cires-lès-Mello, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 4 615 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,8 %), forêts (34,8 %), zones urbanisées (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), eaux continentales[Note 8] (2,1 %), prairies (1,5 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Le hameau du Tillet, qui dispose d'une école[25], est situé à l'ouest de la ville.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 656, alors qu'il était de 1 526 en 2013 et de 1 388 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 91,8 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 71,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 24,2 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cires-lès-Mello en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,7 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (65,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Cires-lès-Mello[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 91,8 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,7 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,6 | 7,1 | 8,2 |
Toponymie
Le nom de la commune serait constitué du nom de personne gauloise Ciro et de mello (hauteur, plateau)[26].
Histoire
La première mention du village de Cires-lès-Mello remonte à 1170[27].
Le chemin de fer dessert le bourg en 1857 avec la mise en service de la gare de Cires-lès-Mello sur la ligne de Creil à Beauvais[28], facilitant les déplacements des habitants et le transport des marchandises.
Lors de la Première Guerre mondiale, Cires-lès-Mello se trouve à l’arrière du front et est un lieu de passage et de cantonnement des troupes françaises. Elle est épargnée des bombardements ennemis sauf durant la nuit du 20 au , date à laquelle un avion bombardier allemand détruit plusieurs immeubles de la commune et tue quatre civils[29].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Neuilly-en-Thelle[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est rattachée au canton de Montataire
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes la Ruraloise, créée au , et qui avait pris la suite du SIVOM du Thelle.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[31], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[32],[33].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée communauté de communes Thelloise après avoir porté le nom provisoire de communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [34].
Tendances politiques et résultats
Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste DVD menée par Béatrice Basquin remporte la majorité des suffrages exprimés, avec 637 voix (43,18 %, 20 conseillers municipaux dont 6 communautaires), devançant les listes menées respectivement par[35] :
- Alain Guérinet, maire sortant (DVD, 583 voix, 39,52 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Barbara Mlynarczyk (PG, 255 voix, 17,28 %, 2 conseillers municipaux élus.
Lors de ce scrutin, 33,33 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans l'Oise[36], une quadrangulaire a lieu : la liste DVG menée par Alain Guerinet — maire de la commune de 1989 à 2001 et de 2008 à 2014 — remporte la majorité des suffrages exprimés, avec 419 voix (41,48 %, 20 conseillers municipaux élus, dont 3 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[37] :
- Josiane Vandriessche (DVD, 300 voix, 29,70 %, 4 conseillers municipaux élus dont1 communautaire) ;
- Bertrand Vandewalle (DVD, 225, 22,27 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Barbara Mlynarczyk (DVG, 66 voix, 6,53 %, pas d'élus) ;
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 56,64 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
Équipements et services publics
- Le bureau de poste.
- La salle des fêtes.
- La gare
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2019, la commune comptait 3 996 habitants[Note 9], en augmentation de 5,38 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 028 hommes pour 1 958 femmes, soit un taux de 50,88 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Cires-lès-Mello trois monuments historiques sur son territoire :
- Église Saint-Martin, place de l'Église (classée monument historique en 1906[27],[53]) : De plan cruciforme, elle se compose d'une nef de quatre travées accompagnée de ses deux bas-côtés ; d'un transept ; d'un chœur au chevet plat d'une seule travée, et de deux chapelles. L'une est de faible profondeur et prolonge le croisillon nord vers l'est ; l'autre, plus grande, se trouve en face et présente extérieurement deux pans de mur obliques.
- Le clocher du XVe siècle se dresse au-dessus de la première travée du bas-côté sud. Le chœur et le croisillon nord avec sa chapelle constituent les éléments les plus anciens et remontent à la fin du XIIe siècle, et la nef avec ses bas-côtés sont issus d'une seule campagne de construction vers 1230/ 1235.
- Après l'écroulement des voûtes de la croisée du transept, du chœur, du croisillon sud et de la chapelle sud à la fin du Moyen Âge, ces parties sont totalement reconstruites dans le style gothique flamboyant, avec l'adjonction d'un porche devant le portail méridional, mais les voûtes sont simplement remplacées par des lattis de bois recouverts de plâtre. Tout le sol autour de l'église et à l'intérieur a été remblayé pour lutter contre les fréquentes crues du Thérain, ce qui confère à l'édifice une silhouette trapue, et les grandes arcades faisant communiquer la nef avec les bas-côtés paraissent trop basses.
- Malgré ses dimensions modestes, l'église est riche d'une élévation sur trois étages, avec des galeries ouvertes sur les combles des bas-côtés et des fenêtres hautes. Les murs hauts de la nef sont confortés par des arcs-boutants. Comme particularités, les fenêtres hautes sont des triplets de baies en tiers-point sans remplage, disposition plus courante pour le chevet ou les extrémités du transept, et les galeries ne comportent qu'une unique baie par travée, en tiers-point et sans arc de décharge. Dans les deux cas, l'on peut parler d'une absence de raffinement. Dans son ensemble, l'église est bien conservée et n'a pas subi de restaurations importantes, ce qui en fait un édifice d'une grande authenticité[54],[55]
.
- Ruine de la grange dîmière, rue des Petits-Prés et impasse de la Grange-aux-Dîmes (inscrite monument historique en 1926[56]) : Elle date du XIIIe siècle[56] et appartenait autrefois à l’Hôtel-Dieu de Mello. Subsistent le mur gouttereau nord avec les arrachements des voûtes d'ogives, et les deux murs pignons. Sur le contrefort occidental, prend appui une échauguette grâce à deux trompes.
- Pavillon du Tillet, rue Grande du Tillet - RD 929 (inscrit monument historique par arrêté en 2008[57]) : Il s'agit d'une maison en pans de bois, de style néogothique et néo-Renaissance, ornée de riches décors sculptés. Ce pavillon provient de l'Exposition universelle de 1900, probablement du « quartier du Vieux Paris ». Il a été acquis par les propriétaires du château du Tillet et remonté au hameau du Tillet afin de servir de maison de gardien pour le château[57].
On peut également noter :
- Ancien hôtel-Dieu de la seigneurie de Mello, rue des Petits-Prés.
- Chapelle du Tillet, du XIIe siècle et largement restaurée au XIXe siècle ainsi qu'après la Seconde Guerre mondiale. De plan rectangulaire à l’origine, elle a été dotée d’une abside à trois pans au 19ème siècle. Une voûte en carène renversée, très refaite, recouvre la partie ancienne tandis que l’abside reçoit une voûte à nervures retombant sur des consoles sculptées, dans l’esprit du gothique tardif. La chapelle contient une chaire de style gothique[58]
- L'ancien Hôtel-Dieu
- Maison de maître, Grande-rue du Tillet
- Pavillon du Tillet
- Maison, près de la gare
- Abri de quai de la gare.
- Maison ancienne, rue Saint-Martin
- Monument aux morts
Personnalités liées à la commune
La ville de Cires-lès-Mello a une rue dédiée à saint Martin. Ce dernier serait passé à cheval (dans une rue appelée maintenant la rue Saint-Martin) et sa monture y aurait perdu un fer, détenu maintenant dans l'église ayant au-dessus de sa porte d'entrée une statue de saint Martin à cheval.
- Auguste Viquesnel (1800-1867), ethnologue et géologue français, né à Cires-lès-Mello.
Héraldique
Blason | D'or au chevron de gueules, accompagnée au chef de deux fers à cheval de sable et en pointe un alérion du même, au chef d'azur chargé de trois merlettes d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Cires-lès-Mello (60155) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Cires-lès-Mello », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Cires-lès-Mello » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Cires-lès-Mello » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cires-lès-Mello - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cires-lès-Mello - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Jeanne Cassard, « Cires-lès-Mello : qui est responsable de la pollution d’un chemin communal ? : Depuis près d’un an, des eaux usées se déversent sur un chemin communal situé en contrebas. Des riverains, exaspérés, se battent pour faire cesser cette nuisance », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cires-lès-Mello et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cires-lès-Mello et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Cires-lès-Mello », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Juliette Duclos, « A Cires-lès-Mello, l’école « délabrée » va être restaurée : Après des mois de confrontation, les parents d’élèves de l’école Tillet, à Cires-lès-Mello, ont eu gain de cause et des travaux « d’urgence » vont être réalisés », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Quelques origines de noms de lieux en Picardie », sur http://crehangec.free.fr/ (consulté le ).
- « Église Saint-Martin », notice no IA60001555, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- François Palau, Maguy Palau, Le rail en France : 1852-1857, Palau, 1998 p. 198 extrait (consulté le 7 décembre 2012).
- « Cires-lès-Mello durant la Grande guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, sur Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
- « Cires-lès-Mello :première maire du village », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Alain Guérinet, maire sortant, maire de 1989 à 2001, battu de 13 voix en 2001, puis réélu maire en 2008, semble considérer avoir manqué de temps pour mener ses projets à terme ».
- « Municipales2020: A Cires-les-Mello, l’école au cœur des programmes des candidats », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ).
- « Cires-lès-Mello », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Les maires de Cires-lès-Mello », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Victor Fortunato, « L'ancien maire veut reprendre son fauteuil : Municipales 2001 », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « lain Guérinet, le maire sortant de Cires-lès-Mello, retrouvera Hubert Lioust sur sa route lors des prochaine élections municipales. Un adversaire qu'il connaît bien. En effet, Hubert Lioust, qui a officialisé sa candidature hier, n'est autre que l'ancien maire de cette commune. Mieux, les deux hommes étaient par le passé très unis. Ainsi, en 1989, Alain Guérinet avait été élu maire sur la liste de Hubert Lioust. En 1995, un accord était intervenu entre les deux hommes ».
- V. F., « Hubert Lioust veut reconquérir son fauteuil », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Depuis plusieurs semaines, l'ancien maire sillonne la commune pour faire connaître sa liste « Initiatives et progrès ». Celui qui avait perdu son fauteuil en 1989, à cause d'un écart infime de 21 voix, veut mettre tous les atouts de son côté pour faire vaciller Alain Guérinet, le maire, élu depuis onze ans alors qu'il figurait à l'époque sur la propre liste de Hubert Lioust (...) Hubert Lioust, qui fut adjoint au maire de 1977 à 1983 puis maire de Cires-les-Mello de 1983 à 1989, pense qu'il a toutes les chances de retrouver son fauteuil ».
- Daniel Vernet, « Hubert Lioust retrouve son fauteuil », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Hubert Lioust, 62 ans, retraité, a tout d'abord été élu par 19 voix contre 3 à Jean-Yves Lefèvre, le représentant de la liste de rassemblement des forces de gauche, et 5 bulletins blancs ».
- « A Cires-lès-Mello, l'état des finances inquiète les Indignés », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Aux affaires depuis 2014, la maire actuelle pointe du doigt la « gestion euphorique » de l'ancienne équipe, symbolisée par la construction d'un complexe sportif à ses yeux « surdimensionné » (3,5 M€) : « Il nous coûte 340 000 € par an en fonctionnement. On ne peut donc pas faire mieux que de réagir aux besoins urgents. On optimise, mais tous nos projets sont mis de côté. Et la baisse des aides d'Etat ne va rien arranger », déplore Béatrice Basquin (DVD). « Il y a des sous ! Quand on est parti, il y avait 543 000 € dans les caisses, et 891 000 € un an plus tard », rétorque son prédécesseur et opposant Alain Guérinet (DVD) ».
- Otto Beaumont-Senn, « Cires-lès-Mello. Décès de l’ancienne maire Béatrice Basquin : Les habitants de Cires-lès-Mello (Oise) ont appris le décès de l'ancien maire Béatrice Basquin, a l'âge de 65 ans, mercredi 23 février », Oise Hebdo, 288/2/2022 (lire en ligne, consulté le ).
- « Extrait de la fiche de Mme. Béatrice Basquin », sur http://www.lesbiographies.com, (consulté le ).
- « Cires-lès-Mello : L’ancien maire Alain Guérinet retrouve son siège », Oise hebdo, (lire en ligne, consulté le ).
- « Compte-rendu succinct de la réunion du conseil municipal du samedi 4 juillet 2020 » [PDF], Comptes rendus, Mairie de Cires-lès-Mello (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cires-lès-Mello (60155) », (consulté le ).
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- Dominique Vermand, « Cires-les-Mello / Le Tillet : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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