Combas
Combas est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Robert Combas.
Combas | |
Mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Sommières |
Maire Mandat |
Michel Debouverie 2020-2026 |
Code postal | 30250 |
Code commune | 30088 |
Démographie | |
Gentilé | Combassol |
Population municipale |
635 hab. (2019 ) |
Densité | 40 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 51′ 20″ nord, 4° 06′ 50″ est |
Altitude | Min. 55 m Max. 274 m |
Superficie | 16,04 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Calvisson |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | combas.ccpaysdesommieres.fr |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau d'Aigalade, le ruisseau de Brie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Combas est une commune rurale qui compte 635 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Combassols ou Combassoles.
Géographie
Localisation
Hydrographie et relief
Massif du Mas de Bayle (167 m) à l’ouest ou du Bois de Monsieur (262 m) et Serre du Suc (231 m) au nord, les Ombrens (271 m) au nord-est, les Devès (148 m) à l’est et le Bois de la Paillade (134 m) au sud, autant de massifs de collines qui ceinturent le village. De ces monticules calcaires, de nombreuses sources sont exploitées pour l’approvisionnement en eau de Combas ou de ses proches voisins, ou encore laissées en l’état, simplement couvertes pour ne pas les oublier.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vic Le Fesq », sur la commune de Vic-le-Fesq, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 827,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 20 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Voies de communication et transports
Desserte par la route (20 min de Nîmes, 35 min de Montpellier, 30 min d'Alès. Autoroute A9 à 20 min (Lunel) ou 25 min (Nîmes Ouest).
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[13] : le « bois de Lens » (8 318 ha), couvrant 19 communes du département[14].
Urbanisme
Typologie
Combas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[I 1],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].
Combas est rattaché à la Communauté de Communes du Pays de Sommières (CCPS). Combas est par ailleurs l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,8 %), cultures permanentes (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), zones urbanisées (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Ses habitants sont les Combassols et les Combassoles.
Histoire
Moyen Âge
[18]Il existe de nombreuses preuves du peuplement du territoire aux périodes néolithique, âge de fer, romaine, gallo-romaine notamment dans les lieux de Prouvessa, Frigoulet et Cannac. Il y a plus d'une dizaine de carrières de pierre recensées dans les bois de Lens qui ont servi aux édifices notamment romains (ex Maison Carrée à Nîmes). Le 11 novembre 879, pour la première fois, il est fait mention de « COMBATIO » dans une vente établie entre Engelvin et sa femme Archimberge au profit de Gilbert, évêque de Nîmes. À cette époque, les habitants se sont probablement regroupés en partie sur l'emplacement du village actuel, un petit sanctuaire païen, puis chrétien, ayant peut-être précédé l'église romane que nous connaissons. En l'an 1099, dans une bulle d'Urbain II, la « VILLA COMBATIS » et le bénéfice du prieuré St Brice sont confirmés au profit du monastère de Psalmody[19]. L'église Saint-Brice est mentionnée dans une bulle du pape Urbain II en l'an 1099. Les seigneurs de Combas sont au XIIe siècle l'abbé et le monastère de Psalmodi. En 1185, le village est vendu à Pierre Ribaute. À partir du XIVe siècle, ce sont les Bermond qui deviennent barons de Combas. Le château attenant à l'église fortifiée est mentionné comme achevé en 1364[18].
Époque moderne
À partir de 1527, la baronnie de Combas passe de la famille des Bermond à celle des Pelet. Au mois d'août 1699, Louis XIV érige la baronnie de Combas en vicomté sous le titre nom de Pelet Narbonne[18].
Combas est très marqué par les guerres de religion. Alors qu'une grande majorité de la population du village est devenue protestante à partir de la Réforme en 1530, le village est pris d'assaut le 29 juin 1569 par une armée de 4 000 hommes de pied et 300 chevaux commandée par Edouard d'Albert de Mondragon, Seigneur de Saint-André, gouverneur d'Aigues-Mortes. Le château est en grande partie détruit. Au moment de la révocation de l'Edit de Nantes en octobre 1685, beaucoup de protestants sont obligés d'abjurer et de redevenir officiellement catholiques. Pendant la guerre des camisards (juillet 1702 - juin 1704), le village est confronté aux combats. Le 5 juin 1703, 300 camisards mettent à sac l'église fortifiée[18].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2019, la commune comptait 635 habitants[Note 7], en augmentation de 5,31 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Les deux communes de Combas et de Fontanès sont regroupés dans un RPI (Regroupement Pédagogique Intercommunal). Les maternelles sont assurées dans les locaux de l'école de Combas et les primaires sont assurées à Fontanès.
Santé
Les médecins et pharmaciens les plus proches se trouvent à Sommières, Saint-Mamert ou Quissac. Le centre hospitalier Carrémeau de Nîmes est à 20 min de voiture.
Manifestations culturelles et festivités
Fêtes votives taurines. Courses et randonnées VTT rassemblant jusqu'à 800 adeptes.
Cultes
Cultes catholiques dans l'église et réformés dans le temple. En moyenne une fois par mois.
Emploi
Les emplois sur Combas concernent principalement le bâtiment et la viticulture. Nombreux sont les habitants qui travaillent autour de la commune, notamment dans les agglomérations de Nîmes ou de Montpellier.
Secteurs d'activités
41 établissements[Note 8] sont implantés à Combas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 4].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 41 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 6 | 14,6 % | (7,9 %) |
Construction | 11 | 26,8 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 7 | 17,1 % | (30 %) |
Information et communication | 2 | 4,9 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,4 % | (3 %) |
Activités immobilières | 2 | 4,9 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 7 | 17,1 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 2 | 4,9 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 3 | 7,3 % | (8,8 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,8 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 41 entreprises implantées à Combas), contre 15,5 % au niveau départemental[I 5].
Entreprises et commerces
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[25] :
- Neuro Business Conseil, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (28 k€)
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 58 | 53 | 33 | 16 |
SAU[Note 11] (ha) | 435 | 451 | 275 | 342 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 58 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 53 en 2000 puis à 33 en 2010[28] et enfin à 16 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 72 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[29],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 435 ha en 1988 à 342 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 21 ha[28].
Entreprises de l'agglomération
Petites structures liées au bâtiment ou à la viticulture
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 275 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 673 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 170 €[I 6] (20 020 € dans le département[I 7]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 9,7 % | 8,3 % | 11,3 % |
Département[I 9] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 409 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (63,2 % ayant un emploi et 11,3 % de chômeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 14],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 6],[I 11]. Elle compte 87 emplois en 2018, contre 73 en 2013 et 76 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 259, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,5 %[I 12].
Sur ces 259 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 50 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 87,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- Place abritant une fontaine à vasque en fonte (fontaine du Griffe), une croix de mission et un arbre de la Liberté (sorte d'obélisque surmonté d'une girouette figurant une Marianne)[Note 15].
- Place de la Liberté.
- Monument à La Liberté.
Édifices religieux
- Église Saint-Brice de Combas, architecture romane du XIe siècle .
- Temple protestant (XIXe siècle).
- Église.
- Temple.
Patrimoine culturel
Nombreux vestiges de carrières, de fours à chaux dans le bois des Lens. Nombreux puits dans le village.
Sentier des capitelles "Les Merveilles du bois des Lens"[30].
Patrimoine environnemental
- Bois de Lens : ce massif forestier dominant le paysage est une réserve écologique à l’équilibre fragile. En effet, l’incendie est l’un des plus grands dangers menaçant la forêt méditerranéenne. Le bois de Lens est aménagé pour permettre de lutter efficacement contre le feu.
- Serre du Suc : une promenade sur le flanc du bois des Lens conduisant à un magnifique point de vue sur toute la région.
- Circuit autour de Combas : entre collines boisées et plaine viticole, la balade conduit à la découverte de l’environnement du village : cave coopérative, fontaine Mère de Dieu, etc.
Personnalités liées à la commune
- Charles Fehrenbach, enterré à Combas où il passa sa retraite : astronome français, né le 29 avril 1914 à Strasbourg et mort le 9 janvier 2008 à Nîmes. Il a été l'un des principaux acteurs de la réalisation des instruments optiques ayant permis à l'astrophysique française puis européenne du XXe siècle de naître et se développer. Il a été élu correspondant de l'Académie des sciences le 18 février 1963, et membre de cette académie le 12 février 1968 dans la section Sciences de l'Univers.
Héraldique
Blason | D'or à la fasce d'argent* chargée de cinq fusée de gueules. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (argent sur or). Version utilisée par la commune. |
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Alias | Blason attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Site Officiel du Pays Vidourle Camargue », sur www.pays-vidourlecamargue.fr (consulté le )
- « Site Officiel du SCOT Sud Gard », sur www.scot-sud-gard.fr (consulté le )
- « Combas sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Combas », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- D'après un vieil habitant, l' obélisque de Combas d'inspiration maçonnique, a été érigé après la guerre de Guerre de 1870. Il est couronné par une représentation de la République tenant d'une main le drapeau tricolore symbole de Lumière et de Progrès, qu'elle regarde pour montrer la voie à suivre. De l'autre elle tient une équerre d'architecte symbolisant la nécessaire reconstruction de la Nation dans la Justice et l'Équité.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Combas » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Combas » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Combas » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Combas » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vic Le Fesq - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Combas et Vic-le-Fesq », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vic Le Fesq - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Combas et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Combas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « bois de Lens » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Roland Bonnaud, Combas, un terroir, une histoire, des origines à l'an 1800, Combas, Combas, , 328 p. (ISBN 978-2-746-64895-1), p. 129-134.
- Super User, « Combas - Histoire de Combas » (consulté le ).
- « Résultats municipales 2020 à Combas », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Combas », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Combas - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- Collectif des Garrigues, L'"art" de la pierre sèche en Garrigue, Collectif des Garrigues, , 128 p. (ISBN 978-2-9565644-0-9, lire en ligne), p. 61.
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 62.
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