Couloisy

Couloisy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Couloisy

Église Notre-Dame de Couloisy,
monument historique.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC des Lisières de l'Oise
Maire
Mandat
Jean-Claude Cormont
2020-2026
Code postal 60350
Code commune 60167
Démographie
Gentilé Couloisiens, Couloisiennes
Population
municipale
576 hab. (2019 )
Densité 154 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 59″ nord, 3° 01′ 41″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 127 m
Superficie 3,74 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Trosly-Breuil
(banlieue)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-1
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Couloisy
Géolocalisation sur la carte : France
Couloisy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Couloisy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Couloisy

    Géographie

    Description

    Couloisy est un village picard du Soissonnais jouxtant à l'est Attichy, situé dans la vallée de l'Aisne et traversé par la route nationale 31. Il se trouve à 15 km à l'est de Compiègne, à 22 km à l(ouest de Soissons et à 53 km au sud-ouest de Saint-Quentin.

    Il est desservi par la ligne d'autocars no 26 du réseau interurbain de l'Oise.

    Une piste cyclable a été aménagée sur l(ancienne Ligne de Rochy-Condé à Soissons, dont le trafic voyageur a cessé en 1939..

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Couloisy
    Berneuil-sur-Aisne Attichy
    Jaulzy
    Cuise-la-Motte Croutoy

    Hydrographie

    Le territoire communal est limité au nord par le lit de l'Aisne, un affluent de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine.

    Il est bordé par une vaste zone d'étangs.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 716 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Couloisy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trosly-Breuil, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 5 818 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (32,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (40,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,7 %), forêts (32,4 %), eaux continentales[Note 8] (19,6 %), zones urbanisées (15,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 250, alors qu'il était de 226 en 2013 et de 203 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 88,4 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 10,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Couloisy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Couloisy en 2018.
    Typologie Couloisy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 88,4 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 10,8 7,1 8,2

    Histoire

    Antiquité

    Émile Coët relate « Des améliorations apportées au cours de l'Aisne, amenèrent, en 1840, la découverte, au lieu dit le Hérand, d'un cercueil en pierre, d'un tintabulum (sonnette en fer) trouvés entre les cornes d'un bouc, et d'un magnifique vase en bronze, d'une forme très élégante, avec une anse ornée d'un médaillon de Bacchus ou d'Apollon. On y trouva encore des monnaies romaines impériales, antérieures à Constantin le jeune, puis des vases de différentes formes, une grande amphore des armes et beaucoup de tuiles à double rebord (Teguloe incurva).
    Au lieu dit la Platrière, près de la route de Soissons, on a découvert une grande quantité de sarcophages[24] ».

    Moyen-Âge

    Louis VII le Jeune accorde en septembre 1155 certaines franchises aux habitants de Couloisy[24].

    Raid Pékin-Paris 1907

    La commune de Couloisy, instituée par la Révolution française, est fugacement réunie de 1826 à 1832 à celle de Croutoy[25].

    En août 1907 lors du raid Pékin-Paris et de l'avant dernière étape qui devait les mener de Soissons à Compiègne, Georges Cormier et Victor Collignon (tous deux respectivement 2e et 3e) sur voitures De Dion-Bouton, font halte au café de Couloisy situé sur la RN 31, afin de faire le plein en bidons de carburant et se désaltérer. Ils sont accueillis par le marquis Jules-Albert de Dion et le petit père Bouton au garage Chauviet de Compiègne. Le lendemain une foule en liesse les escorte dans les rues de Paris jusqu'à l'arrivée du raid, devant le journal Le Matin.

    Première Guerre mondiale

    Monument aux morts.

    Si le village est bombardé à plusieurs reprises, il est surtout un cantonnement et un lieu de repos de 1914 à 1918, pour les poilus. Le , le colonel du 2e bataillon de chasseurs à pied rapporte dans son Journal de marche, l'état des maisons abandonnées à la hâte par ses habitants et pillées, que ses hommes découvrent à leur arrivée.

    Le général Mangin, donne l'ordre de traduire en cour martiale tout militaire pris dans une affaire de vol. Dans la grange du n°47 route de Reims sur la RN 31, les 28e, 99e, 417e régiments d'infanterie, le 106 bataillon de chasseurs à pied, le 15e régiment de dragons, le 3e régiment de zouaves et bien d'autres encore, ont laissé des vestiges (graffitis, postes de tir, etc.). Les restes de deux roulantes de cuisine, des affaires personnelles et d'émouvantes lettres de jeunes gens venus du Creusot pour mourir lors de la deuxième bataille de Picardie et surtout lors des assauts sur Noyon, y sont découvertes en 2008 dans la paille encore intacte de l'époque.

    Couloisy a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [26].

    Après la guerre, les familles dont les maisons étaient détruites sont relogées dans des maisons de bois très caractéristiques de la reconstruction provisoire. Un exemplaire, encore en très bon état, a été conservé sur le site de la Roseraie.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Attichy[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Compiègne-1

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Couloisy est membre de la communauté de communes des Lisières de l'Oise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 sous le nom de communauté de communes du Canton d'Attichy et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1881   Henry Auguste Désiré Nattier    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 André Papyn    
    mars 2008 En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Jean-Claude Cormont   Retraité
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Le collège d'enseignement secondaire Louis-Bouland, regroupant 567 élèves en 2012-2013, est sitié à Couloisy, bien que limitrophe d'Attichy[29].

    Équipements sportifs

    La communauté de communes gère la piscine située près du collège ainsi que les salles de sport qui la jouxtent[30].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2019, la commune comptait 576 habitants[Note 9], en augmentation de 14,06 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    146140167156176211194183187
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    191190171146161147157146163
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    148166185210210200185222241
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    256331439464528494488499541
    2019 - - - - - - - -
    576--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 272 hommes pour 296 femmes, soit un taux de 52,11 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    1,4 
    5,0 
    75-89 ans
    7,7 
    14,4 
    60-74 ans
    16,7 
    23,6 
    45-59 ans
    19,9 
    21,0 
    30-44 ans
    19,8 
    13,7 
    15-29 ans
    13,9 
    21,6 
    0-14 ans
    20,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte un monument historique :

    • Église Notre-Dame de Couloisy, située à l'écart du village, a été construite .vers 1150 et remaniée au XVIe siècle. La façade et le clocher datent de l'origine de l'édifice, la nef a été profondément remaniée au XIXe siècle. « Bien que de dimensions modestes, Notre-Dame est un excellent exemple de l’exceptionnelle qualité atteinte par l’architecture religieuse du Soissonnais au XIIe siècle[36] »

    On peut également signaler :

    • Monument aux morts.
    • La Roseraie de Couloisy, 8 rue de la recompense, compte plus de 1000 variétés de roses anciennes ou modernes, dans un jardin privé de 10 000 m2[37],[38].
    • Ses pistes cyclables et la proximité de l'Aisne et de la forêt de Compiègne sont des atouts touristiques pour la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Le nom d'un ancien seigneur de Couloisy, Jérôme des Crestines, est mentionné dans une inscription de l'église[24]
    • Le soldat Georges Langevin lors de son repos dans le village en juillet 1916, écrivit un émouvant poème à sa femme Henriette :
    ICI-BAS
    Ici-bas les lèvres effleurent
    Sans rien laisser de leur velours
    Je rêve aux baisers qui demeurent
    Toujours
    Ici-bas tous les hommes pleurent
    Leurs amitiés ou leurs amours
    Je rêve aux couples qui demeurent
    Toujours, Toujours
    Geo Langevin, juillet 1916, Couloisy Oise.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Couloisy », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Soissons [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Couloisy et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Couloisy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Trosly-Breuil », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 15-16, sur Gallica.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
    27. « Les maires de Couloisy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    28. A.C., « Lisières de l'Oise : les nouveaux maires et ceux attendus », Oise Hebdo, no 1369, , p. 18 (ISSN 1774-6418).
    29. « COLLEGE PUBLIC LOUIS BOULAND (COULOISY) », sur le site de l'académie d'Amiens (consulté le ).
    30. « Couloisy : bain de jouvence en vue pour la piscine et les salles de sport », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Couloisy (60167) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    36. Dominique Vermand, « Couloisy, église Notre-Dame : Diocèse : Soissons », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    37. « Pépiniere Roseraie La Ferme aux Roses », sur https://www.oisetourisme.com (consulté le ).
    38. « Visitez la roseraie de Couloisy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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