Dévoluy (commune)

Dévoluy, ou localement Le Dévoluy[1], est depuis le , une commune nouvelle française située dans la région naturelle du Dévoluy dans les Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est issue du regroupement des quatre communes de l'ancien canton de Dévoluy[2],[3] : Agnières-en-Dévoluy, La Cluse, Saint-Disdier et Saint-Étienne-en-Dévoluy son chef-lieu.

Pour les articles homonymes, voir Dévoluy (homonymie).

Dévoluy

Ancienne mairie de Saint-Étienne-en-Dévoluy
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité Communauté de communes Buëch-Dévoluy
Maire
Mandat
Marie-Paule Rogou
2020-2026
Code postal 05250
Code commune 05139
Démographie
Gentilé Dévoluard(e)s
Population
municipale
916 hab. (2019 )
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 36″ nord, 5° 56′ 31″ est
Altitude Min. 950 m
Max. 2 755 m
Superficie 186,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Veynes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dévoluy
Géolocalisation sur la carte : France
Dévoluy
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Alpes
Dévoluy
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Dévoluy
Liens
Site web mairiedevoluy.fr
    Tombe de René Desmaison ( 1930 - 2007) au cimetière de Mère-Eglise.
    La Souloise en bas de Saint-Disdier.

    Géographie

    Localisation

    Le chef-lieu, Saint-Étienne-en-Dévoluy, est située à 28 kilomètres au nord-est de Veynes.

    Avec 18 637 hectares, la commune nouvelle de Dévoluy constitue la deuxième commune du département en superficie, derrière Névache.

    Relief et géologie

    La commune couvre tout le massif du Dévoluy.

    Le territoire de la commune de Dévoluy possède de nombreuses cavités souterraines, les chourums, propices à la spéléologie.

    Ce territoire est également sujet aux phénomènes d’avalanches[4]

    Le Mélèze d'Europe, ou Mélèze commun (Larix decidua) est particulièrement présent dans le Dévoluy[5].

    Hydrographie et eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

    • rivière la Souloise et ses affluents,
    • La commune est arrosée par la Ribière, qui descend de la crête des Aiguilles et se jette dans la Souloise à Saint-Disdier, quelques kilomètres plus au nord,
    • torrents de merdarel, de rioupes, des queyras, la ribière, de la grésière, de la gearette, de la pisse, des adroits, des pertusets, de l'are, le béoux, de mouche chat, des plates, de pré la pierre, des ormants, du clos des ânes, des aberts, de rabioux, de font bidouine, de crève corps, de la salette,
    • ruisseau de fontète,
    • béal de glaisette,
    • le rif froid.

    Le Petit Buëch est un sillon qui sépare le Dévoluy des Préalpes du Diois[7].

    Dévoluy dispose de deux stations d'épuration :

    Climat

    Communes limitrophes

    Voies routières

    Trois routes départementales :

    • La D 217 au nord par le défilé de La Souloise vers le département de l'Isère.
    • La D 937 au sud par le col du Festre, axe principal pour se rendre à Veynes et Gap.
    • La D 17 à l'ouest par le col du Noyer ouverte seulement l'été.

    Transports en commun

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Veynes - Dévoluy, accessible avec une correspondance TER depuis les gares TGV de Valence-Ville, Valence TGV, Grenoble et Marseille-Saint-Charles, mais également directement en train de nuit depuis Paris-Austerlitz.

    La ligne S10 de bus « Zou 05 » / « Dévoluy-Voyages » (réservation conseillée) relie cette gare avec les principaux lieux de la commune[12],[13], allant de 30 minutes pour La Cluse à un peu moins d'une heure pour SuperDévoluy.

    Les navettes inter-stations permettent également une desserte locale[14],[15].

    Des transports à la demande (taxis) sont possibles depuis la gare de Grenoble[16].

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté de communes Buëch-Dévoluy.

    Urbanisme

    Typologie

    Dévoluy est une commune rurale[Note 1],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    La commune nouvelle est dotée d'un plan local d'urbanisme[22].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (42,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,3 %), forêts (15,4 %), prairies (12,3 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %), zones urbanisées (0,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    La commune du Dévoluy est née de la fusion des communes d'Agnières-en-Dévoluy, La Cluse, Saint-Disdier et Saint-Étienne-en-Dévoluy.

    Si le toponyme, en tant que nom de commune est récent, le toponyme Dévoluy est, par contre bien plus ancien et apparaît au XIe siècle sous les formes Devologium, Devolodium en 1150 dans le cartulaire de l'abbaye de Durbon.

    Du nom du massif éponyme.

    Dévoluy provient du verbe dévaler, évoquant les champs d'éboulis et les ravinements des torrents avec un adage un brin moqueur, « on ne sait pas ce qu'ils sèment, mais chaque année ils récoltent des pierres », qui donne l'image du paysage minéral du Dévoluy[25].

    Histoire

    Les arrêtés préfectoraux des 13 mars et créent officiellement la commune nouvelle du Dévoluy qui prend effet le [26].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Jusqu'au prochain renouvellement général des conseils municipaux, la commune nouvelle du Dévoluy sera administrée par un conseil municipal comprenant 41 membres, dont 11 issus du conseil municipal d'Agnières-en-Dévoluy, 5 issus du conseil municipal de La Cluse, 15 issus du conseil municipal de Saint-Etienne-en-Dévoluy et 10 issus du conseil municipal de Saint-Disdier pris dans l'ordre du tableau.

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Saint-Étienne-en-Dévoluy
    (siège)
    05P04CC des Deux Buëch67,87532 (2014)7,8


    Agnières-en-Dévoluy0500232,46292 (2014)9
    La Cluse0504240,1544 (2014)1,1
    Saint-Disdier0513845,89138 (2014)3

    Liste des maires

    L'élection du premier maire du Dévoluy a lieu le . Jean-Marie Bernard, dernier maire de Saint-Étienne-en-Dévoluy, est élu à la tête de la nouvelle commune[27].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Jean-Marie Bernard[28] UMP Conseiller général (1994-2015)
    Président de la communauté de communes Buëch Dévoluy depuis 2014
    avril 2015 juillet 2020 Jacqueline Puget[29]   Retraitée salariée du secteur privé
    juillet 2020 En cours Marie-Paule Rogou[29],[30]   Ancienne employée

    Budget et fiscalité 2017

    En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :

    • total des produits de fonctionnement : 6 272 000 , soit 6 036  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 4 983 000 , soit 4 796  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 3 077 000 , soit 2 962  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 5 058 000 , soit 4 868  par habitant ;
    • endettement : 8 783 000 , soit 8 453  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 13,02 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 16,69 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 84,74 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 633 [32].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2019, la commune comptait 916 habitants[Note 2], en diminution de 9,4 % par rapport à 2013 (Hautes-Alpes : +1,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    2011 2016 2019
    1 014990916
    (Sources : Insee à partir de 2011[33].)

    Enseignement

    Établissements d'enseignements :

    • Regroupement pédagogique du Dévoluy[34] :
      • Les maternelles : (2 ans, Petite Section, Moyenne Section, Grande Section) ainsi que les CP regroupés à Agnières[35],
      • Tous les CE1, CE2, CM1, CM2, quel que soit le lieu de résidence, sont regroupés à St-Étienne-en-Dévoluy[36].
    • L'école de ski internationale Dévoluy[37].

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[38] :

    • Médecins à Agnières-en-Dévoluy, Corps, La Roche-des-Arnauds, Mens,
    • Pharmacies à La Joue du Loup (Agnières-en-Dévoluy), Corps, La Roche-des-Arnauds, Mens,
    • La ville de Gap possède un hôpital, le Centre hospitalier intercommunal des Alpes du Sud (CHICAS[39]) qui se divise en trois entités. Le premier site, le plus important, est celui de Gap qui est le plus grand centre hospitalier des Alpes du Sud. Gap est également doté d'un site spécialisé dans la gériatrie. À la suite d'une fusion, le CHICAS gère le site de Sisteron.
    • A Gap, la polyclinique des Alpes du Sud ainsi que d'autres centres de rééducations[40].
    • Il existe également une maison médicale du Gapençais[41].

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • L’usage des sols agricoles témoigne d'une prédominance de l’élevage représenté par un important cheptel ovin[43]. 47 exploitations agricoles sont présentes sur la commune, et se répartissent 4630 hectares de surface agricole à travailler.

    Tourisme

    Commerces

    Culture locale et patrimoine

    La Mère Église vue de la route d'accès (Saint-Disdier en Dévoluy).

    Lieux et monuments

    • La chapelle des Gicons, dite « Mère Église », est classée monument historique depuis 1927. Cette petite église, dont la date de construction est inconnue (XIe ou XIIe siècle), et dont le surnom est d'origine inconnue (mère pour maire, principale ?), est de style roman, comportant une nef à trois travées en voûtes de plein cintre et une abside semi-circulaire, le tout flanqué d'une chapelle latérale surmontée du clocher et prolongée par une absidiole. Le bâtiment, plusieurs fois modifié, a été longtemps laissé à l'abandon. Il est actuellement en cours de restauration à l'instigation d'une association locale[50], et avec le soutien de la commune.
    • Le plateau et le Pic de Bure (2709 m.) ; le site de radiotélescopes du plateau (Interféromètre du plateau de Bure).
    • Le col du Noyer.
    • Les étroits, défilé de la rivière Souloise, site d'une importante via ferrata.
    • Les Récollets.
    • L'église de la Cluse ; clocher déporté, abside semi-circulaire de style roman, vitrail circulaire représentant l'apparition de Notre-Dame de la Salette.
    • La statue de la Vierge à l'enfant, au bord de la route de Veynes, juste avant le col du Festre.
    • Les sources des Gillardes sont les deuxièmes plus importantes résurgences de France.

    Personnalités liées à l'ensemble des communes de la commune nouvelle

    • Laurent Artufel, célèbre auteur et acteur, vécu de 1982 à 1985 dans le village.
    • Jean de Bertet, agent général du clergé de France
    • Jeanne Bertrand (26 septembre 1880 - 28 octobre 1957), photographe. Née à Agnières-en-Dévoluy dans le hameau des Flauds, de parents originaires du Champsaur, son père était chef-cantonnier dans le Dévoluy. Partie vivre à New York, elle accueillera la photographe Viviane Maier, elle aussi d'ascendance champsaurine à son domicile new-yorkais.
    • Louis Poumier (1922-2002), polytechnicien (X 1942). C'est à l'occasion de la création de Superdévoluy qu'il créa le concept de « multipropriété » (marque déposée des Grands travaux de Marseille, promoteurs de la station), plus proprement appelé immobilier à temps partagé[51].
    • Jean Couzy (9 juillet 1923 - 2 novembre 1958), célèbre alpiniste mort dans l'ascension de la crête des Bergers (rebord méridional du plateau de Bure).
    • René Desmaison (14 avril 1930 - 28 septembre 2007), célèbre alpiniste. En septembre 1961, accompagné d'André Bertrand et de Yves Pollet-Villard, il effectue la première ascension du pilier oriental du pic de Bure, dans le massif du Dévoluy. Cette ascension est présentée à l'époque comme « l'escalade la plus difficile des massifs calcaires des Alpes françaises » ; cotée TD+ (très difficile supérieur), elle reste aujourd'hui une entreprise sérieuse et emblématique du massif. Décédé en 2007, ses cendres ont été dispersées dans le cimetière de la Mère église (commune de Saint-Disdier). Une sculpture à son effigie a été inaugurée le 1er août 2008 à SuperDévoluy. Cette œuvre de Livio Benedetti fait face au pic de Bure.
    • Théophile Eyraud (1926-1999), le Père Théo, curé du Dévoluy à la fin du XXe siècle.
    • Jean Grandmont, homme politique. Conseiller financier parisien, élu conseiller général des Hautes-Alpes en 1964, puis la même année maire de Saint-Etienne-en-Dévoluy, il lance quatre mois après son élection le projet de création d'une la station de sports d'hiver, dénommée dès ce moment-là Superdévoluy.
    • André Kauffer (1893-1977), artiste, dont le Dévoluy fut un thème d'inspiration.
    • Émile Marintabouret (1889-1948), homme homme politique français, né au Courtil, hameau de Saint-Étienne-en-Dévoluy.
    • Olivier Panis, pilote de formule 1 : Rallye hivernal du Dévoluy[52].
    • Anne-Marie Peysson (1935-2015), ancienne speakerine et journaliste française, née à Saint-Disdier.
    • Cyprien Sarrazin, skieur alpin[53].

    Galerie

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Dénomination utilisée sur le site de la commune
    2. Dévoluy & nous, no 31, juin 2012; page 11
    3. « Dévoluy : le canton devient commune » Le Dauphiné libéré, 15 avril 2012
    4. Notice sur les avalanches constatées et leur environnement, dans le massif du Dévoluy. Document de synthèse accompagnant la carte et les fiches signalétiques de la CLPA
    5. Mélèze en Provence
    6. L'eau dans la commune
    7. allée du Buech : de Lus la Croix Haute à Sisteron
    8. Description de la station Agnières-en-dévoluy village
    9. Description de la station Saint-Etienne-en-dévoluy
    10. Table climatique
    11. Table climatique
    12. « ligne Veynes Gare-La Joue du Loup-Super Dévoluy - Dévoluy Voyages », sur www.devoluy-voyages.fr (consulté le )
    13. « Horaires Zou 05 Bus VEYNES GARE - LE DEVOLUY » (consulté le )
    14. « Navettes inter-stations » (consulté le )
    15. « Les navettes inter stations du Dévoluy - Dévoluy Voyages » (consulté le )
    16. « Taxi pour Superdévoluy et la Joue du Loup » (consulté le )
    17. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Plan local d'urbanisme
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. GEOguide Alpes du sud Par Collectif Gallimard Loisirs
    26. Arrêté du 2 octobre 2012 portant création de commune publié au Journal officiel du 27 octobre 2012.
    27. « Naissance d'une nouvelle commune : Le Dévoluy », La Provence, 3 janvier 2013.
    28. « Liste des maires du département des Hautes-Alpes (mise à jour 15 mai 2014) », sur le site de la préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
    29. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
    30. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    31. Les comptes de la commune
    32. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    34. Regroupement pédagogique du Dévoluy
    35. École maternelle et élémentaire
    36. École élémentaire
    37. L'école de ski internationale Dévoluy
    38. Professionnels et établissements de santé
    39. Centre hospitalier intercommunal des Alpes du Sud
    40. Polyclinique des Alpes du Sud
    41. Maison médicale de garde de Gap
    42. Paroisse Agnières en Dévoluy - Gap - Embrun
    43. Diagnostic Agricole et foncier du Dévoluy
    44. Agnières-en-Dévoluy : Station de sports d'hiver
    45. Alexandre Maulin, exploitant, a cédé la société Dévoluy ski développement à une Société d'économie mixte dans laquelle la commune a 60% des parts
    46. Commerces de proximité
    47. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
    48. Fédération nationale des bistrots de pays
    49. Restaurants et bars
    50. l'association des amis de Mère Église (AAME, Mairie de Saint-Disdier) a édité une monographie très documentée sur le bâtiment et le pays environnant : Mère Église en Dévoluy, un pays et son église, 2007, 178 p., (ISBN 978-2-9529531-0-8)
    51. Yves Wattenberg, Charmes et soucis de la propriété saisonnière, Le Monde Dimanche, 5 juillet 1981 (supplément au Monde du 4 juillet 1981), page IV
    52. Carte du rallye
    53. « Cyprien Sarrazin - Serial skieur » (consulté le )
    • Portail des communes de France
    • Portail des Hautes-Alpes
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.