Crèvecœur-le-Petit

Crèvecœur-le-Petit est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Crèvecœur.

Crèvecœur-le-Petit

Église Saint-Pierre et calvaire.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau picard
Maire
Mandat
Philippe Hazard
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60179
Démographie
Gentilé Crépicordiens, Crépicordiennes
Population
municipale
150 hab. (2019 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 40″ nord, 2° 30′ 16″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 127 m
Superficie 3,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Crèvecœur-le-Petit
Géolocalisation sur la carte : France
Crèvecœur-le-Petit
Géolocalisation sur la carte : Oise
Crèvecœur-le-Petit
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Crèvecœur-le-Petit

    Ses habitants sont appelés les Crépicordiens et les Crépicordiennes.

    Géographie

    Description

    Crèvecœur-le-Petit est un village rural du Plateau picard, jouxtant au nord son ancien chef-lieu de canton de Maignelay-Montigny, situé dans l'Oise à km au nord-est de Saint-Just-en-Chaussée, 23 km au nord-est de Clermont, 16 km au sud-est de Breteuil, à 10 km au sud-ouest de Montdidier.

    Il est situé au croisement de l'ancienne route nationale 329 (actuelle RD 929 qui relie Saint-Just-en-Chausssée à Montdidier) et de la RD 47 qui permet de rejoindre Maignelay-Montigny.

    En 1839, Louis Graves indiquait que Crèvecœur-le-Petit était une « petite commune en plaine, située à l'origine des ravins dont le prelongememi, constitue la vallée du Dom ; il n'y a pas d'eau coupante dans son étendue[1] ».

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Crèvecœur-le-Petit
    Welles-Pérennes Ferrières
    Sains-Morainvillers
    Maignelay-Montigny

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 668 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 31 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Crèvecœur-le-Petit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 61, alors qu'il était de 59 en 2013 et de 49 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 95,1 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 3,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crèvecœur-le-Petit en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Crèvecœur-le-Petit en 2018.
    Typologie Crèvecœur-le-Petit[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 95,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,6 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 3,3 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénommée Crèvecœur-lès-Ferrières (Crepicordium)[1].

    Histoire

    Sous l'Ancien Régime, l'abbaye Saint-Quentin-les-Beauvais détenait depuis 1680 la seigneurie sur la paroisse[1]

    La commune de Crèvecœur-le-Petit, instituée lors de la Révolution française est fugacement réunie à Ferrières de 1827 à 1832[22],[1].

    En 1839, la commune, qui dispose d'un presbytère et d'un terrain de jeu de tamis, compte un moulin à vent. Sa population est agricole[1].

    Le Tour de France 1996 est passé dans le village.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Maignelay-Montigny[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton d'Estrées-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard créée au .

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      juin 1995 Lucien Hazard   agriculteur
    juin 1995 mars 2001 Guy Ricard   instituteur
    mars 2001 En cours
    (au 27 mai 2020)
    Philippe Hazard DVD[23] agriculteur
    Réélu pour le mandat 2020-2026[24]

    Équipements et services publics

    La commune s'est dotée d'une nouvelle mairie et d'une salle communale, accessibles aux personnes à mobilité réduite, inaugurées le . Leur coût s'est élevé à 250 000 [25].

    Eau et déchets

    L'eau potable provient d'un puisage qui alimente également Ferrières et Domfront. La distibution d'eaau est assurée en 2020 par Suez[26]

    Enseignement

    Les enfants du village sont scolarisés du regroupement pédagogique concentré de l'école des 8 villages Michel Hammid, implantée à Ferrières et qui accueille les élèves de Ferrières, Royaucourt, Godenvillers, Domfront, Dompierre, Sains-Morainvillers, Welles-Pérennes et Crèvecœur-le-Petit[27].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2019, la commune comptait 150 habitants[Note 7], en augmentation de 18,11 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    144147166136175171162157137
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    13312712712711812410410197
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    11311477958696106116102
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    127165144103129117114127152
    2019 - - - - - - - -
    150--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 79 hommes pour 73 femmes, soit un taux de 51,97 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    4,1 
    5,1 
    75-89 ans
    11,0 
    10,1 
    60-74 ans
    8,2 
    13,9 
    45-59 ans
    17,8 
    26,6 
    30-44 ans
    24,7 
    13,9 
    15-29 ans
    11,0 
    30,4 
    0-14 ans
    23,3 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre : à l'intérieur se trouve le monument funéraire de Charles du Roger comportant un socle Renaissance avec épitaphe et écussons accompagné qu'un priant datant de 1643. Cet objet est classé monument historique[33].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Crèvecœur-le-Petit », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Maignelay, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 114 p. (lire en ligne), p. 36-37, sur Google Books.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Crèvecœur-le-Petit et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Crèvecœur-le-Petit et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    24. « Nouveau conseil municipal : dans la continuité ou presque », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3604, , p. 22.
    25. « Une mairie flambant neuve inaugurée en grande pompe », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3443, , p. 18.
    26. Benjamin Merieau, « La population s’organise dans trois villages du Plateau picard ou l’eau ne peut plus être consommée : Suite à un problème de chloration ayant amené des bactéries dans l’eau potable, les habitants de Ferrières, Crèvecœur-le-Petit et Dompierre doivent se débrouiller avec des bouteilles d’eau », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Maxime Piquet, « Fini les mêmes papiers à fournir chaque année: à l’école des 8 villages de Ferrières, la vie des parents est simplifiée : Le syndicat scolaire intercommunal obtient désormais les informations des usagers en un clic, grâce à l’entremise de l’Adico », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Crèvecœur-le-Petit (60179) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    33. « monument funéraire de Charles du Roger », notice no PM60000687, base Palissy, ministère français de la Culture.
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