Couzou

Couzou est une commune française située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Couzou

La mairie de Couzou.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Laurent Clavel
2020-2026
Code postal 46500
Code commune 46078
Démographie
Population
municipale
97 hab. (2019 )
Densité 4,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 46′ 00″ nord, 1° 37′ 02″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 376 m
Superficie 21,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gramat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gramat
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Couzou
Géolocalisation sur la carte : France
Couzou
Géolocalisation sur la carte : Lot
Couzou
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Couzou

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par , l'Ouysse. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou » et les « vieux chênes de la Panonnie ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Couzou est une commune rurale qui compte 97 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 869 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gramat. Ses habitants sont appelés les Couzounais ou Couzounaises.

    Ses habitants sont les Couzounais et les Couzounaises.

    Géographie

    Commune située dans le Quercy, sur le causse de Gramat.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Couzou[1]
    Rocamadour
    Calès Gramat
    Carlucet Le Bastit

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 966 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[14]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[15],[16]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[17],[18].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[19],[20].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[22] :

    • les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou », d'une superficie de 3 009 ha, un territoire très riche en entomofaune, comprenant notamment, outre les insectes répertoriés de l'annexe II, nombre d'espèces remarquables d'orthoptères (Omocestus raymondi, Sphingonotus caerulans), de lépidoptères (Brenthis hecate, Chazara briseis, Euchloe tagis) et de coléoptères (Acmaedora pilosellae, Barypeithes pyreneus, Carabus hispanus, Sphenoptera parvula)[23] ;
    • les « vieux chênes de la Panonnie », d'une superficie de 28,29 ha, un site remarquable par la présence de Limoniscus violaceus, situé sur plateau calcaire (causse de Gramat)[24] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25] :

    • les « combes de la Damette et de Gouny et combels tributaires » (1 961 ha), couvrant 5 communes du département[26] ;
    • les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou » (3 030 ha), couvrant 5 communes du département[27],
    • les « vieux chênes de la Pannonie » (34 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Couzou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[I 1],[30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,6 %), prairies (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), zones urbanisées (1,2 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Couzou proviendrait[32],[33] :

    • d'un nom gaulois catio ou catius ;
    • ou d'un mot limousin cosso ou cosson qui désignait des souches d'arbres ou un endroit défriché.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1808 Louis Laborie    
    1808 1821 Jean Louis Dirieu    
    1821 1829 Antoine Lapize d'Auzac de la Pannonie    
    1829 1837 François Lavayssiere    
    1837 1846 Baptiste Fabrer    
    1846 1870 Baptiste Bazalgues    
    1870 1871 Baptiste Fabre    
    1871 1875 Jean Lapize de la Pannonie    
    1876 1877 Guillaume Lasserre    
    1878 1889 Jean Lapize de la Pannonie    
    1889 1902 C. Loty    
    2001 2014 Raymond Doumer    
    2014   Daniel Boudot    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2019, la commune comptait 97 habitants[Note 8], en diminution de 8,49 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    331342869367494490472500506
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    522504457423445445443421404
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    366314288232208184180156112
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    988279797710710110992
    2019 - - - - - - - -
    97--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]8,9 %1,8 %10,6 %
    Département[I 5]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 50 personnes, parmi lesquelles on compte 76,6 % d'actifs (66 % ayant un emploi et 10,6 % de chômeurs) et 23,4 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gramat, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 22 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 33, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,8 %[I 8].

    Sur ces 33 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 83,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 16,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    4 établissements[Note 10] sont implantés à Couzou au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 4 entreprises implantées à Couzou), contre 14 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations12643
    SAU[Note 11] (ha)6689751 2881 217

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 3]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (12 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 217 ha[41],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Château de la Pannonie.
    • Vestiges du fort de Saint-Cyr.
    • Site inscrit des vallées de l'Ouysse et de l'Alzou.

    Personnalités liées à la commune

    • Gaston Bazalgues (1938) écrivain], linguiste, pédagogue et enseignant occitan.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au premier taillé au I d’or à trois tourteaux de sable 2 et 1, et au II d’azur au mouton d’argent sur une terrasse herbée de sinople, aux deuxième et troisième d’argent au lion de gueules, au quatrième taillé au I d’or à trois tourteaux de sable 2 et 1 et au II d’azur à la bergerie d’argent maçonnée de sable sur une terrasse herbée de sinople ; le tout sur une terrasse d’or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Annexes

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Couzou et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    13. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    14. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    15. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    18. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    20. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Couzou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7300902 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7300906 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Couzou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « combes de la Damette et de Gouny et combels tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « vieux chênes de la Pannonie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 108
    33. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
    34. « Les maires de Couzou », sur francegenweb.org, (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    40. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    41. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Couzou - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    42. Notice no PA00095061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Eglise Saint-Cyr et Sainte-Julitte, ancienne chapelle du château de la Pannonie », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    • Portail du Lot
    • Portail des communes de France
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